L'Appel pacifique du 25 avril et un remède bienfaisant à la pandémie de coronavirus

(Minghui.org) Le Falun Gong (appelé aussi Falun Dafa) est une méthode bouddhiste ancestrale chinoise basée sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance incluant une série de cinq exercices. Elle permet de fortifier la santé et d'élever la moralité. Depuis sa transmission au grand public en Chine en mai 1992, principalement de bouche à l'oreille, en l'espace de sept ans cent millions de citoyens chinois se sont mis à cultiver et pratiquer le Falun Gong.

Le 23 avril 1999, la police de la ville de Tianjin a arrêté illégalement 45 pratiquants de Falun Gong. Pour défendre leur liberté de croyance, plus de 10 000 pratiquants de Falun Gong sont allés au Bureau d'appel du Conseil d'État qui se situait à l'époque à côté du Zhongnanhai, le siège du Parti communiste chinois (PCC) et du gouvernement chinois.

Des représentants de ces pratiquants de Falun Gong ont été reçus par le Premier ministre de l'époque en personne et le problème a été résolu de manière appropriée et convenable. C'est ce que l'on appelle l'« Événement du 25 avril » ou « Appel pacifique du 25 avril ».

En un clin d’œil, 21 ans ont passé. Aujourd'hui on est en pleine crise de la pneumonie de Wuhan (virus du PCC).

Dans toute histoire de l'être humain, les catastrophes naturelles et les pandémies arrivent toujours au moment où les mœurs sont dépravées. Nos ancêtres croient sincèrement que le bon est récompensé par le bien, le mal est puni par le mal. Cette sagesse nous fait réfléchir.

Le jour du 25 avril 1999, l'ambiance était extrêmement sereine et pacifique tout au long de cet appel de plus de 10 000 personnes. Ils n'avaient pas reçu de mot d'ordre ni de slogan ; ils n'ont pas bloqué le trafic. Ils rapportaient tout simplement la réalité des choses au Bureau d'appel. Vu le comportement si paisible et calme des pratiquants, les policiers bavardaient carrément avec eux. On était mutuellement harmonieux et respectueux et il n'y avait rien de grave. Ce qui est le plus appréciable, c'est que personne ne jetait de déchet. Les habitants du coin ont sans cesse fait leur éloge : on admire la qualité de ces gens.

Un comportement d'autodiscipline naît de la puissance de la croyance droite. Le Falun Gong demande aux pratiquants de respecter le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ; de cultiver son cœur et d'accorder de l'importance à la moralité ; d'être strict envers soi-même, mais tolérant envers les autres. Le Falun Gong insuffle de l'air frais dans la société. Cela pouvait être une excellente opportunité pour la Chine de rétablir la moralité et de rectifier le cœur de l'homme. Mais quel dommage ! En moins de trois mois après l'événement du 25 avril, le PCC et le clan de Jiang Zemin ont déclenché la persécution à l'encontre du Falun Gong le 20 juillet 1999 en mobilisant toute la machine d'État. Ils utilisent illégalement la détention, le lavage de cerveau, jusqu'aux prélèvements forcés d'organes des pratiquants de Falun Gong. À ce jour, on a identifié plus de 4400 pratiquants persécutés à mort. D'innombrables familles ont été ruinées.

Avec cette persécution, en une Chine continentale gouvernée par le PCC, la moralité se déprave gravement ; on est sans scrupules pour ses intérêts égoïstes ; les aliments et produits sont altérés, du lait en poudre toxique à l'huile d'égout, des données de l'économie aux diplômes de doctorat, cela a tout envahi.

Pendant 70 ans du pouvoir usurpé par le PCC, la Chine est remplie de luttes, de haine, de massacres, de mensonges et de terreur. L'idéal de moralité et les critères de bien et de mal sont complètement inversés. Le PCC excite l'adultération et la pensée perverse de l'athéisme pour empoisonner le peuple chinois.

Pendant la pandémie de la pneumonie de Wuhan, on a découvert que la propagation du virus suit les pays, régions, villes, organismes et individus qui ont des relations étroites avec le PCC. De nombreuses personnes décédées du virus du PCC sont presque sans exception membres du PCC ou bien des matérialistes qui rejettent les divinités. Comme dit un proverbe chinois : Quand on est proche de l'encre, on devient noir.

Puisque cette fois-ci ce virus vise le PCC, tout pays ou individu qui se range aux côtés du PCC peut être la cible d'une contamination sélective du virus et ainsi devenir une stèle funéraire du PCC. Estimer la croyance droite et respecter le ciel et les divinités est la seule voie royale pour dissiper la pandémie et poursuivre la bonne chance et éviter le désastre. Connaître clairement la racine de cet énorme désastre et refuser le PCC est le meilleur remède qui guérit tout miraculeusement.

Le livre Neuf commentaires sur le Parti communiste dit : « Le ciel anéantit le PCC », ce qui signifie que le PCC est un spectre pervers qui nuit à ce monde, si l'homme préserve la bonne conscience et la bienveillance, et se conforme à la volonté du Ciel, alors les divinités et bouddhas aideront les gens de ce monde à éliminer le démon rouge. Actuellement, de nombreuses personnes voient clairement que le PCC est le plus gros virus et l'ennemi public de l'humanité. La façon du PCC de répondre à la pandémie, en réprimant la liberté de l'expression et méprisant la vie du peuple, montre pleinement que le danger de ce démon rouge dépasse de loin celui du virus du PCC lui-même.

Le vécu et les expériences que beaucoup de Chinois ont traversés récemment prouvent que quand on démissionne avec un cœur sincère du PCC ainsi que de ses organisations affiliées pour se débarrasser de la marque au fer de ce démon pervers, on aura le bonheur de rencontrer des miracles et de s'éloigner de tout désastre.

L'Appel pacifique du 25 avril lance un monument de moralité. Il est un point de départ pour rectifier le cœur de l'homme. C'est aussi là où est l'espoir pour recréer la Chine. Passer en paix la catastrophe de cette pandémie est une volonté de toute l'humanité. Quand du fond de son cœur on estime la bienveillance, on sera protégé et béni par le Ciel, et on s'éloignera du désastre.

Traduit du chinois