1er décembre 2003

(Minghui.org)

Le 21 juillet 1999, sur la place devant le bâtiment du gouvernement d'une ville de bord de mer dans le nord de la Chine, des milliers de pratiquants de Falun Gong attendaient silencieusement l'impression des fonctionnaires du gouvernement au sujet de la demande de mise en liberté des pratiquants de Falun Gong illégalement arrêtés le 20 juillet. Cependant, ce qu'ils ont vu en fin de compte étaient des centaines de policiers, la police anti-émeute armée, toutes sortes de voitures de police et de véhicules d'arrestation.

En peu de temps, les policiers et la police armée ont entouré les pratiquants de Falun Gong faisant appel, malgré le fait que bon nombre d'entre eux étaient des femmes ou des personnes âgées. Les policiers les ont poussés, et de façon abusive leur ont crié après et finalement ont arrêté les pratiquants de Falun Gong, qui ne rétorquaient pas en retour malgré le mauvais traitement qu’ils recevaient. Quelques vieux pratiquants ont été poussés à terre, et beaucoup de pratiquantes se sont fait tirer par les cheveux et jeter à terre.

Pendant ce temps il y avait beaucoup de spectateurs et d’autres pratiquants de Falun Gong qui arrivaient encore après. Un policier leur a dit : « Y a-t-il des pratiquants de Falun Gong parmi vous ? Osez vous résister si vous êtes des pratiquants de Falun Gong ? »

Sans hésitation, un jeune homme de bonne apparence d'environ 30 ans, plus d'1m80 a résolument rejoint les pratiquants de Falun Gong qui étaient entourés par le cercle des policiers. Le policier exaspéré lui a crié: « Vous allez voir ce que vous obtiendrez de moi.»

Peu de temps après, beaucoup de pratiquants ont vu différentes scènes : Des Faluns de toutes les couleurs tournaient tout autour d'eux. Certains d'entre eux ont vu des dieux protecteurs de la Loi et quelques uns ont vu Maître assis sur le lotus. Les pratiquants ont été considérablement inspirés par ces scènes.

Quelques pratiquants ont crié : « Maître! » Certains d'entre eux étaient en larmes. Il était exactement 9h du matin à leur montre.