(Minghui.org) Grâce aux efforts constants des pratiquants de Falun Dafa pour dénoncer la persécution de leur croyance par le Parti communiste chinois (PCC), de nombreuses personnes ont pris conscience de cette persécution et se sont courageusement levées pour soutenir le droit des pratiquants à la liberté de croyance. Cela m'a encouragée à faire mieux et à toucher plus de gens. J'aimerais partager ici quelques histoires de personnes âgées à qui j'ai parlé.

Une personne âgée crie haut et fort en public : « Longue vie au Falun Dafa ! »

Un jour d'été, je suis sortie après le déjeuner. J'ai vu une personne âgée de 70 ou 80 ans, assise dans un fauteuil roulant, qui attendait derrière l'arrêt de bus. Il écoutait de la musique à fond avec un lecteur MP3 portable.

J'ai regardé autour de moi et je n'ai vu personne. Puis je me suis dit : « Pourquoi cet homme est-il venu ici seul à midi ? N'est-ce pas une occasion parfaite pour moi de lui parler ? »

Je me suis approchée de lui et lui ai demandé : « Vous attendez le bus ? » Il a secoué la tête. J'ai découvert qu'il était une victime des mouvements politiques du PCC. Sachant à quel point le PCC est mauvais, il a dit : « J'ai dit à mes enfants et petits-enfants de ne jamais adhérer au Parti, car il ne fait que de mauvaises choses. »

Je lui ai dit que le PCC continue à faire des choses perverses. J'ai expliqué comment il a monté une machination contre le Falun Dafa par le biais des médias d'État et comment les pratiquants de Dafa sont torturés brutalement, simplement parce qu'ils refusent de renoncer à leur croyance. Il m'a écoutée attentivement et m'a dit : « Maintenant je comprends pourquoi un de mes collègues a insisté pour continuer sa pratique du Falun Dafa, aussi brutale soit la persécution. »

Il s'est intéressé au Falun Dafa et voulait également l'apprendre.

Puis, le bus est arrivé. Quand je suis montée dans le bus, je l'ai entendu crier à pleins poumons : « Longue vie au Falun Dafa ! » Tout le monde dans le bus l'a entendu clairement.

« Apprendre de vous »

Un autre après-midi, alors que j'étais dans le bus, une femme âgée de 70 ou 80 ans n'arrêtait pas de me fixer. Je lui ai souri et lui ai dit « Bonjour ». Elle m'a répondu : « C'est incroyable, vous avez l'air en très bonne santé. »

Je l'ai remerciée du compliment et lui ai dit : « Je vais avoir 60 ans. La raison pour laquelle je suis en si bonne santé est que je pratique le Falun Dafa. » Une étincelle a brillé dans ses yeux : « Je veux aussi l'apprendre. »

Elle m'a dit : « Je fais une dépression et je voulais mourir. »

« S'il vous plaît, ne pensez pas de cette façon ! » J'ai essayé de poursuivre la conversation, mais elle était sur le point de descendre du bus. Je voulais l'aider, alors j'ai décidé de descendre du bus aussi.

Elle a été très surprise : « Ce n'est pas encore votre arrêt. »

Je lui ai dit : « J'ai encore beaucoup de choses à vous dire. » Puis, je lui ai parlé du Falun Dafa, de combien il est merveilleux.

Elle m'a répondu : « Il y a quelques jours, alors que je marchais dans une rue, une femme m'a donné un dépliant sur le Falun Dafa. Je l'ai lu et j'ai réalisé à quel point les médias avaient menti à ce sujet. Je vous soutiens. »

J'étais encore inquiète au sujet de sa dépression, mais elle m'a dit : « Ne vous inquiétez pas. J'apprécie la vie maintenant, après vous avoir parlé. Je veux apprendre des pratiquants de Falun Dafa. » Elle a accepté sans hésitation de démissionner du PCC et de ses organisations associées.

À une autre occasion, dans un bus, j'ai parlé du Falun Dafa et de la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen à une enseignante à la retraite. Elle a écouté attentivement et je pouvais voir que c'était la première fois qu'elle entendait autant parler du Falun Dafa. Elle a accepté ce que j'ai dit et quand elle a été prête à descendre du bus, elle s'est tournée vers moi et m'a souhaité bonne chance.

Traduit de l’anglais