Ma cliente a finalement appris la vérité

(Minghui.org) J’étais cosmétologue. C’était une bonne occasion de parler du Falun Dafa à mes clientes lorsque je leur faisais un soin.

Toutes mes clientes, sauf une, avaient appris de moi la vérité sur le Falun Dafa. Celle-ci semblait un peu arrogante et ne parlait pas beaucoup. Je ne l’ai jamais vue sourire. Elle était ma cliente depuis six mois et je ne lui avais toujours pas clarifié la vérité. J’avais peur de manquer l’occasion qui m’était présentée.

Un jour, alors que je lui prodiguais un soin, j’ai enfin eu le courage de lui expliquer les faits. Elle s’est soudainement assise et a dit : « Savez-vous ce que je fais ? Mon bureau travaille pour faire tomber le Falun Dafa. »

Je me suis sentie un peu nerveuse, mais je me suis calmée et je lui ai dit : « Détendez-vous. Vous venez ici depuis six mois. Me suis-je déjà mal comportée ? Laissez-moi vous parler des personnes qui pratiquent le Falun Dafa. »

Tout en lui faisant son masque facial, je lui ai parlé de la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen, pourquoi et comment le Parti communiste chinois (PCC) persécute le Falun Dafa, comment il opprime le peuple chinois, que le bien est récompensé et le mal puni, etc. J’ai parlé pendant près d’une heure, et elle m’a écouté patiemment.

Une fois son soin terminé, elle s’est ouverte et m’a beaucoup parlé. Elle a dit : « Je crois que ce que vous dites est vrai. J’ai confiance en vous. Au cours des six derniers mois, je pouvais sentir que vous étiez différente. D’autres cosmétologues ne cessaient de faire de la promotion et d’essayer de me vendre des produits de soins de la peau ou des abonnements. Si je n’achetais rien, ils n’étaient plus gentils avec moi. Vous êtes différente. Vous me donnez des suggestions honnêtes sur vos produits et vous m’éduquez sur les soins de la peau. La qualité de votre service a toujours été de qualité, et j’aime venir ici. »

Elle a dit que d’autres pratiquants lui avaient rendu visite à son domicile et avaient essayé de lui clarifier les faits, mais elle leur avait dit de partir. Elle avait également reçu de nombreux appels téléphoniques de pratiquants étrangers qui avaient appelé pour expliquer la vérité sur le Falun Dafa. Elle n’avait jamais voulu écouter et avait raccroché.

Elle a dit qu’elle croyait que le bien serait récompensé et que le mal serait puni. Son frère était dans la division de la sécurité nationale et avait arrêté des pratiquants. Sa femme avait un cancer et le médecin ne pouvait pas la guérir. « Que pouvons-nous faire ? » a-t-elle demandé.

J’ai répondu : « Dites à votre frère d’arrêter de persécuter les pratiquants de Falun Dafa. S’il peut protéger les pratiquants, il sera béni. Ce serait mieux s’il pouvait trouver un autre travail. »

Je lui ai donné une amulette de Dafa et lui ai dit : « Avec révérence et sincérité, répétez les phrases qui y sont inscrits, “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. » Elle a accepté et a dit qu’elle chérirait l’amulette et la garderait en sécurité.

« Vous devez aussi démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse », lui ai-je conseillé. « Cela peut vous mettre en sécurité. » Elle a accepté et a voulu démissionner avec son vrai nom.

Elle a dit : « En tant que membre du PCC, je connais probablement mieux que vous sa méchanceté. Mais je n’ose pas en parler. Les pratiquants de Falun Dafa n’ont jamais renoncé à me dire la vérité. Je pouvais sentir la bonté de vos cœurs. Vous incitez les gens à démissionner du PCC pour leur propre bien. »

Elle m’a donné son emblème du PCC et m’a demandé de le détruire parce que j’avais mentionné que ces choses étaient possédées par des esprits maléfiques. Elle a demandé deux autres amulettes pour les membres de sa famille.

Une semaine plus tard, elle est venue me donner une liste des vrais noms de huit membres de sa famille. Ils voulaient tous démissionner des organisations du PCC. Elle a promis qu’elle ne participerait jamais à la persécution. Elle allait bientôt prendre sa retraite. Je lui ai dit : « Il n’est jamais trop tard pour réparer les erreurs du passé. »

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Traduit de l’anglais