Clarifier la vérité sur le Falun Gong dans un poste de police

(Minghui.org) Pendant plusieurs années, j'ai clarifié la vérité aux gens en face à face, en passant des appels téléphoniques et en distribuant des documents de clarification de la vérité. Durant cette pandémie, j'ai essayé de dire aux gens, « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

En mai, lorsque j'étais en train de parler des faits à une personne dans la rue, un groupe de jeunes policiers m'a arrêtée et m'a emmenée dans leur circonscription. Cela s'est produit parce que je m'étais relâchée dans l'émission de la pensée droite. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que j'étais trop anxieuse au sujet de sauver les êtres, alors les forces anciennes ont profité de cette lacune.

Le Maître nous a dit que clarifier la vérité est la clé pour résoudre toutes sortes de problèmes. Je me suis calmée et j'ai décidé de saisir cette occasion pour clarifier la vérité à ces policiers et éveiller leur conscience. J'avais toujours voulu parler aux policiers du poste de police, mais je n'en avais jamais trouvé l'occasion. Maintenant, l'opportunité s'était présentée. Je n'ai pas considéré cette arrestation comme une persécution. Lorsque le Maître a commencé à enseigner le Fa, de nombreuses divinités sont venues dans ce monde et se sont réincarnées. Beaucoup d'entre elles n'ont pas appris la vérité sur le Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa). C'était une excellente occasion d'éveiller leur conscience.

Au poste de police, les policiers ont vaporisé du désinfectant sur moi et sur eux-mêmes. J'ai dit calmement : « Qu'est-ce qui est le plus important durant cette pandémie ? C'est votre vie. Cette épidémie est un avertissement des divinités, mais vous continuez à vous impliquer dans la persécution de bonnes personnes. Si vous arrêtez ce comportement, vous n'aurez pas à vous inquiéter de cette pandémie. » Ils n'ont pas su quoi dire.

J'ai continué d'émettre la pensée droite et de demander au Maître de m'aider à éliminer la perversité derrière les policiers.

Ils m'ont demandé mes informations personnelles et d'où venaient mes documents de clarification de la vérité. J'ai répondu : « Je ne peux pas vous le dire, parce que je ne veux pas coopérer avec vous et vous aider à commettre un crime en persécutant d'autres personnes. En réalité, vous êtes les personnes qui sont réellement persécutées. Est-ce que vous savez que vous devrez le rembourser ? Les pratiquants de Falun Gong essaient d'éveiller la conscience des gens. Nous disons aux gens que réciter Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, peut les protéger durant l'épidémie. »

J'ai continué : « De nombreux prophètes dans l'histoire ont prévu cette épidémie. La cible est le Parti communiste chinois (PCC). La persécution du Falun Gong par le PCC dure depuis vingt et un ans. Pouvez-vous me dire pourquoi depuis ces vingt et une dernières années, de plus en plus de gens ont commencé à pratiquer le Falun Gong ? C'est parce qu’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est la Loi de l'univers, permettant aux gens d'élever leur caractère moral et d'éviter les désastres. »

Je n'avais aucune pensée négative ni de peur en leur parlant. Surtout face aux policiers, je devais leur en dire davantage pour les aider à entendre la vérité. Je croisais souvent des policiers en civil dans la rue. Je n'ai jamais senti de peur et je leur ai toujours donné des documents de clarification de la vérité. Certains d'entre eux me remerciaient et certains me disaient d'être prudente et de ne pas parler trop fort en public. Je pense que toutes les vies, y compris les policiers, veulent connaître la vérité. Cependant, beaucoup sont trompés à cause de leur endoctrinement par le PCC et ils ont besoin de nous pour éveiller leur conscience.

Au poste de police, je n'ai répondu à aucune question. Peu importe ce qu'ils disaient, j'ai toujours répondu avec ce qu'ils avaient besoin de savoir. Je leur ai dit que les pratiquants aident les gens à connaître la vérité. Nous produisons des documents avec notre propre argent. Je leur ai dit de lire attentivement les documents de clarification de la vérité et de ne pas être utilisés par le PCC.

Pendant que j'étais au poste, des policiers ont saccagé mon domicile. Ils ont confisqué mes livres de Dafa. Je leur ai dit : « Vous commettez un crime. Vous êtes comme des voleurs. Le Ciel vous regarde. » Un jeune policier a tenu le portrait du Maître et a marché sur mes orteils en disant : « Est-ce que tu crois que je vais déchirer la photo ? » Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai dit : « Si tu fais cela, tu recevras une rétribution immédiate. » Il a eu des frissons et son corps a tremblé. Il est parti ensuite sans rien ajouter.

Dafa est bienveillant, mais il est aussi sérieux. Le portrait du Maître ne peut pas être endommagé par la perversité. J'ai émis la pensée droite pour éliminer la perversité qui les contrôlait.

Je leur ai parlé pendant quatre heures. Au début, ils m'insultaient, mais ensuite, certains ont commencé à écouter silencieusement. Certains sont partis. Lorsqu'un autre arrivait, j'expliquais la vérité et j'essayais de les faire démissionner du Parti. J'ai dit : « Sauvez votre peau et ne soyez pas éliminés avec le PCC. Arrêtez de persécuter le Falun Gong. » Certains ont hoché la tête et pas mal d'entre eux ont accepté de démissionner du Parti.

Plus tard, le chef de la police m'a demandé de signer un document détaillant notre discussion. J'ai d'abord refusé d'y jeter un coup d’œil. Le chef l'a lu pour moi. C'était exactement ce que j'avais dit. J'ai été soulagée et je n'ai pas arrêté de remercier le Maître.

Finalement, ils m'ont laissé rentrer à la maison. J'ai demandé à ravoir mes livres de Dafa. Un policier a dit tranquillement : « S'il te plaît, achètes-en d'autres. Nous avons besoin des livres pour rendre compte à nos autorités. Rentre juste chez toi. » J'ai dit : « Je reviendrai demain pour reprendre mes livres. S'il vous plaît, prenez-en soin. »

J'ai raconté aux compagnons de cultivation ce qui s'était passé. Pour eux, je devais y retourner pour clarifier davantage la vérité et ils allaient émettre la pensée droite pour moi.

Le lendemain, j'ai émis la pensée droite pendant longtemps avant de me rendre au poste. Un des policiers qui faisait partie de ceux qui m'avaient arrêté était impoli. Il m'a emmenée dans une pièce et il m'a dit d'attendre la personne responsable. Je n'avais aucune peur et ne me souciais pas de son attitude impolie. Tout ce que je pensais, c'était que des vies étaient en danger et que les policiers ne pouvaient s'éveiller à la vérité que s'ils connaissaient la vérité et arrêtaient de faire ses mauvaises choses.

À son retour, j'ai dit : « Beaucoup de personnes qui ont appris la vérité ont corrigé leurs erreurs. Ils protègent les disciples de Dafa et ils ont tous été récompensés. Bon nombre d'entre eux ont eu des promotions. » Il s'est détendu et n'a plus montré de colère sur son visage. J'ai alors dit : « Si vous protégez également les pratiquants, vous serez promu. Lorsque cela arrivera, faites-moi signe. Je vous enverrai mes félicitations. » Il a ri et le ton de sa voix est devenu plus agréable.

Ils m'ont dit que le chef allait venir vers 8 h 30. Je me suis assise dans la salle de réception en émettant la pensée droite et en mémorisant le Fa.

De nombreux policiers sont passés par la salle de réception. Je leur ai tous parlé, leur demandant de ne pas s'impliquer dans la persécution du Falun Gong. J'ai dit : « Regardez le sort de ces hauts fonctionnaires du PCC, qui ont activement persécuté le Falun Gong, tel que Zhou Yongkang, Bo Xilai et d'autres. Ils sont emprisonnés. Souvenez-vous que Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Vous devez comprendre que seul le fait de démissionner du PCC peut vous apporter un avenir radieux. »

Certains d'entre eux n'ont rien dit, d'autres ont souri et un jeune policier m'a félicité pour mon courage. Un jeune policier a dit : « Venez vous asseoir près de nous et nous dire la vérité derrière les auto-immolations de la place Tiananmen. »

Six policiers dans la pièce m'ont écoutée. J'ai dit : « En résumé, c'était un coup monté perpétré par le PCC pour calomnier le Falun Gong et tromper les gens. Il existe de nombreuses lacunes. Pourquoi les personnes impliquées venaient-elles de tous les horizons ? Il y avait des étudiants, des personnes âgées et de jeunes enfants. Coïncidence ? La pièce a été conçue pour émouvoir les gens et les faire détester le Falun Gong, ainsi, le PCC aurait une excuse pour continuer de le persécuter. Notre Maître enseigne explicitement que le suicide est un crime et est interdit. Ces personnes n'étaient pas des pratiquants de Falun Gong. » J'ai continué à souligner davantage de lacunes et les policiers ont été d'accord avec moi.

Le jeune policier qui m'avait demandé d'en dire davantage a levé le pouce : « Ce que vous avez dit est très bien. Vous êtes remarquables. Cela montre que les êtres divins existent réellement. »

Le chef n'est pas venu ce matin-là. Dans l'après-midi, plus de policiers sont venus poser des questions. Ils m'ont accueillie comme une « tante » ou une « sœur ». Je leur ai dit beaucoup de choses qui les intéressaient. Je leur ai dit que la chaîne NTDTV fait la promotion de la culture traditionnelle chinoise et j'ai chanté également des chansons composées par des pratiquants. J'ai aussi convaincu le jeune homme qui m'avait félicitée le matin de démissionner du Parti. Il était heureux d'avoir cette possibilité et il m'a remerciée.

J'ai attendu pendant la journée entière, mais le chef ne s'est jamais montré. Je n'ai pas pu rapporter mes livres, mais je ne pense pas que j'ai perdu mon temps, car j'ai joué le rôle principal dans le poste de police et ai expliqué de nombreux faits aux jeunes policiers.

Ce fut vraiment une occasion précieuse. Après avoir éliminé la perversité derrière la police, ils ont voulu apprendre la vérité. Avec l'aide du Maître et la pensée droite des compagnons de cultivation, le champ a été purifié. Le Maître a dit : « Face aux épreuves, la vraie nature est révélée » (« Voir la vraie nature », Hong Yin Vol. II).

Traduit de l'anglais