(Minghui.org) Lors d’un événement à Bruxelles le 8 septembre 2025, des pratiquants ont informé le public de la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC) et des prélèvements forcés d’organes perpétrés par l’État. De nombreux passants se sont arrêtés pour lire les banderoles et signer la pétition demandant la fin des violations des droits de l’homme.
L’activité du 8 septembre 2025 a permis d’en apprendre davantage sur la persécution.
Les gens apprennent l’existence de la persécution du PCC.
L’atrocité des prélèvements forcés d’organes doit cesser
M. Giancarlo Astorg, un dentiste suédois vivant aujourd’hui à Bruxelles, a signé la pétition et dit : « Je suis au courant depuis l’âge de 15 ans environ et j’en ai maintenant 34. » Il a ajouté : « À l’école en Suède, j’ai été informé de la persécution du Falun Dafa en Chine. J’ai entendu parler des prélèvements forcés d’organes, une atrocité. Nous devons agir contre cela. »
En tant que chrétien, Giancarlo est particulièrement préoccupé par la liberté religieuse et estime que signer la pétition est un moyen important d’exprimer sa position : « Je sais que les chrétiens sont également persécutés. Les pratiquants de Falun Dafa veulent simplement être de bonnes personnes, mais ils sont réprimés. Cela ne devrait pas arriver. »
Évoquant le principe du Falun Dafa, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, il a acquiescé : « C'est un excellent principe. Rester honnête, ne pas mentir, ne pas nuire aux autres et permettre à chacun de faire l’expérience de la bonté dans la vie, voilà ce que l’humanité devrait rechercher. »
Des personnes signent la pétition demandant la fin de la persécution.
Anne-Sophie est étudiante en deuxième année d’infirmière à l’Université des Sciences appliquées de l’UCLL. C’est à l’école qu’elle a appris pour la première fois la persécution des pratiquants de Falun Dafa par le PCC, notamment les prélèvements d’organes non consentis et les profits financiers. Elle a dit : « J’ai été indignée. C’est moralement inacceptable et profondément regrettable pour le peuple chinois. »
Elle a ajouté : « Le professeur nous a dit que certaines personnes avaient été emprisonnées pour leur pratique du Falun Dafa, puis que leurs organes avaient été prélevés et vendus. Ces personnes ont perdu la vie ! »
Elle a également déploré que presque personne dans les médias ou dans la société ne parle de cette persécution. « C’est tellement bizarre. »
« Il faut que cela soit rapporté dans les médias pour que le public soit au courant. Car une fois informés, les gens sauront ce qui est juste. Chaque pays doit prêter attention à cette question. Si tout le monde est au courant, alors [le PCC] n’osera plus faire ce qu’il veut », a-t-elle dit.
Le public condamne la persécution
Après avoir assisté à la démonstration des exercices et avoir pris connaissance de la persécution, Glenn a signé la pétition sans hésitation pour condamner le prélèvement illégal d’organes en Chine. « Même si quelqu'un a commis de mauvaises actions, ses organes ne devraient pas être prélevés illégalement, et encore moins ceux d'une bonne personne », a dit Glenn. « S'ils tuent des gens pour leurs organes, c'est vraiment horrible. » Face à de telles violations des droits humains, Glenn a dit : « Il est urgent de mettre fin à la persécution. Des vies humaines sont supprimées en un instant. Nous ne pouvons pas attendre. »
Il a dit aux pratiquants qu’il diffuserait l’information sur les réseaux sociaux afin de sensibiliser davantage de personnes à ce problème.
Après avoir signé la pétition, Zaina a été choquée d’apprendre que les prélèvements forcés d’organes étaient commandités par l’État en Chine. Elle a dit : « J’ai signé la pétition pour m’opposer à la persécution. C’est inhumain et il faut y mettre fin. »
Elle a expliqué que le trafic d’organes existe en Chine depuis des années, mais que les médias et le monde des affaires en parlent peu. « Beaucoup de gens ignorent totalement ce qui se passe. Nous espérons que le gouvernement sait que de nombreuses personnes s’opposent à cette persécution et aux prélèvements d’organes. Je demanderai à mes amis de signer. »
Nicolas, un étudiant en droit et consultant juridique, a discuté avec des pratiquants pour en savoir plus sur le Falun Dafa et la persécution, et a signé la pétition. Il a dit ne rien connaître pratiquement du Falun Dafa auparavant et il est profondément consterné par les prélèvements forcés d’organes.
« C’est une catastrophe humanitaire », a-t-il dit. « C’est incroyable qu’une telle chose puisse se produire dans un pays moderne. Ces personnes aspirent simplement à devenir meilleures, et pourtant elles sont brutalement persécutées. Cela doit cesser. »
Il a souligné l’importance de diffuser l’information : « Nous ignorions totalement ce qui se passait. Le monde des affaires et les médias traditionnels sont restés quasiment silencieux, et ce silence est en soi une forme de complicité. Éduquer les gens sur la vérité est un moyen de provoquer le changement. »
Nicolas a dit que cet événement n’était pas seulement un appel à la paix, mais aussi une forme d’éducation sociale. Il a dit qu’il partagerait l’information avec sa famille et ses amis et qu’il continuerait à prêter attention à cette question.
Arbourn
Arbourn a observé les pratiquants faire des démonstrations d’exercices et a lu les panneaux d’affichage. Il s’est dit choqué par les atrocités commises par le PCC : « C’est horrible. Si c’est vrai, il faut y mettre fin. »
« Ce n’est pas une question politique, c’est une question humanitaire », a-t-il dit. « Chaque pays a son propre système, mais si des gens sont tués pour leurs convictions, c’est un problème pour l’humanité entière. »
Caroline et Federica
Caroline et Federica ont assisté aux démonstrations des exercices, lu les informations et exprimé leur soutien aux pratiquants. « Je n’avais jamais entendu parler du Falun Dafa auparavant, et c’est la première fois que j’en entends parler », a dit Caroline. « Ils appellent à la fin de la persécution, qui dure depuis vingt-six ans. C’est vraiment choquant. » Elle a ajouté : « Tant de personnes sont détenues, c’est horrible. »
Federica se souvient d’un défilé du Falun Dafa qu’elle a vu devant le Palais de la Paix à La Haye, aux Pays-Bas, il y a quelques années : « Ils méditaient calmement et paisiblement. Je les trouve très courageux de soutenir ainsi les personnes opprimées en Chine. » Elle a dit adhérer pleinement au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. « C'est un beau principe mais le plus important est de l’incarner par ses actes. Chacun devrait être libre d’être lui-même et ne devrait pas être opprimé. »
Traduit de l’anglais
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