(Minghui.org) Je souhaitais depuis longtemps partager les expériences personnelles de plusieurs pratiquants de Falun Dafa que je connais. Ce sont des gens ordinaires menant une vie ordinaire, mais leurs expériences de pratique du Falun Dafa (également appelé Falun Gong) sont très émouvantes. Dans les récits ci-dessous, les pratiquants racontent leur histoire avec leurs propres mots.

L’histoire de Lian : rencontrer Dafa alors qu’elle était au plus profond du désespoir

Ma famille était très pauvre, je n’ai donc pas été à l’école avant l’âge de onze ans et j’ai dû arrêter l’école quand j’étais en troisième année. J’ai commencé à travailler dans une usine de serviettes et de draps à l’âge de quatorze ans. Ma santé était fragile depuis l’enfance, j’avais des vertiges et des évanouissements. Ma famille n’avait pas les moyens de payer des soins médicaux, j’ai donc attendu d’être mariée pour consulter un médecin.

Après mon mariage, ma santé s’est détériorée. Un examen médical a révélé que je souffrais d’une maladie cardiaque, d’une cholécystite, d’une gastrite, d’une anémie pernicieuse, d’une rhinite atrophique, de maux de tête chroniques et d’hémorroïdes. Plus tard, j’ai développé une synovite (inflammation de la fine membrane qui recouvre les articulations des genoux des deux jambes). J’avais du mal à me tenir debout et je ne pouvais ni marcher ni dormir à cause de la douleur insupportable. J’ai pris des suppléments de calcium pour soulager ma douleur dans les genoux. Ma famille a acheté un radiateur infrarouge pour me réchauffer les genoux et soulager la douleur, mais son efficacité s’est estompée après un certain temps.

J’ai également suivi des traitements d’acupuncture à l’hôpital, mais sans résultat. Un jour, mon mari a vu une publicité à la télévision pour des chaussures spéciales qui pouvaient soulager les douleurs aux genoux et il m’a immédiatement emmenée au magasin de chaussures sur son vélo. Une paire de ces chaussures coûtait plus de 1000 yuans. Malgré nos faibles revenus, mon mari m’en a acheté une paire. J’ai porté ces chaussures, mais elles n’ont pas soulagé ma douleur. La douleur me tourmentait jour et nuit et je menais une vie pire que la mort. J’ai même envisagé de me suicider pour échapper à la douleur.

De nombreux médecins ont tenté de m’aider et m’ont assurée que leurs traitements seraient efficaces. J’ai finalement rencontré un médecin qui m’a dit la vérité : j’étais incurable. Je me suis demandé si j’allais passer le reste de ma vie en fauteuil roulant et dans la douleur.

Outre mon problème de genoux, mes autres maladies étaient suffisamment graves pour que mon mari m’accompagne chaque jour à l’hôpital. Je prenais régulièrement plus de dix sortes de médicaments et devais être hospitalisée deux à trois fois par an. J’ai subi trois traitements d’urgence pour des crises cardiaques soudaines et souffrais d’insomnie à tel point que je devais prendre des somnifères pour m’endormir. Désespérée de guérir mes maladies, j’ai essayé diverses méthodes de qigong. Au lieu d’améliorer ma santé, ces méthodes ont aggravé mon état.

En mai 1997, alors que j’avais atteint le fond, une amie m’a rendu visite et m’a suggéré d’essayer le Falun Dafa. J’étais sceptique, car aucun des autres qigong que j’avais essayés n’avait fonctionné.

Le mois suivant, mon mari m’a convaincue d’aller voir le point de pratique du Falun Dafa au Centre culturel des travailleurs. J’ai vu plus d’une centaine de personnes pratiquer les exercices de Falun Dafa. En me voyant arriver à vélo avec mon mari, quelques pratiquants sont venus me saluer. Quand je leur ai parlé de mes problèmes de santé, ils m’ont rassurée en me disant que le Falun Dafa pouvait m’aider à aller mieux. Ils m’ont encouragée à me lever et à faire les exercices avec eux. À cette époque, je ne pouvais rester debout qu’une ou deux minutes, juste le temps de me brosser les dents. Ce jour-là, j’ai miraculeusement tenu debout pendant plus d’une heure et j’ai fait les quatre premières séries d’exercices. Mon mari se tenait à côté de moi, au cas où je m’évanouirais. Ma soudaine capacité à rester debout l’a interpellé et l’a amené à remettre en question sa croyance en la science moderne.

Après avoir fait les exercices, j’ai dépensé la modique somme de 12 yuans pour acheter un exemplaire du livre Zhuan Falun. J’ai été fascinée par le contenu du Zhuan Falun et je n’ai plus pu le lâcher. Étonnamment, chaque fois que je lisais le livre, ma douleur lancinante au genou disparaissait. Une semaine plus tard, ma synovite avait disparu. J’ai pu marcher seule de chez moi jusqu’au point de pratique du Centre culturel des travailleurs ! Mes autres maladies chroniques ont également été guéries par le Falun Dafa. Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, je n’ai pas mis les pieds à l’hôpital en vingt-sept ans.

Un mois plus tard, mon mari a également commencé à pratiquer le Falun Dafa. Il a cessé de prendre ses médicaments contre l’hypertension. Sa tension artérielle est revenue normale et son syndrome de Ménière a disparu. Il a retrouvé une santé parfaite.

Lorsque le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter les pratiquants de Falun Dafa en juillet 1999, l’unité de travail de mon mari a utilisé le fait qu’il était membre du Parti pour le critiquer lors de leurs réunions hebdomadaires du comité du Parti. L’unité a essayé de le forcer à écrire des lettres pour dénoncer le Falun Dafa. Refusant d’écrire quoi que ce soit qui calomnie le Maître et Dafa, les lettres de garantie de mon mari n’ont jamais satisfait les autorités.

En tant que bénéficiaire des pouvoirs extraordinaires du Falun Dafa, je suis extrêmement reconnaissante envers Maître Li Hongzhi. Si le Maître n’avait pas guéri mes maladies, je serais morte depuis longtemps, et mon mari et mes enfants n’auraient plus à s’inquiéter pour moi. En février 2000, je suis sortie comme d’habitude pour pratiquer le Falun Dafa, mais j’ai été illégalement détenue pendant un mois. Après mon retour à la maison, le secrétaire et le chef de la sécurité de mon unité de travail ont collaboré avec le Bureau 610 (une organisation gouvernementale créée par le PCC pour persécuter les pratiquants de Falun Dafa) et les policiers de mon quartier pour me placer sous surveillance. J’ai été harcelée, menacée et j’ai failli être emmenée plusieurs fois dans un centre de lavage de cerveau. Ils ont tenté de restreindre ma liberté et de me forcer à écrire une déclaration garantissant mon intention d’arrêter de pratiquer. J’ai dû quitter mon domicile et me cacher des autorités.

Le harcèlement de mon unité de travail, du Bureau 610 et de la police locale a duré six ans. Ma famille, en particulier mon mari, a subi une grande pression, car tous s’inquiétaient constamment pour ma sécurité. La tension psychologique a aggravé la santé de mon mari, qui est finalement décédé le 4 décembre 2003, à l’âge de 68 ans.

J’ai été persécutée par le PCC à cause de ma croyance et de mes efforts pour révéler au monde la vérité sur le Falun Gong. Cependant, je n’ai aucun regret. De nombreux membres des forces de sécurité publique, du ministère public et du système judiciaire de notre pays ont participé à la persécution et commis, par ignorance, de nombreux crimes contre le Falun Dafa. Chaque action a ses conséquences, et j’espère que ces personnes finiront par accepter la vérité sur le Falun Dafa, cesseront de contribuer à la persécution et choisiront un avenir meilleur pour elles-mêmes et leurs familles.

L’histoire de Ju : les changements positifs chez mon mari et moi, après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa

Peu après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa en juillet 1999, mon mari a arrêté de fumer et de boire. Sa santé s’est améliorée et il est devenu plus attentionné envers les autres. J’étais complètement déconcertée. Comme il quittait la maison tous les jours à 5 h 30 du matin, je pensais qu’il avait une liaison. Un matin, je l’ai suivi. J’avais même prévu de divorcer si je le surprenais avec une autre femme. Il s’est rendu à un endroit où de nombreuses personnes pratiquaient un exercice de qigong. Je me suis placée à l’arrière du groupe et j’ai essayé de suivre leurs mouvements de mains. Un coordinateur est venu me voir et m’a demandé : « Qui vous a amenée ici ? » J’ai montré mon mari du doigt. Un pratiquant a regardé mon mari et s’est exclamé : « Tout le monde fait la promotion du Falun Dafa auprès de ses amis et de sa famille. Et vous n’avez même pas pensé à en parler à votre propre femme ? » C’est ainsi que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Sans Dafa, mon mari et moi aurions divorcé il y a des années. En tant que fils unique, mon mari aurait dû être l’unique héritier des biens familiaux selon les règles du village. Pourtant, ma belle-mère favorisait ses filles plutôt que son fils et leur donnait toujours plus, qu’il s’agisse de distribuer les revenus du village ou d’aider à payer une nouvelle maison. Son comportement me mettait en colère. Mes belles-sœurs sont également dominatrices et refusent de céder d’un pouce. Notre ressentiment grandissant a conduit à des querelles familiales constantes au sujet des maisons et de l’argent, et mon mari s’est retrouvé pris entre deux feux. Je me souviens m’être disputée avec mes belles-sœurs un jour du Nouvel An chinois. Mon mari a renversé la table et a dit avec rage : « Alors personne ne mangera ! » Une autre fois, nous nous sommes disputées au sujet de la construction d’une nouvelle maison, et mon mari, furieux, a dit : « Je vais acheter un paquet de dynamite et la faire sauter, comme ça personne ne pourra y vivre ! » En proie à des querelles constantes, notre famille ne connaissait pas un instant de paix.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai compris comment être une bonne personne en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J’ai cessé de me concentrer sur mes intérêts personnels. Je ne me disputais plus avec les autres et je restais calme lorsque quelqu’un me volait quelque chose. Les enseignements du Falun Dafa ont élargi mon esprit et m’ont montré la voie à suivre. J’ai admis mes erreurs et présenté mes excuses à ma belle-mère et à mes belles-sœurs. J’ai cessé de blâmer mon mari et je suis devenue plus tolérante à son égard. Mon mari et moi avons commencé à faire des concessions malgré les pertes que nous subissions, et notre relation s’est considérablement améliorée.

Ma belle-mère et mes belles-sœurs ont observé les changements en moi et en mon mari, et ont convenu que seul le Falun Dafa avait le pouvoir de changer positivement le cœur des gens. Nos relations familiales se sont améliorées et nos vies sont devenues paisibles.

Lorsque le PCC a commencé à persécuter les pratiquants de Falun Dafa le 20 juillet 1999, j’ai été illégalement détenue et soumise au travail forcé et emprisonnée pendant plus de neuf ans. Je suis une citoyenne respectueuse des lois et je n’ai commis aucun crime. Je suis une personne honnête qui essaie de sauver les gens en leur révélant la vérité derrière la persécution. Les autorités n’ont aucune base légale pour m’inculper ou m’emprisonner.

L’histoire de Lan : trouver la paix au-delà du monde ordinaire matérialiste

Avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa en avril 1998, je souffrais d’ulcères gastriques, de gastroptose, d’hémorragies gastriques, de polyarthrite rhumatoïde, d’une hernie discale lombaire, d’un syndrome post-commotionnel, de neurasthénie et d’hépatite B. Malgré les sommes importantes que j’ai dépensées en traitements et en médicaments, mon état ne s’est pas amélioré et a même empiré. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, mes maladies ont progressivement disparu et j’ai retrouvé une bonne santé physique et mentale.

Mon mari a commencé à pratiquer le Falun Dafa en même temps que moi et s’est remis de ses divers maux. Notre vie familiale est devenue harmonieuse et sereine.

Un jour en septembre 2004, j’ai été renversée par un camion alors que je traversais la route. J’ai perdu connaissance, une ambulance a été appelée et j’ai été transportée à l’hôpital. Ma jambe droite était fracturée et plusieurs vaisseaux sanguins étaient sectionnés. Pour me sauver la vie, le médecin voulait amputer ma jambe. Il m’a dit que ma vie serait en danger si j’insistais pour garder ma jambe. Lorsque j’ai dit au médecin que j’étais une pratiquante de Falun Dafa sous la protection de Maître Li et que je voulais sauver à la fois ma vie et ma jambe, le médecin m’a opérée. Je me suis réveillée le lendemain matin avec une douleur intense à la jambe. Le médecin m’a avertie qu’il serait difficile de sauver ma jambe si la blessure s’infectait. J’ai récité silencieusement et à plusieurs reprises la phrase « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et certains poèmes tirés du livre Hong Yin de Maître Li Hongzhi. La douleur dans ma jambe s’est rapidement estompée et je n’ai pas embêté personne pendant toute mon hospitalisation. Les médecins ont salué ma force de caractère et m’ont avertie que je devrais marcher avec des béquilles pour le reste de ma vie.

Au fur et à mesure de mon rétablissement, je me suis assise et j’ai écouté les enregistrements des conférences du Maître. Je méditais également et pratiquais les exercices. Lorsque j’ai quitté l’hôpital trois mois plus tard, j’étais capable de rester debout pendant une heure et de pratiquer les quatre premières séries d’exercices de Falun Dafa. Six mois plus tard, j’étais capable de descendre les escaliers à l’aide de béquilles (notre appartement se trouvait au sixième étage). À mesure que mon état s’améliorait, je n’avais plus besoin que d’une seule béquille. Je me suis rapidement mise à marcher toute seule. Un an plus tard, je me suis rendue à l’hôpital pour remercier les médecins qui m’avaient soignée. Ils étaient tous stupéfaits. « C’est un miracle médical ! » a déclaré l’un d’eux. J’ai attribué mon rétablissement rapide à la pratique du Falun Dafa et à la protection de Maître Li, un miracle qui ne peut pas être expliqué par la médecine et la science modernes.

Une femme âgée qui vivait dans mon immeuble a remarqué mon rétablissement rapide et m’a demandé quel médecin j’avais consulté pour me soigner. Son mari était paralysé depuis plus de trois ans, la laissant seule pour s’occuper de lui dans tous les aspects de sa vie quotidienne, y compris pour manger, boire et aller aux toilettes. Elle voulait trouver un bon médecin qui pourrait guérir son mari. Je lui ai conseillé de demander à son mari de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et de réciter elle-même ces phrases. Je lui ai également donné deux amulettes de Falun Dafa sur lesquelles étaient imprimés les mots « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’ai revu ma voisine une semaine plus tard. Elle m’a pris la main avec enthousiasme et m’a dit : « Mon mari et moi récitons chaque jour “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” Maintenant, il peut s’asseoir, manger tout seul et aller aux toilettes avec mon aide. C’est incroyable ! Mon mari veut vous rencontrer ! »

Nous sommes allés chez elle. Quand son mari m’a vue, il a levé les mains et a dit : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » avant de me remercier. Je lui ai conseillé de remercier plutôt le Maître du Falun Dafa. Il a crié : « Merci, Maître du Falun Dafa ! Le Maître est merveilleux ! » Après avoir écouté comment ma jambe s’était améliorée, il a dit : « Je veux pratiquer le Falun Dafa. Pouvez-vous m’apprendre ? » Je lui ai conseillé de lire d’abord le livre Zhuan Falun et de me contacter lorsqu’il serait prêt à apprendre les exercices. Je lui ai donné un exemplaire du Zhuan Falun et deux brochures de clarification de la vérité.

Conclusion

Pratiquer le Falun Dafa bénéficie aux familles et à la société. Les pratiquants persévèrent dans leur croyance et clarifient la vérité, non pas pour obtenir justice en tant que victimes, mais pour dissiper les mensonges calomnieux du PCC à propos de Dafa et pour sensibiliser le public aux violations, par le PCC, des droits de l’homme et de la constitution de la Chine. À l’avenir, ceux qui ont participé à la persécution des pratiquants de Falun Dafa seront tenus responsables de leurs crimes.

Traduit de l’anglais