(Minghui.org) « Arrêtez les prélèvements forcés d'organes en Chine ! », annonçait une banderole saisissante à l'extérieur du Centre de conférences Queen Elizabeth II à Londres aux participants du Congrès international sur la transplantation d'organes 2014.
Il y avait aussi un message en chinois spécifiquement pour les gens en provenance de Chine : « Face aux prélèvements d'organes à vif effectués par le Parti communiste chinois, comment pouvez-vous rester silencieux ? »
La simple présence de la banderole a attiré l'attention sur l'un des droits de l'homme les plus importants et sur des questions d'éthique médicale de l'histoire moderne : des prélèvements forcés d'organes autorisés par l'État sur des prisonniers de conscience non-consentants en Chine, principalement sur des pratiquants de Falun Gong.
Dès le 4 juin, lors de l'ouverture des réunions, à l'extérieur du centre, les pratiquants de Falun Gong ont informé les participants à la conférence et les passants des crimes de prélèvements d'organes qui ont lieu en Chine.
Au cours de la réunion de quatre jours, environ 300 participants à la conférence ont signé la pétition actualisée de DAFOH (Médecins contre les prélèvements d'organes forcés) pour les Nations Unies. Beaucoup plus de ces professionnels de la santé ont appris les faits, ont fait le lien avec des informations qu'ils avaient déjà eues et ont pris davantage conscience du problème.
Le Centre de conférences Queen Elizabeth II où avait lieu la conférence est situé à proximité de deux points d'intérêt de Londres : Big Ben et Westminster Abbey. Des groupes de touristes chinois ont également pris des photos de la banderole et ont partagé l'information avec leurs amis en Chine.
« Face aux prélèvements d'organes à vif effectués par le Parti communiste chinois, comment pouvez-vous rester silencieux ? » (texte chinois sur la banderole). À l'extérieur du Centre de conférences Queen Elizabeth II, du 4 au 7 juin 2014, la banderole touche les participants de langues anglaise et chinoise du Congrès sur la transplantation d'organes 2014.
Des échanges importants à proximité des attractions les plus en vue de Londres, Big Ben et Westminster Abbey
Le soutien de la part des professionnels de la santé
Certains participants à la conférence ont été choqués d'entendre parler des prélèvements d'organes qui contrastaient fortement avec les exercices paisibles pratiqués devant eux. Un représentant de l'Italie a signé la pétition sans hésitation. Quand il a appris que la persécution durait depuis 15 ans, il a dit : « Non, cette brutalité doit cesser »
Un participant italien à la conférence signe la pétition DAFOH pour l'ONU.
Beaucoup de professionnels de la santé ont entendu parler d'une manière ou d'une autre de cette pratique criminelle.
Le Dr Nicolus Richter, un chirurgien allemand spécialisé dans les greffes hépatiques et rénales, a entendu parler des prélèvements d'organes en Chine il y a plus de cinq ans.
Il a partagé son expérience personnelle d'il y a quelques années : « Nous en avons discuté dans notre département lorsque nous avons eu des étudiants venant de Chine qui voulaient apprendre la transplantation hépatique dans notre centre en Allemagne. Nous en avons discuté et décidé de ne pas coopérer avec ça. »
Le département de M. Richter a répondu par écrit aux médecins chinois, refusant de les former sur la transplantation hépatique et a cité les prélèvements forcés d'organes en cours en Chine. « C'est catastrophique et contre l'humanité ! »
Dr Nicolus Richter (à gauche) d'Allemagne s'entretient avec un pratiquant de Falun Gong pour en savoir plus sur les prélèvements d'organes en Chine
Après avoir lu la lettre ouverte : « Les chirurgiens de Chine ont des comptes à rendre sur les prélèvements d'organes », un professionnel de la santé du Canada a dit à un pratiquant : « J'ai entendu parler de cela auparavant. C'est [l'atrocité] est inacceptable. »
Il a poursuivi : « Ma question est, avec tant de preuves, comment le régime chinois peut-il ne pas tenir compte des allégations ? »
Le pratiquant a suggéré qu'il lise les Neuf commentaires sur le Parti communiste pour mieux comprendre le Parti communiste chinois (PCC).
Renee Verhoeven, une étudiante en médecine de Rotterdam dans les Pays-Bas, n'était pas au courant des prélèvements forcés d'organes à vif. Alors qu'elle signait la pétition, elle a dit : « Je vais propager cette info à travers les médias sociaux. » Elle a remercié les pratiquants de lui avoir fait prendre connaissance de cette importante question et a dit qu'elle allait soutenir les efforts déployés pour y mettre fin.
Renee Verhoeven, une étudiante en médecine des Pays-Bas, a dit qu'elle allait parler aux gens de l'atrocité par le biais des médias sociaux.
La réponse de piétons
Une fille et sa mère signent la pétition de DAFOH
Beaucoup de piétons, touristes et participants à la réunion ont signé la pétition de DAFOH pour les Nations Unies lors de la conférence de quatre jours sur les transplantations d'organes.
Beaucoup de gens ont été choqués d'entendre parler des prélèvements forcés d'organes et ont déclaré : « C'est horrible » « Absolument inacceptable ! » « [Un crime] contre l'humanité » « Comment une telle méditation paisible peut-elle être traitée comme ça ? » « Cette brutalité doit cesser. »
Un couple polonais avait entendu parler de la persécution dans le passé, mais ils ne savaient pas ce qu'était le Falun Gong. La pratiquante Mei a expliqué brièvement les faits sur le Falun Gong et pourquoi le Parti communiste l'a interdit. Quand elle leur a expliqué le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, ils ont répondu : « Je vois, c'est différent de la théorie de lutte prônée par le communisme. » Ils ont remercié Mei de leur avoir fait connaître un si bon système d'amélioration de soi et ont exprimé leur intérêt à en apprendre davantage sur le sujet.
Les pratiquants ont installé une table pour informer les gens sur les prélèvements forcés d'organes sur les pratiquants de Falun Gong.
Traduit de l'anglais au Canada
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