Seize pratiquants relâchés sous caution,  la Police de Hong Kong a porté contre eux, une fausse accusation d'obstruction.

Rapporté par les pratiquants de Hong Kong

15 mars 2002

16 mars 2002

Les pratiquants de Falun Gong font appel à l'extérieur du département     

16 pratiquants sortent du  de la police dans le District Ouest, demandant la remise en liberté des pratiquants en détention Bureau du jugement du District Ouest

 Nouvelles de Hong Kong le 15 mars 2002

 Après avoir employé la force pour arrêter les paisibles pratiquants assis à l'extérieur du Bureau de Liaison de la Chine, la police de Hong Kong a  faussement accusé les 16 pratiquants d’obstruction.  Les pratiquants de Hong  Kong ont souligné que les autorités de Hong Kong s’engagent davantage sur le  mauvais chemin en suivant la persécution du régime de Jiang Zemin contre Falun  Gong.  Les pratiquants demandent que la police se rétracte des fausses accusations portées et qu'ont restaure l’innocence des pratiquants arrêtés.  Les  pratiquants aussi demande aux pratiquants qui voient ces nouvelles d’envoyer des  pensées droites pour éliminer le mal derrière ce plan.

 Certains ont souligné que cette police qui réprimait les paisibles pétitionnaires,  était celle-là même qui obstruait vraiment seule, la rue.

 Le porte-parole pour Falun Gong à Hong Kong a dit: “L’accusation du gouvernement  contre les pratiquants innocents est choquante et regrettable.  Les autorités  prennent le mauvais chemin en suivant la persécution de Jiang contre Falun Gong.  La grève de la faim se tenait sur le trottoir d’une rue de 30 pieds de large à  l'extérieur du Bureau de Liaison de la Chine et nous occupions seulement  quelques pieds.  Il y avait de l’espace à l’entrée principale du Bureau.  Ça ne  créait aucun inconvénient aux passants ou aux employés du bureau qui allaient et  venaient - Où était l’obstruction ?  Il est clair que la plainte du Bureau de  Liaison de la Chine, à la police est sans fondement.”

 Le film video et d’autre évidence ont montré que la requête des pratiquants de   Falun Gong a été paisible du début à la fin.  Cependant, le département de la  police a envoyé des douzaines de policiers qui ont employé une force brutale  et excessive incluant faire des pression sur le front des pratiquants assis, leur  serrer fort le cou, leur tordre les bras et faire pression sur les points d’acupuncture derrière les oreilles (les points sensibles pour mobiliser les gens;  certains policiers asiatique sont entraînés à utiliser les points  d’acupuncture pour contrôler les criminels).  La violence a causé des blessures  à plusieurs pratiquants, et certains en ressentent encore les effets.

 Les pratiquants de Falun Gong conteste la plainte  de résistance concernant  ces pratiquants qui ont été violemment maltraités par la police; est-ce que les gens devraient toujours obéir et laisser quelqu’un les attaquer à volonté ?  Le  comportement de blesser violemment les gens et de les accuser faussement n’est - il pas semblable a celui de la police en Chine Continentale?

 Les pratiquants de Hong Kong ont dit que certaines autorités de Hong Kong ont  consciemment violé la loi, qu'elles sont allés contre l’esprit de la loi, ont bafoué le devoir que le peuple leur avait confié et  qu'elles ont aussi  ruiné le prestige international du respect des droits humains de Hong Kong.   Les pratiquants ont  demandé que le Gouvernement des Régions Autonomes Spéciales de Hong Kong retire toutes les accusations contre les pratiquants.  Les pratiquants espèrent aussi  que les gens de Hong Kong offriront leur compréhension et soutien à l’action  juste des pratiquants et les aideront à obtenir justice.

 La mise en accusation, aujourd'hui, a été reportée au 22 mars à la demande de la poursuite, pour attendre que la mise en accusation soit vérifiée par le Bureau de la Loi et de l'administration.  Les 16 pratiquants ont été remis en liberté sous caution mais ils ne peuvent pas quitter Hong Kong.  En conséquence, 4 Suisses et 3 pratiquants de Hong Kong ne peuvent aller  à Genève pour assister à la  conférence de partage d'expériences et aux réunions de la Commission des Droits  Humains des Nations-Unies.

17/3/2002