(Minghui.org)

I. Surmonter un interrogatoire démoniaque

Une fois, la police m’a traînée dans un poste de police alors que je clarifiais la vérité sur le Falun Dafa. Tout d’abord, la police a discuté avec moi, essayant de m’enjôler pour obtenir les informations qu’ils désiraient. Je me suis tout de suite aperçue de leur plan et j’ai traité leurs questions avec soin et calmement. Quand ils ont réalisé qu’ils ne pouvaient me soutirer aucune information en utilisant cette approche, ils m’ont menottée à une chaise métallique, les mains derrière le dos. Alors ils ont commencé à m’injurier et à m’attraper par les cheveux tout en me donnant des coups de poings dans la nuque par-derrière. Je claquais fortement des dents sous l’impact des coups répétés. Je continuais à envoyer la pensée droite, implorant la protection du Maître pour surmonter cette épreuve démoniaque. Ensuite, un policier a levé le bras et m’a frappée violemment au visage. Malgré le son bruyant de ses claques, je ne sentais aucune douleur. Je sentais plutôt une douce brise. Le policier, d’un autre côté, avait trop mal à cause de l’impact pour continuer à me gifler. À la place, il a pris une serviette de table, l’a pliée en deux et a commencé à me fouetter continuellement le visage avec et à m’insulter en même temps. Mon visage n’a ni rougi ni enflé. Normalement, ce genre de torture devrait déformer le visage. J’ai tout de suite su que notre Maître bienveillant et grandiose avait enduré la torture pour moi.

Comme je refusais de leur donner des informations, la police a décidé d’intensifier la torture. Ils m’ont mis un sac en plastique sur la tête et l’ont fermé hermétiquement pour m’étouffer. Lorsqu’il n’y eut plus d’air, le sac en plastique me collait au nez et aux lèvres, mes yeux commençaient à saillir. Ma conscience principale, néanmoins, restait perçante et claire. Je regardais directement les policiers depuis dedans le sac en plastique, envoyant la pensée droite pour éliminer la perversité qui les manipulait pour qu’ils persécutent les pratiquants de Dafa. Une fois que j’ai perdu connaissance, les policiers ont enlevé le sac en plastique et m’ont jeté de l’eau froide sur le visage. Quand je suis revenue à moi, j’inspirais et j’expirais l’air avec avidité. Ensuite ils ont répété la torture par étouffement. J’ai encore refusé de leur donner aucune information.

Alors les policiers ont décidé d’utiliser un nouveau type de torture. Ils ont apporté une bouteille d’huile de moutarde et ont commencé à me la verser dans les narines. Un peu d’huile de moutarde est allée dans mon œsophage et un peu a coulé dehors et m’a mouillé la poitrine. Quand les policiers ont remarqué que de l’huile de moutarde avait été perdue, ils ont ressenti de la colère à être contrariés. Comme ils continuaient à me remplir le nez d’huile de moutarde, un policier a utilisé une de ses mains pour me garder la nuque penchée tandis que de l’autre main, il me bouchait le nez pour m’empêcher de faire sortir l’huile de moutarde avec mon souffle. Durant ce calvaire, mon esprit n’a jamais été une seule fois touché par la colère. Je ne ressentais rien que de la pitié envers eux. J’avais pitié d’eux, car ils étaient en train de se ruiner eux-mêmes à cause de leur ignorance. En même temps, j’étais déterminée à marcher sur le chemin de cultivation que le Maître avait arrangé pour moi aussi longtemps que je serai en vie et que j’aurai un souffle d’air. Ensuite un miracle est arrivé. Ma langue goûtait l’huile de moutarde, mais elle n’avait pas du tout un goût épicé. A ma surprise, elle avait un goût doux et rafraîchissant. Je sentais très distinctement l’huile de moutarde descendre dans mon œsophage et mon estomac. Je pouvais sentir le flux distinct de l’huile de moutarde. Les policiers ne comprenaient pas pourquoi ils ne voyaient aucun mucus nasal ni aucune larme, aucun signe que j’étais suffoquée par l’huile de moutarde. Lorsqu’une pratiquante de Dafa est remplie de pensées droites et de la Loi, elle va faire l’expérience que le Maître décrit dans Zhuan Falun comme « Après avoir passé sous l’ombre des saules, il y aura des fleurs radieuses et un autre village derrière ! »

Les policiers ont continué à me menotter à la chaise métallique pendant plusieurs jours et nuits, me privant de sommeil, de nourriture, d’eau et des toilettes. Ils ont continué à me battre, m’insulter et me torturer avec beaucoup d’autres méthodes, mais ils ont complètement échoué à secouer ma croyance ferme dans le Maître et Falun Dafa. Je n’ai jamais cessé de parler aux policiers sur le Falun Gong et de leur enseigner à cultiver la bonté. Au cours de cet interrogatoire démoniaque, j’ai fait l’expérience de nombreux états surnaturels qu’aucun mot ne peut décrire. Je pourrais seulement décrire ces expériences peu communes avec les paroles du Maître : « Tandis que sa connotation riche, immense, raffinée et profonde, ne peut se manifester et être expérimentée et comprise par le sens de l’éveil que par les pratiquants dans leur Xiu réel aux différents niveaux, c’est seulement de cette façon qu’ils peuvent voir réellement ce qu’est la Loi. » (Tiré de Riche et grand, 6 février 1995, dans Principes essentiels pour un avancement assidu) Sous la protection de notre Maître bienveillant et grandiose, les policiers ont échoué dans leur interrogatoire démoniaque.

Traduit en Europe le 18 novembre 2003