Par un pratiquant de la province Liaoning, Chine

(Minghui.org)

 Le 18 avril 2001, je suis allé à la place TianAnMen et j'ai déployé une bannière afin de valider la grande Loi. Puis j'ai été arrêté illégalement et envoyé au poste de police de la place TianAnMen, à Pékin. À mon arrivée, il y avait huit autres pratiquants déjà en détention. Ils ont tous été arrêtés illégalement pour avoir validé la grande Loi à la place TianAnMen. Durant notre détention, certains pratiquants ont été battus par les policiers, certains ont été menottés aux chaises et d'autres ont été interrogés toute la nuit. Chaque pratiquant a parlé de la magnificence de la grande Loi et clarifié la vérité au sujet de la persécution aux policiers avec un cœur de compassion. Personne n'a donné son nom ou adresse. En même temps, nous avons commencé une grève de la faim en guise de protestation de notre détention illégale et avons demandé à être libéré sans condition immédiatement. Un soir, nous avons été envoyés au centre de détention Shijingshan de la ville de Pékin. Une voiture policière, avec les feux clignotants et la sirène retentissante, roulait devant la fourgonnette transportant les pratiquants.

Notre véhicule était suivi d'une autre voiture policière. En cours de route, j'étouffais dans ce véhicule et j'ai ouvert la fenêtre. Un pratiquant à côté de moi s'est déplacé rapidement vers la fenêtre et a crié en direction des gens dans la rue : « Falun Dafa est magnifique! » Alors, je me suis rendu compte qu'il faisait une bonne chose. C'était une excellente occasion de valider la Loi ! Alors, j'ai crié également : « Falun Dafa est magnifique ! » Les pratiquants assis de l'autre côté du véhicule ont aussi ouvert leur fenêtre et se sont joints à nous pour crier : « Falun Dafa est magnifique ! Falun Dafa est juste ! Rétablissez la réputation de Maître Li ! Rétablissez la réputation du Falun Dafa ! » Nos voix étaient fortes et claires, et pouvaient même être entendues au-dessus de la sirène. À Pékin, on peut voir les gens sur les trottoirs et dans les parcs durant la soirée. Beaucoup de gens nous ont vus et entendus.

Les policiers assis devant notre fourgonnette hurlaient des invectives en notre direction et essayaient de nous arrêter de crier par les fenêtres. Malgré leurs menaces verbales, ils ne pouvaient pas faire grand chose parce que les barres en fer séparaient les sièges de devant et de l'arrière. Le voyage du poste de police de la place TianAnMen au centre de détention Shijingshan a duré une heure. Nous avons crié par les fenêtres tout au long du trajet. Bien que nous faisions la grève de la faim depuis plusieurs jours, personne d'entre nous se sentait faible. Sans aucune peur et sans aucune pensée vagabonde, nous étions tous empreints de divinité et de majesté en validant la grande Loi. Le 23 novembre 2003.

 http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/12/3/42819.html

http://www.minghui.org/mh/articles/2003/11/15/60630.html

Traduit au Canada le 20 décembre 2003