(Minghui.org) En juillet 1999, Jiang Zemin, l’ancien chef du Parti communiste chinois (PCC), a ordonné la persécution du Falun Gong. Il a mobilisé tous les organes de l’État pour diffamer le Falun Gong et marginaliser les pratiquants. Même après son retrait de la tête du Parti et sa mort, ses successeurs continuent de suivre les mêmes politiques d’éradication visant à « salir leur réputation, les ruiner financièrement, et détruire leur corps physique ».
Au cours des vingt-six dernières années, d’innombrables pratiquants ont été harcelés, illégalement arrêtés, détenus, torturés et même tués pour leurs organes. Ces dernières années, les prélèvements d’organes sur des personnes vivantes se sont étendus à l’ensemble de la population chinoise, de nombreux jeunes disparaissant sans laisser de traces.
Le 20 novembre 2025, à Washington, D.C., aux États-Unis, lors de l’audience parlementaire intitulée « China’s War on Religion : The Threat to Religious Freedom and Why It Matters to the United States » (Ndt : La guerre de la Chine contre la religion : La menace pour la liberté religieuse et son importance pour les États-Unis), l’ancien ambassadeur Sam Brownback a déclaré : « La Chine est en guerre contre la foi. Il s’agit d’une bataille pour le contrôle de son peuple. Le PCC dépense chaque année des milliards de dollars dans son propre pays pour réprimer, contenir, contrôler, tromper ou éliminer toutes les entités religieuses qui ne le reconnaissent pas comme leur chef. La liberté religieuse est considérée comme une menace existentielle pour le leadership communiste. ... Nous devons soutenir fermement ces croyants opprimés. »
En ce 10 décembre 2025, Journée internationale des droits de l’homme, il est impératif que les peuples du monde entier prennent conscience des atrocités en cours et exigent que le PCC mette immédiatement fin à la persécution religieuse et au massacre d’innocents.
Vous trouverez ci-dessous une sélection de cas récents de persécution qui donnent un aperçu des abus auxquels sont confrontés quotidiennement les pratiquants en Chine.
Cas de décès
Mme Wang Yan, âgée de 71 ans, originaire de la ville de Shenyang, province du Liaoning, est morte le 9 mai 2025, alors qu’elle purgeait une peine illégale de quatre ans dans la prison pour femmes de la province du Liaoning.
Mme Wang, originaire de la ville de Shenyang, province du Liaoning, a été initialement illégalement arrêtée chez elle le 5 mars 2022 après avoir été signalée parce qu’elle distribuait des documents d’information sur le Falun Gong dans une zone résidentielle. Après lui avoir extorqué 5000 yuans, la police l’a libérée sous caution trois jours plus tard. Le 20 juillet 2022, la police l’a de nouveau placée en détention.
Le tribunal du district de Dadong l’a ensuite condamnée à une peine de quatre ans de prison. Le 15 février 2023, elle a été incarcérée à la Deuxième prison pour femmes de la province du Liaoning où elle est décédée le 9 mai 2025.
Alors qu’elle se trouvait encore au centre de détention, un cancer du sein lui a été diagnostiqué avant d’être envoyée à la prison. Selon le règlement de la prison, les personnes souffrant de maladies graves ne devraient pas être admises, et si elle avait demandé une libération conditionnelle pour raisons médicales, elle aurait dû être autorisée à purger sa peine chez elle. Malgré son état, la prison l’a non seulement admise, mais l’a également forcée à rédiger des déclarations de renoncement au Falun Gong et à enregistrer des vidéos de renoncement au Falun Gong contre son gré, et l’a soumise à d’autres formes d’abus.
Le règlement de la prison stipule également que les détenues âgées de 65 ans ou plus, ou souffrant de maladies graves, doivent être affectées à la division des personnes âgées ou infirmes, et exemptées de travaux forcés. Mais quel que soit leur âge ou leur état physique, les pratiquantes de Falun Gong ne sont pas affectées à la division des personnes âgées ou infirmes.
Un homme âgé de 71 ans gravement torturé en prison est décédé à l’hôpital
M. Tang Fenghua âgé de 71 ans a été brutalement torturé et s’est retrouvé dans un état critique alors qu’il était illégalement incarcéré à la prison de Yongchuan en raison de sa croyance dans le Falun Gong. Il a été transporté au Deuxième hôpital de Chongqing et y est décédé le 17 avril 2025.
En raison de la censure stricte de l’information et de la dissimulation de la persécution du Falun Gong par le régime communiste chinois, on ne sait pas exactement quand M. Tang Fenghua a été illégalement arrêté (probablement fin 2021 ou début 2022) ou condamné. Il a été rapporté qu’il purgeait une peine d’emprisonnement de quatre ou quatre ans et demi et qu’il était censé terminer sa peine en 2025.
Depuis le début de la persécution en 1999, M. Tang, propriétaire d’un magasin de meubles, a été visé à plusieurs reprises. Il avait déjà purgé deux peines de prison pour un total de cinq ans.
Une femme âgée de 45 ans, de la ville de Benxi, province du Liaoning, est décédée le 8 novembre 2025, trois jours après son incarcération à la prison pour femmes de la province du Liaoning pour y purger une peine de cinq ans en raison de sa pratique du Falun Gong. Lorsque le médecin légiste l’a retournée, un liquide noir et visqueux s’écoulait de sa bouche.
Les parents de Mme Chen Yan ont constaté qu’elle avait les yeux ouverts, la bouche béante et les cheveux emmêlés. Ils n’ont pas reçu le rapport d’autopsie et ont refusé de signer l’autorisation de crémation. Plusieurs gardiens de prison ont insisté pour que le couple âgé envoie un « drapeau de remerciement » afin de « remercier » la prison d’avoir transporté leur fille à l’hôpital pour y être soignée pour « insuffisance cardiaque ». Or, un médecin de l’hôpital a révélé qu’elle ne présentait aucun signe de vie à son arrivée.
Mme Chen a été arrêtée le 14 juillet 2024, et a été condamnée à une peine de cinq ans de prison et à une amende de 5000 yuans le 26 juin 2025. Après que son appel a été rejeté par la cour intermédiaire de la ville de Benxi, elle a été incarcérée le 5 novembre à la prison pour femmes de la province du Liaoning.
La torture en prison
Mme Wang Wei, âgée de 68 ans de la ville de Shenyang, province du Liaoning, a été illégalement envoyée à la prison pour femmes de la province du Liaoning le 16 septembre 2025 pour purger une peine de quatre ans.
Sa famille n’a pas été autorisée à lui rendre visite avant le 10 octobre. Après seulement un mois de prison, ils ont été choqués de la voir réduite à un état squelettique. Ses cheveux étaient devenus gris et son visage était creusé de rides. Elle avait du mal à reconnaître sa fille.
Avec des yeux emplis de crainte, Mme Wang a dit à sa fille de ne plus chercher à obtenir justice pour elle. Sa fille avait le cœur brisé et était convaincue que sa mère avait dû être menacée pour dire certaines choses pendant la visite, laquelle a été interrompue par la chef d’équipe après environ vingt minutes.
Selon des personnes bien informées, les responsables de la 12e division ont élaboré, en février 2025, un plan de transformation complet pour contraindre Mme Wang à renoncer à sa croyance dans le Falun Gong, alors qu’elle attendait toujours le résultat de ses appels. Ils ont formé les détenues chargées de la surveiller pendant la mise en œuvre de ce plan.
Mme Wang a été arrêtée le 12 juillet 2024, et a été condamnée à quatre ans de prison et à une amende de 2000 yuans le 26 décembre 2024. Son appel a été rejeté le 15 avril 2025.
Alors que Mme Fan Wenfang purgeait illégalement une peine de cinq ans pour sa croyance dans le Falun Gong, elle a non seulement été torturée au point de ne plus pouvoir marcher, mais elle a également reçu des injections de substances inconnues qui l’ont rendue confuse, hébétée et incapable de reconnaître les gens.
Mme Fan, âgée d’environ 70 ans et ancienne obstétricienne dans la ville de Fuyang, dans la province de l’Anhui, a été arrêtée en juillet 2022 et condamnée à cinq ans de prison à une date inconnue. Après son incarcération à la prison pour femmes de la province de l’Anhui, elle a été brutalement torturée pour avoir refusé d’admettre qu’elle était « coupable » de pratiquer le Falun Gong et pour avoir refusé de réciter les règles de la prison ou de chanter des chansons pro-PCC.
Un jour, un groupe de détenues l’a jetée à terre et l’a frappée à coups de poing et de pied. Elles se sont également agenouillées sur elle, lui ont giflé le visage et tiré les cheveux. Lorsqu’elle a crié de douleur, elles lui ont enfoncé de force un chiffon sale dans la bouche, lui déchirant les coins de la bouche et la faisant saigner. Elles l’ont ensuite attrapée par les bras et traînée sur le sol, lui écorchant les fesses et les talons. Les autres détenues nouvellement admises ont été horrifiées de voir cette brutalité se dérouler sous leurs yeux.
Les assaillantes sont parties après avoir été épuisées par le passage à tabac de Mme Fan. Elle a réussi à se relever et a signalé les violences à la gardienne de service. La gardienne lui a demandé : « Qui vous a frappée ? Qui a été témoin du passage à tabac ? »
Pendant leur détention illégale à la prison pour femmes de la province du Jiangxi, deux femmes ont été victimes de tortures brutales. Mme Cheng Laihua, âgée d’une soixantaine d’années, a été arrêtée le 8 juillet 2023 et purge une peine de quatre ans. Mme Zhu Lanhui, âgée de 53 ans, a été arrêtée le 13 juillet 2023 et purge une peine de trois ans et demi.
Selon une personne bien informée, à un moment donné, Mme Cheng a été détenue à l’hôpital de la prison. Elle a raconté ses souffrances : « Les gardiennes m’ont battue et ne m’ont pas laissé dormir. Je me sentais somnolente toute la journée et elles m’ont ordonné de renoncer à ma croyance. »
Mme Zhu est restée fidèle à sa croyance, alors les gardiennes ont chargé la détenue Luo Huilan de la surveiller. Luo ne lui donnait qu’un seul bassin d’eau par jour pour se brosser les dents, se laver et faire sa lessive. Elle a également subi un lavage de cerveau intensif visant à la forcer à renoncer à sa croyance.
Luo a battu Mme Zhu à la fin du mois de mars 2025 pour « non-respect des règles ». Au lieu de punir Luo, les gardiennes ont menotté Mme Zhu et l’ont suspendue par les menottes à un cadre de fenêtre pendant plus de dix jours, les pieds ne touchant pas le sol.
Pour protester, Mme Zhu a entamé une grève de la faim. En apprenant les mauvais traitements infligés à Mme Zhu, Mme Cheng a également entamé une grève de la faim pour lui manifester son soutien. La gardienne Dai Wenjing a soumis Mme Cheng à la même torture que Mme Zhu et ne lui a pas permis d’utiliser les toilettes. Mme Cheng a dû faire ses besoins dans son pantalon.
Les cas de condamnation
Changde, province du Hunan : 10 personnes condamnées pour leur croyance, celle ayant la plus lourde peine a déjà passé 19 ans derrière les barreaux
Le 12 novembre 2025, dix pratiquants de Falun Gong de la ville de Changde, dans la province du Hunan, ont été illégalement condamnés à des peines allant jusqu’à cinq ans de prison pour leur croyance. Leurs appels sont en instance.
Le 30 novembre 2023, les dix pratiquants faisaient partie des plus de 30 habitants arrêtés lors d’une descente de police survenue entre 5 h et 7 h du matin. Leurs domiciles ont également été saccagés. Le 12 novembre 2025, ils ont comparu devant le tribunal du district de Taoyuan et ont été reconnus coupables à l’issue du procès.
Avant leur dernière condamnation, certains de ces pratiquants ont été pris pour cible à plusieurs reprises au cours des vingt-six dernières années en raison de leur croyance, passant des décennies derrière les barreaux.
Mme Wang Xiaoqun, âgée de 76 ans, employée retraitée du Bureau du commerce de la ville de Changde, a déjà purgé deux peines de camp de travail pour un total de quatre ans. Elle a également été condamnée le 18 mai 2006 à une peine de sept ans et demi, le 21 juillet 2016 à quatre ans et le 28 juillet 2020 à trois ans et demi, toutes ces peines ayant été prononcées par le tribunal du district de Wuling. Elle a été libérée le 23 mars 2023, mais a été arrêtée huit mois plus tard et condamnée à cinq années supplémentaires. La durée totale de ses peines de camp de travail et de prison s’élève à vingt-quatre ans.
Mme Liu Xianju, âgée de 64 ans, a été arrêtée le 16 décembre 2009 lors d’une descente de police. Elle a ensuite été condamnée le 4 novembre 2010 à dix ans de prison par le tribunal de la ville de Changde. Cette fois-ci, elle a été condamnée à trois ans et demi de prison et à une amende de 5000 yuans.
Mme Yin Hong, âgée de 54 ans, travaillait auparavant dans une banque, mais a ensuite été licenciée pour avoir maintenu sa croyance. Le 18 mai 2006, elle a été condamnée à huit ans de prison, puis le 21 juillet 2016 à quatre ans. Sa dernière peine de prison est de trois ans et neuf mois.
Six habitants du Hebei condamnés dans la province du Shandong pour leur pratique du Falun Gong
Six habitants du district de Dongguang, dans la province du Hebei, ont récemment été condamnés dans la province du Shandong pour leur pratique du Falun Gong.
Mme Li Zhenying a été condamnée à une peine de quatre ans. Mme Cheng Guijun et M Yu Yongli ont tous deux été condamnés à trois ans. Mme Zhang Wenping a été condamnée à deux ans. M. Men Bingcheng a été condamné à un an et demi. Mme Song Guifen a été condamnée à un an. Ils ont également été condamnés à des amendes comprises entre 3000 et 10 000 yuans. Cinq d’entre eux (dont les noms ne sont pas connus) ont fait appel des verdicts.
Les six pratiquants ont été arrêtés le 19 juin 2024, après que la police du district voisin de Ningjin, dans la province du Shandong, a découvert qu’ils s’étaient rendus à la foire communautaire locale de leur juridiction pour parler du Falun Gong aux gens. La police les a surveillés pendant six mois avant de les arrêter.
Les pratiquants ont été détenus au centre de détention de la ville de Dezhou, dans la province du Shandong. Dezhou supervise Ningjin.
Le tribunal du district de Ningjin a tenu trois audiences, les 18 avril, et les 12 et 13 août 2025. Lors de la première audience, les cinq défenseurs de la famille ont été empêchés d’entrer par les huissiers. L’avocat représentant Mme Zhang a également été arrêté à l’entrée, alors qu’il attendait l’un des membres de la famille.
N’ayant aucun autre moyen d’arrêter l’audience, les familles des pratiquants ont décidé de renvoyer les avocats (à l’exception de l’avocat qui représentait Mme Zhang, car il n’était pas autorisé à entrer dans la salle d’audience).
Au cours des deuxième et troisième audiences en août, cinq des pratiquants ont témoigné pour leur propre défense, et cinq de leurs avocats ont également plaidé non coupable en leur nom.
Minghui.org a appris les verdicts rendus à l’encontre des pratiquants le 14 novembre 2025.
Une enseignante à la retraite âgée de 61 ans condamnée à sept ans de prison
Le 24 juin 2025, Mme Duan Xiaorong, une enseignante à la retraite âgée de 61 ans, originaire de la ville de Daqing, dans la province du Heilongjiang, a emmené sa mère âgée de 86 ans, Mme Ding Cuiying, se promener dans la cour de leur immeuble. Alors que sa mère est restée dans la cour pour profiter du soleil, Mme Duan s’est absentée brièvement pour faire quelques courses, mais elle a été illégalement arrêtée par la police. Les policiers ont ignoré sa demande de pouvoir retourner chercher sa mère pour la ramener à la maison. Elle a dû appeler sa fille pour qu’elle aille chercher sa mère. Mme Ding a été tellement bouleversée par l’arrestation de Mme Duan qu’elle est tombée malade et est décédée fin septembre.
Mme Duan a ensuite été illégalement inculpée par le parquet du district de Ranghulu. Le 15 octobre 2025, elle devait initialement comparaître en personne devant le tribunal du district de Ranghulu, mais le juge a décidé ce matin-là, sans préavis, de remplacer l’audience par une audience virtuelle. Elle a été condamnée à sept ans de prison et à une amende de 60 000 yuans.
Cas d’arrestation et de harcèlement
À l’occasion du défilé militaire du PCC qui s’est déroulé à Pékin le 3 septembre 2025, au moins 43 pratiquants de Falun Gong de la ville de Shenyang, dans la province du Liaoning, ont été arrêtés.
Lors d’événements majeurs ou de commémorations, le PCC vise régulièrement les pratiquants de Falun Gong afin de les empêcher de profiter de ces occasions pour sensibiliser le public à la persécution qui dure depuis vingt-six ans.
Selon des sources internes, le Bureau de la sécurité publique de la province du Liaoning a dirigé l’opération, à laquelle ont participé divers services et postes de police. Les policiers portaient des vêtements civils lors des arrestations et ont fait des descentes aux domiciles des pratiquants sans mandat de perquisition.
Le 29 septembre 2025, près de 40 pratiquants de Falun Gong dans la ville de Jinan, province du Shandong, ont été arrêtés. Sur ordre d’un groupe d’intervention spécial relevant de la Commission des affaires politiques et juridiques ainsi que du Bureau 610 de la ville de Jinan, les postes de police locaux ont arrêté des pratiquants, dont trois couples mariés, selon une liste de noms. Depuis plusieurs mois avant ces arrestations, les autorités surveillaient leurs activités quotidiennes.
Les arrestations ont commencé tôt le matin, et les pratiquants ont été emmenés dans des centres de traitement des dossiers dans divers districts pour y être interrogés avant d’être transférés dans des centres de détention. Certains ont été interrogés à nouveau une fois détenus dans les centres de détentions.
M. Fang Yusheng, âgé de 60 ans, retraité de la Commission de la planification familiale, a été arrêté à 7 h par des policiers du Département de police du district de Changqing et du poste de police de la rue Shunyu, après avoir été piégé pour que celui-ci ouvre la porte. Les policiers ont passé trois heures à fouiller son domicile. Son épouse, qui est également une pratiquante de Falun Gong, a aussi été arrêtée. M. Fang a été envoyé au Troisième centre de détention de la ville de Jinan, et son épouse a été emmenée au centre de détention de la ville de Jinan vers 1 h du matin.
Un policier saisit la main d’un homme dans un état végétatif pour apposer ses empreintes digitales sur une déclaration de renonciation à sa croyance
Après avoir été victime d’un harcèlement policier continu en raison de sa croyance dans le Falun Gong, un sexagénaire a été victime d’une hémorragie cérébrale en mai 2024 et est tombé dans un état végétatif. Malgré son état, la police a continué à le harceler et a tenté d’obtenir sa signature sur des déclarations de renonciation au Falun Gong.
M. Zhao Changyou, de la ville d’Anyang, dans la province du Henan, a été arrêté en août 2023 et son domicile a été saccagé. Il a été détenu pendant dix jours au centre de détention de la ville d’Anyang. Après sa libération, la police a continué à le harceler. En mai 2024, il a été victime d’une hémorragie cérébrale sur son lieu de travail.
Après être tombé dans un état végétatif, la police et les responsables municipaux n’ont pas cessé de harceler M. Zhao et ils ont exigé que sa famille signe les déclarations de renonciation en son nom.
L’après-midi du 2 décembre 2025, le policier Wang Zhijun et le secrétaire du village Li Chunping ont fait irruption au domicile de M. Zhao et ont de nouveau ordonné à sa femme de signer les déclarations. Comme elle refusait toujours d’obtempérer, Li a signé le nom de M. Zhao sur les déclarations et Wang a saisi la main de M. Zhao pour apposer ses empreintes digitales sur les documents.
Traduit de l’anglais
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