(Minghui.org) Minghui.org. a récemment confirmé que Mme Gao Zhenxiu, originaire du district de Lijin, dans la province du Shandong, purge une peine de trois ans et demi à la prison pour femmes de la province du Shandong pour sa pratique du Falun Gong.
Mme Gao, âgée d’une cinquantaine d’années, a été arrêtée vers juin 2024 pour avoir parlé à des personnes de la persécution du Falun Gong perpétrée par le Parti communiste chinois. Elle a été libérée sous caution quinze jours plus tard. Après avoir reçu un avis de convocation au tribunal, elle a écrit une lettre au procureur et au juge chargé de son affaire, les exhortant à ne pas poursuivre des citoyens qui, comme elle, sont respectueux de la loi.
La police a saisi Mme Gao à une date inconnue, alors qu’elle effectuait des petits travaux dans un restaurant. Ils l’ont emmenée directement au tribunal local pour qu’elle soit jugée. Elle a ensuite été condamnée à trois ans et demi de prison. Après six mois passés au centre de détention de la ville de Dongying, elle a été transférée à la prison pour femmes de la province du Shandong.
Ce n’est pas la première fois que Mme Gao est prise pour cible en raison de sa pratique du Falun Gong depuis le début de la persécution en juillet 1999. Elle enseignait autrefois au deuxième collège du district de Lijin, mais on lui a interdit d’enseigner parce qu’elle défendait sa croyance. Elle a été rétrogradée et s’est vu confier des tâches de gardiennage.
Lorsque Mme Gao a parlé du Falun Gong à des élèves en avril 2019, un parent l’a signalée au directeur de l’école, Li Xinmin. Li l’a remise au policier Gai Congcong du Département de police du district de Lijin. Elle a été condamnée à un an de prison en janvier 2020 et a purgé sa peine dans la même prison pour femmes de la province du Shandong.
La famille de Mme Gao s’est plainte à Li après sa condamnation à la prison et il a regretté de l’avoir remise à la police. Lorsqu’il a essayé de la faire libérer, la police lui a dit : « C’était facile pour vous de nous la livrer, mais vous n’avez pas votre mot à dire sur sa libération. »
Après la libération de Mme Gao, son école l’a licenciée et elle a dû faire des petits boulots pour gagner sa vie.
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Traduit de l’anglais
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