(Minghui.org)
Voici quelques-unes de mes compréhensions et expériences de cultivation. Je les partage ici avec les compagnons de cultivation. Veuillez souligner toute faille.
Au printemps 1999, j'ai entendu parler du Falun Dafa et j'ai commencé à pratiquer. Toutes mes maladies ont alors disparu. Grâce à la façon dont je me suis améliorée, toute ma famille m'a soutenue dans l'étude de Dafa et cela a créé un bon environnement pour que je clarifie la vérité aux autres.
Avoir foi dans le Maître et en Dafa et bien nous cultiver
La période des baux des vergers touchait à sa fin dans notre village. Nous allions signer de nouveaux contrats avec le village. J'ai alors reçu les terres dont les autres villages ne voulaient pas. Il y avait un tiers d'hectare – vallonné, herbeux et peu praticable. Ma famille m'a demandé de ne pas signer le contrat et même les autres villageois ont dit : « Pourquoi accepteriez-vous ce terrain ? Ne le prenez pas ! » J'ai répondu : « Je pratique Falun Dafa et vis selon les exigences d'Authenticité Bienveillance Tolérance. Je dois tenir mes promesses (J'avais dit que je prendrais le terrain). Aucune difficulté ne peut arrêter un pratiquant de Dafa. Dafa peut tout réaliser. » J'ai donc signé le contrat.
Ce verger était rempli de bosses, de trous et d'herbes. Bien que je sois une femme âgée d'une cinquantaine d'années, j'ai réussi à reboucher les trous, aplanir le sol et enlever toutes les mauvaises herbes en une journée. Un villageois m'a demandé si j'étais fatiguée. J'ai répondu : « Non, je ne suis pas fatiguée. » Il a dit : « Je n'aurais pas pu faire ça. »
J'ai gardé le bail de ce verger pendant neuf ans. Les trois premières années, je n'ai répandu aucun engrais et presque aucun pesticide. Mais les fruits de mon verger étaient plus beaux que ceux des autres. Les villageois ont dit : « Le Ciel vous bénit ! » Je leur ai répondu : « Chaque pratiquant de Dafa a une bonne fortune. »
Je suis les enseignements du Maître de penser d'abord aux autres pour tout. Un jour, de gros nuages ont soudain couvert le ciel et des gouttes sont tombées. Le champ de maïs de ma voisine n'avait pas encore été moissonné. J'ai couru l'aider à ramasser le maïs. « Personne n'est venu m'aider, à part toi. Dafa est bon ! » J'ai compris que les actes sont plus puissants que les paroles. Je me suis sentie très heureuse de voir les êtres prendre conscience des merveilles de Dafa.
Faire connaître les merveilles de Dafa et amener les gens à apprendre Dafa
Ma belle-sœur est une personne simple et directe. On voit sur son visage si elle est heureuse ou triste. Si elle est malheureuse, elle va le dire, que les autres le veuillent ou non. Ma mère, qui est handicapée, vivait avec elle et son mari. Ma plus jeune sœur, également pratiquante de Dafa, et moi-même nous sommes rendues tour à tour au domicile de ma belle-sœur pour nous occuper de notre mère. Un jour, j'ai apporté de la nourriture à ma mère. En me voyant arriver, ma belle-sœur a dit froidement à ma mère : « Pourquoi ne rentrez-vous pas chez vous avec votre fille. » Elle nous a ensuite mises, ma mère et moi, dehors et est partie au marché. Soutenant ma mère et portant son sac, je l'ai aidée à marcher pas à pas jusqu'à son domicile. Mais je n'avais pas la clé. Nous sommes restées dehors dans le froid hivernal. Ma belle-sœur a réalisé qu'elle ne nous avait pas donné la clé et est revenue pour nous la donner. Puis elle est partie. Cela m'a pris un bon moment pour nettoyer la pièce et installer ma mère. Mais je ne ressentais aucune haine pour ma belle-sœur. Je n'aurais pas eu un esprit de si grande tolérance si je n'avais pas pratiqué le Falun Gong. Ma plus jeune sœur et moi nous sommes occupées de ma mère chez elle.
Les malheurs n'arrivent jamais seuls. Mon frère, ouvrier dans le bâtiment, est tombé de haut et a été paralysé. Pendant trois mois, ma plus jeune sœur et moi nous sommes rendues à l'hôpital pour l'aider, qu'il pleuve ou qu'il fasse beau. Nous avons également essayé de le faire étudier Dafa. Sa situation s'est un peu améliorée. Un jour, il neigeait, mais je suis tout de même allée le voir. Mon frère a dit : « Ma sœur aînée a plus de 60 ans, mais elle vient encore me voir avec toute cette neige. » Ma belle-sœur a aussi été émue aux larmes.
Un an plus tard, mon frère est décédé. Dans ses derniers instants, il m'a dit en larmes : « Ma sœur, Dafa est bon. Tu dois continuer à pratiquer. » Il a aussi dit à son épouse : « Quand je serai parti, tu dois étudier Dafa. Je regrette tellement que ma sœur m'ait donné le livre de Dafa il y a un an sans que je l'aie lu. Je n'aurais pas terminé de cette façon si j'avais étudié Dafa... »
Mon frère est parti en paix. Ma belle-sœur a surpassé son chagrin et a commencé la cultivation et pratique de Dafa. Elle est diligente dans son étude de la Loi, dans la clarification de la vérité, et pour conseiller les gens de démissionner du PCC et de ses organismes affiliés. Les gens de la région disent qu'elle a complètement changé en une nouvelle personne.
Aider les pratiquants à abandonner le chagrin de perdre un membre de la famille pour avancer en groupe
Le mari d'une pratiquante d'un village avoisinant est décédé. Cette pratiquante et sa belle-mère étaient en larmes chaque jour et n'avaient plus d'appétit. J'ai invité plusieurs pratiquants à lui rendre visite, à l'encourager à dépasser son chagrin, à abandonner l'attachement au sentiment et à bien faire les choses que les disciples de Dafa doivent accomplir. Nous l'avons aussi aidée dans ses tâches ménagères et à la ferme. Elle s'est éveillée et est vite devenue rationnelle. Le groupe d'étude de la Loi dans sa famille a repris. Elle a amené sa belle-mère et sa belle-sœur à être diligentes.
Je sais que je suis encore loin des exigences de la Loi. Je vais continuer à être diligente, afin que le Maître ne s'inquiète pas pour moi.
Article original : le 20 février 2010
Traduit de l'anglais en France
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