(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de cultivation
À l’occasion de cette conférence de Fa au Japon, je souhaite partager mon expérience de cultivation. N’hésitez pas à me corriger si vous voyez des points à améliorer.
En cherchant diligemment un maître, j’ai trouvé Dafa
Après être entrée à l’université, j’ai commencé à chercher des livres et des ressources qui pourraient répondre à mes questions sur le véritable sens de la vie. Un jour, je suis tombée sur un livre qui racontait l’histoire vraie d’une expédition scientifique, menée par des experts de la Royal Society of Great Britain, qui s’étaient rendus en Inde pour étudier la métaphysique et les capacités surnaturelles de l’être humain. Là-bas, un méditant leur a dit que le but de la vie était de cultiver. Finalement, certains membres de l’équipe ont renoncé à leurs désirs matériels et sont restés en Inde pour poursuivre leur cultivation. J’ai été stupéfaite de cette réponse ! Je savais que je devais trouver une méthode de cultivation, mais qui avait la capacité de me guider sur le chemin de la véritable cultivation ? J’ai commencé à lire des ouvrages sur la cultivation au Tibet, déterminé à trouver un maître qui pourrait me guider.
J’ai approfondi mes connaissances sur la cultivation en lisant des informations en ligne et des livres, mais la méthode de cultivation restait un mystère. Mon cœur souffrait, mais je n’avais personne à qui me confier. Je me suis même rendue dans un temple, je me suis agenouillée devant une statue du Bouddha Tathagata et j’ai prié pour rencontrer un véritable maître qui pourrait m’emmener au Tibet et me guider dans une cultivation. Je n’arrêtais pas de supplier : « Maître, où êtes-vous ? Veuillez me guider sur le chemin de la véritable cultivation.
Malgré mon impuissance et ma douleur intérieures, je restais convaincue que mon maître était là, quelque part, écoutant mes supplications, même s’il savait que je le cherchais. Je devais simplement attendre le bon moment pour rencontrer mon véritable maître.
À un moment donné, j’ai estimé qu’il était inutile de poursuivre mes études universitaires et j’ai décidé d’abandonner. Cependant, au moment de franchir la dernière étape consistant à obtenir la signature du directeur, je n’y suis pas parvenue et j’ai finalement décidé de poursuivre mes études tout en cherchant ma voie de cultivation.
Un jour, je suis tombée sur un article sur les réseaux sociaux intitulé « Vous avez perdu votre chance si vous ne lisez pas le Zhuan Falun dans cette vie ». J’ai senti que cela pouvait être la méthode de cultivation que je recherchais et j’ai demandé à la personne qui avait partagé l’article des informations sur la pratique.
Cette personne m’a envoyé un lien vers le Zhuan Falun en livre électronique et m’a parlé des exercices du Falun Dafa (également appelé Falun Gong). La lecture du Zhuan Falun a été une révélation impressionnante. Le livre était incroyablement profond et traitait de sujets dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. Je me suis immédiatement renseignée sur les points de pratique à proximité. Après en avoir trouvé un, je m’y suis rendue le matin du 3 mai 2016. Les autres pratiquants du point de pratique m’ont enseigné les exercices et j’ai participé à l’étude collective du Fa.
Deux semaines plus tard, j’ai commencé à lire le livre « Enseignement du Fa à la Conférence du Fa de New York 2016 » et je pleurais sans pouvoir m’arrêter pendant ma lecture. Cette nuit-là, j’ai rêvé que j’étais transportée au dernier étage d’un château imposant où j’ai rencontré trois personnes. Elles m’ont conduite à travers un endroit magnifique, puis dans une pièce où une photo du Maître était exposée. Elles m’ont également montré une liste de contrats sur lesquels mon nom était clairement inscrit à côté d’autres noms. À mon réveil, je me suis rappelée de cultiver avec diligence et d’accomplir mon vœu sacré.
Grâce à l’étude du Fa, j’ai rapidement compris que les disciples de Falun Dafa devaient bien faire les trois choses. Cependant, je ne savais pas comment émettre la pensée droite ni clarifier la vérité. Déterminée à rattraper mon retard, j’ai rapidement participé à l’activité en cours consistant à recueillir des signatures pour soutenir la poursuite en justice de Jiang Zemin, ancien chef du Parti communiste chinois (PCC) qui a lancé la persécution du Falun Dafa en Chine. J’ai aidé ceux qui voulaient étudier le Fa et j’ai appris à émettre la pensée droite.
Un jour, alors que j’émettais la pensée droite, j’ai ouvert les yeux et j’ai été surprise de voir des mots rouges sur le mur devant moi. Les caractères étaient en chinois, avec des hiragana japonais gravés en dessous. Les mots sont restés devant moi pendant un moment, mais je ne pouvais pas les lire, car je ne comprenais aucune des deux langues. J’ai réalisé plus tard que c’était un signe que j’allais voyager au Japon.
Peu de temps après, on m’a proposé le poste de coordinatrice sur un nouveau point de pratique. En discutant avec d’autres pratiquants, j’ai compris qu’en plus de la cultivation personnelle, il fallait également prendre en considération l’élévation collective de chacun.
Un jour, mon père m’a suggéré d’essayer de travailler au Japon pendant trois ans avant de retourner à la maison. Mais je m’étais installée dans une routine de vie idéale et j’ai refusé avec fermeté. Plus tard, j’ai fait un rêve dans lequel mon petit frère me criait : « Grande sœur, qu’est-ce que tu fais ? Dépêche-toi d’aller au Japon ! » Il m’a même pris la main et m’a conduite dans un train à destination du Japon. À mon réveil, je me suis souvenue des caractères chinois et des hiragana que j’avais vus en émettant la pensée droite. Le Maître me disait-il d’aller au Japon ? Toujours incertaine, je me suis dit : « Je ne suivrai que les dispositions du Maître. Si cela n’est pas arrangé par le Maître, la procédure de candidature ne sera pas acceptée. »
Ma demande pour travailler au Japon s’est déroulée sans encombre, et je me suis lancée dans un parcours de cultivation ardu, mais incroyablement précieux, dans un environnement complètement nouveau.
Créer un point de pratique avec d’autres pratiquants
À mon arrivée au Japon, je me suis installée à Kumamoto, dans la région de Kyushu. Je me sentais assez perdue, car il n’y avait pas de pratiquants de Falun Dafa là-bas et je ne pouvais faire que les trois choses en ligne, contrairement à l’environnement dans lequel je vivais auparavant. Un jour, j’ai décidé de me rendre au point de pratique le plus proche, grâce aux informations trouvées sur le site ja.falundafa.org. Quand je suis arrivée, il faisait nuit et l’endroit était désert. Je me suis renseignée et j’ai appris que les pratiquants ne se réunissaient pas régulièrement à ce point de pratique. Je suis rentrée tard dans la nuit, sans avoir rencontré d’autres pratiquants. J’ai finalement commencé à pratiquer seule dans un parc voisin et j’ai étudié le Fa en ligne avec un groupe de pratiquants vietnamiens vivant au Japon.
Il existe de nombreux points de pratique au Vietnam, où les pratiquants peuvent participer quotidiennement à des exercices le matin, à midi et le soir. Je souhaitais créer davantage de points pour la pratique quotidienne au Japon. En collaboration avec d’autres pratiquants, nous avons créé un groupe afin de coordonner l’étude collective du Fa et de partager nos expériences. Nous avons mis en place des plateformes sur les réseaux sociaux afin d’entrer en contact avec les pratiquants vietnamiens au Japon. Nous avons également créé une plateforme d’échange d’informations, permettant aux pratiquants vietnamiens du monde entier de contacter les pratiquants et de s’intégrer lorsqu’ils viennent au Japon. La communauté des pratiquants vietnamiens au Japon continue actuellement de s’agrandir.
Un jour, alors que je me rendais au test d’aptitude en langue japonaise, j’ai vu un groupe de personnes pratiquer ce qui semblait être le deuxième exercice. J’ai également vu une banderole sur laquelle était écrit en caractères chinois « Falun Gong ». Ravie, je suis immédiatement descendue du bus et je me suis approchée. Effectivement, j’avais trouvé des compagnons de cultivation ! Je me sentais incroyablement heureuse, comme une personne assoiffée qui avait enfin trouvé une source. À partir de ce moment-là, j’ai pratiqué les exercices à cet endroit tous les week-ends. Ensuite, j’allais avec tout le monde prendre le bus pour me rendre à un stand d’information, où on recueillait des signatures pour le procès contre Jiang Zemin. Après cela, on reprenait le bus pour rentrer, en discutant tout au long du trajet. Quand venait mon tour de parler, je me rendais compte que je ne pouvais pas dire un mot. Je n’arrêtais pas de pleurer, car la joie d’avoir enfin rencontré des compagnons de cultivation était indescriptible. Depuis mon arrivée au Japon, j’avais attendu ce moment avec impatience !
Je me suis rendue dans la région du Kanto afin de renouveler mon visa et j’y ai trouvé d’autres pratiquants. J’ai travaillé avec des compagnons de cultivation pour démarrer un point de pratique, où nous encourageons tout le monde à pratiquer quotidiennement.
Grâce à la bénédiction du Maître et à la pensée droite des autres pratiquants, notre point de pratique a été autorisé à afficher une bannière présentant Dafa. Au fur et à mesure que le point de pratique prenait de l’importance, nous avons commencé à accueillir des membres de divers pays, notamment de Chine, du Japon, de Corée du Sud et du Vietnam.
J’ai demandé à enregistrer notre point de pratique sur le site officiel du Falun Dafa. Peu après, des pratiquants de Minghui.org nous ont contactés et ont publié un article présentant notre nouveau point de pratique. À ce jour, de nombreux pratiquants nous ont trouvés grâce à cette ressource.
Nous commençons à pratiquer à 4 h 20 du matin, heure du Japon, et pratiquons le deuxième exercice pendant une heure. Après avoir terminé les exercices de 1 à 5, nous émettons la pensée droite avant d’étudier le Fa ensemble. Nous continuons à persévérer, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, car le parc dispose d’abris qui nous permettent de pratiquer malgré la pluie. Le week-end, afin de présenter Dafa au grand public et de faciliter la participation d’autres pratiquants, certains pratiquants ont prévu de pratiquer plus tard dans la journée.
Les personnes intéressées qui passent devant notre point de pratique nous ont demandé de leur en dire plus. Certaines ont même pris l’initiative de se joindre à nous, tandis que d’autres ont pris des photos. Les visiteurs réguliers du parc savent que nous pratiquons le Falun Gong. En particulier, un policier qui est chef de patrouille dans notre quartier nous rend souvent visite lorsqu’il passe devant notre point de pratique. Lors de notre première rencontre, cet agent m’a donné sa carte de visite et m’a dit que je pouvais le contacter si le PCC organisait des perturbations à notre encontre. Il m’a mis en relation avec les autorités chargées d’accorder l’autorisation de distribuer des documents à l’extérieur du parc. Il a accepté les exemplaires du Zhuan Falun et du Falun Gong que je lui ai donnés et venait souvent nous rendre visite pour s’enquérir de nos activités. Il a dit un jour que s’il en avait l’occasion, il nous demanderait de lui enseigner le Falun Gong.
Je trouve que mon travail actuel est le meilleur endroit pour valider la Loi. Ma vie et ma cultivation sont la meilleure situation que je puisse souhaiter.
Chérir l’environnement sur mon lieu de travail
J’ai tiré une leçon profonde de mon séjour à Kumamoto. À cette époque, je ne validais pas efficacement le Fa dans mon milieu de travail et j’étais très sceptique quant à l’apprentissage du japonais, croyant que c’était une perte de temps qui nuirait à mes projets et à ma cultivation quotidienne. Bien que travaillant au Japon, je limitais mes interactions à mes collègues vietnamiens, je vivais parmi des Vietnamiens et je travaillais sur des projets de Dafa avec des pratiquants vietnamiens. Même si les gens me considéraient comme une travailleuse gentille et responsable, je n’arrivais pas à m’intégrer dans la société japonaise ordinaire.
N’ayant pas saisi l’opportunité d’apprendre le japonais, je me sentais impuissante, incapable de clarifier la vérité aux gens ordinaires, et je me sentais coupable envers tous les êtres au Japon. Je n’ai réalisé mon erreur qu’après avoir terminé ma mission de trois ans à Kumamoto et je me suis empressée de la corriger après avoir déménagé dans un nouveau lieu de travail dans la région de Kanto.
Sur mon nouveau lieu de travail, j’étais entourée de Japonais, je devais donc apprendre le japonais. Ce n’était pas une coïncidence, le Maître avait arrangé une immersion progressive sur chaque lieu de travail afin que je puisse m’intégrer dans la société japonaise et cultiver parmi les gens ordinaires.
Lors de mon premier emploi à Kanagawa, mes collègues m’ont appris le japonais et m’ont aidée à m’adapter à mon nouvel emploi. Mon travail, en tant qu’aide-soignante dans une maison de retraite, exigeait beaucoup de patience et impliquait un travail physique intense, mais je l’appréciais et j’ai rapidement appris les ficelles du métier. Grâce à la pratique du Falun Dafa, j’accomplissais facilement les tâches physiques sans effort. Mes collègues, en revanche, se plaignaient souvent de douleurs au dos et aux jambes, ainsi que d’épuisement. Le Falun Dafa est vraiment extraordinaire.
À Noël, j’ai préparé une robe de Noël et j’ai interprété une chanson en vietnamien sur une mère enseignant à son enfant le principe d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J’ai préparé la musique, traduit les paroles en japonais, les ai imprimées et distribuées aux résidents âgés afin qu’ils puissent comprendre ce que je chantais. Les résidents ont été profondément émus. L’un d’eux a même pleuré longtemps après.
C'était la première fois que j'organisais un spectacle pour un grand groupe. Le Maître ma guidée sur la meilleure façon de présenter le programme afin qu'il trouve un écho auprès du public japonais.
Deux ans plus tard, j’ai déménagé pour travailler dans une maison de retraite à Chiba. En plus de travailler avec diligence, je me suis engagée de manière proactive auprès des personnes qui m’entouraient. Mon japonais s'est considérablement amélioré, ce qui m’a permis de communiquer facilement avec mes collègues pratiquants japonais alors que l’on travaillait ensemble pour valider Dafa. J’ai également clarifié la vérité au travail et à Noël, j’ai organisé un spectacle de tambourins de ceinture à la maison de retraite de Chiba. J’ai soigneusement choisi chaque morceau afin que le spectacle mette en valeur la beauté de Dafa et expose la vérité sur la persécution. Avant et après le spectacle, j’ai diffusé des photos et des vidéos sur le grand écran de télévision de la maison de retraite afin d’expliquer la signification du tambourin de ceinture et son implication dans les défilés de Falun Gong à travers le monde. Cela a rendu le spectacle plus attrayant et a permis aux gens de comprendre plus facilement la vérité. Ma performance a laissé une profonde impression sur le personnel et les résidents. Beaucoup de gens ont applaudi, et certains m’ont même rejoint sur scène pour danser sur la musique du Falun Dafa. Mon directeur a qualifié la performance de fantastique.
Un an après, grâce à l’aide du Maître, j’ai déménagé à Tokyo, où je vis actuellement. Ayant perfectionné mon japonais et mes compétences professionnelles dans deux maisons de retraite, j’avais les compétences nécessaires pour m'intégrer à mon nouveau lieu de travail. Grâce à des conversations, je me suis rapidement intégrée. Tout le monde était sympathique et me respectait malgré mon statut d’étrangère. Mes supérieurs m’ont rapidement confié les mêmes tâches que celles effectuées par le personnel japonais principal, ont loué mon sens des responsabilités et ont même admis que j’étais plus performante que certains de mes collègues japonais.
J’ai rencontré un professeur de chant sympathique à la maison de retraite qui venait souvent me parler. Nous avons échangé nos coordonnées et lorsqu’elle m’a dit qu’elle admirait ma bonne humeur, je lui ai répondu que c’était grâce au Falun Dafa. Je lui ai donné des documents sur Dafa et lui ai dit que je jouais souvent du tambourin de ceinture lors d’activités. Elle m’a ensuite invitée à jouer pour les résidents âgés, rassemblant les personnes âgées autour de moi afin qu’elles puissent assister à ma performance. Elles ont applaudi et battu la mesure.
Une fois, elle m’a même demandé d’enseigner le Falun Dafa aux gens pendant leur pause déjeuner. J’ai guidé les résidents et le personnel à travers les cinq séries d’exercices, et tout le monde a suivi avec assiduité en écoutant la musique d’accompagnement. Ensuite, j’ai diffusé une vidéo présentant certaines des performances de Shen Yun sur le grand écran de télévision pour que les résidents âgés puissent les regarder.
En raison de notre emploi du temps chargé et du manque de personnel, ces occasions de clarifier la vérité sont rares. Cependant, avec l’aide du Maître, j’ai pu présenter avec succès le Falun Dafa aux gens lors de ces occasions. J’ai également apporté des journaux Minghui sur mon lieu de travail et les ai distribués aux résidents qui pouvaient lire.
Lors de la fête annuelle de la maison de retraite cette année, la maison de retraite m’a trouvé un kimono, le professeur de chant m’a maquillée et d’autres membres du personnel ont préparé le matériel de sonorisation. Avec leur aide, j’ai donné des représentations de tambourin de ceinture pour le personnel et les résidents du premier au troisième étage de la maison de retraite. Une centaine de personnes se sont rassemblées et ont écouté la musique de Dafa dans une ambiance animée.
Un jour, un magazine faisant la promotion du spectacle Shen Yun est apparu au travail. Je n’avais jamais vu un tel magazine auparavant et je ne savais pas qui l’avait livré. Saisissant l’occasion, j’ai invité une collègue infirmière à se joindre à mon mari et moi pour assister au spectacle. Elle a immédiatement accepté et a suggéré d’inviter une autre infirmière à se joindre à nous. Les deux infirmières japonaises ont acheté des billets et nous sommes allés tous les quatre voir le spectacle Shen Yun. Une infirmière qui habitait près du point de pratique avait lu des livres de Falun Gong et était venue voir notre point de pratique comme je lui avais suggéré. Elle racontait souvent à ses collègues à quel point elle s’était sentie purifiée après avoir pratiqué le Falun Gong pour la première fois sur le point de pratique.
Alors que nous étions assis dans le tramway pour rentrer chez nous après avoir regardé Shen Yun, l’infirmière a raconté à mon mari comment mon attitude positive avait changé celle de tout le monde à la maison de retraite. Elle avait été en colère contre un membre du personnel ce jour-là, mais après que je sois venue la saluer, elle a soudainement reconsidéré sa décision de se mettre en colère et s’est rendu compte qu’elle ne voulait plus rester en colère. Elle a dit que tout le monde me regardait avec affection, comme leur fille ou leur petite-fille.
En entendant cela, j'ai commencé à réfléchir à mon propre comportement. J'avais récemment rencontré des situations désagréables au travail et j'étais devenue moins positive qu’à mon arrivée. L’énergie positive des pratiquants de Falun Dafa peut grandement améliorer l’environnement d’une personne ordinaire. Si je ne parviens pas à bien me cultiver et que je me laisse influencer par la société ordinaire, non seulement je ne parviendrai pas à améliorer mon environnement, mais j'accepterai moi-même les influences négatives et mon niveau de cultivation baissera.
Chérir ma relation avec mon mari et mes beaux-parents
Mon mari est un pratiquant sud-coréen. Après notre mariage, notre environnement de cultivation s’est considérablement amélioré et nous avons travaillé ensemble pour convaincre mes beaux-parents des bienfaits de Dafa. Mon beau-père souffre d’une mauvaise santé et nos précédentes tentatives pour inviter mes beaux-parents à voir Shen Yun ont échoué. Ma belle-mère croyait en un moine qui prêchait la rhétorique du PCC. Cela a entravé nos efforts pour clarifier la vérité au couple. De plus, je ne parlais pas coréen, alors comment pouvais-je aider mes beaux-parents à comprendre la vérité ? Un jour, un pratiquant a partagé dans un groupe d’échange d’expériences pour les pratiquants vietnamiens son voyage en Corée du Sud et sa visite à Shen Yun. J’ai rapidement invité mes parents à se rendre en Corée du Sud pour voir Shen Yun et rencontrer mes beaux-parents. Comme mes parents voyageaient avec un groupe organisé, il leur aurait été difficile de trouver un autre moment pour se rencontrer. Le moyen le plus pratique pour les deux parties de se rencontrer était lors d’un spectacle de Shen Yun. Mes beaux-parents ont donc accepté d’aller voir Shen Yun afin de pouvoir rencontrer mes parents.
Mon mari et moi avons pris des congés, acheté des billets pour Shen Yun et réservé nos vols, mais mon visa n’a pas pu être traité à temps. Comme je ne pouvais pas me rendre en Corée, nous avons demandé à ma belle-mère d’inviter sa sœur (ma belle-tante, qui avait également refusé auparavant de voir Shen Yun) à assister au spectacle à ma place. Comme mes parents seraient présents, ma belle-tante a accepté.
Avant et après le spectacle Shen Yun, j’ai étudié le Fa et émis la pensée droite, priant pour que tout le monde apprécie le spectacle et comprenne la vérité. Ce jour-là, mes parents, mes beaux-parents et ma tante par alliance ont passé un agréable moment en regardant Shen Yun. Ma belle-mère a fait l’éloge du spectacle, mon beau-père a applaudi et ma tante par alliance a dit : « Je remercie Dieu de m’avoir permis de voir un spectacle aussi merveilleux ! C’est vraiment authentique et pur. » Mes parents ont également dit qu’ils avaient été émus après avoir vu le spectacle. Le voyage de mes parents en Corée du Sud a permis à mes beaux-parents de voir Shen Yun et cet acte de salut significatif leur assurera un avenir radieux.
Après cela, mon mari a fait un rêve. Il a vu des gens faire la fête lors d’un banquet dans un ancien palais coréen. Ses parents s’étaient placés devant le Maître pour lui rendre hommage.
Un mois plus tard, mes beaux-parents, ayant entendu des rumeurs selon lesquelles un tremblement de terre et un tsunami majeurs allaient frapper le Japon, ont insisté pour que nous retournions en Corée du Sud. Nous avons accepté, voyant cela comme une occasion de présenter le Falun Gong à mon beau-père. À notre arrivée en Corée du Sud, nous avons diligemment renforcé notre pensée droite et cherché des occasions de l’inviter à apprendre la méthode.
Un jour, alors que nous avons émis la pensée droite dans le salon, ma belle-mère nous a dit : « Apprenez à votre père les mouvements du Falun Gong, ne restez pas assis là à méditer. » Nous avons invité mon beau-père à pratiquer avec nous et ma belle-mère s’est jointe à nous.
Nous avons passé une semaine en Corée, ce qui n’était pas suffisant pour leur enseigner les cinq séries d’exercices complètes. Mais mon mari a acheté quelques livres de Dafa et les a donnés à mon beau-père pour qu’il les lise.
Lorsque j’ai rendu visite pour la première fois à la famille de mon mari en Corée du Sud, la femme du frère cadet de ma belle-mère (qui est également vietnamienne) m’a dit discrètement : « Vous avez dû bien cultiver dans votre vie passée pour vous marier dans cette famille. » Comme c’est une personne ordinaire qui m’a dit cela de manière inattendue, je crois que cela doit être vrai. Par coïncidence, je partage mes expériences avec tout le monde le jour de mon premier anniversaire de mariage, ce qui me fait apprécier encore plus le lien que j’ai avec mon mari et sa famille.
Merci Maître bienveillant. Merci compagnons de cultivation
(Article sélectionné présenté lors de la conférence de partage d’expériences de cultivation du Japon 2025)
Traduit de l'anglais
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