La force droite dissipe la brume noire et dense -- La bataille entre le bon et le mal dans le camp de travail forcé de Masanjia (Partie II)

(Minghui.org)

Les deux premières lignes de la chanson du camp de travail forcé de Masanjia sont: «C’est un creuset pour nourrir des personnes de talent; c'est un endroit où nous épurons les esprits des personnes ».  Mais ce que le camp fait est complètement l'opposé de ce qu'il clame.

Une prisonnière détenue dans le camp de travail forcé de Masanjia pour prostitution a été influencée, en toute droiture, par des pratiquantes du Falun Gong et elle appris le principe de      « Vérité, Compassion, Tolérance ». Elle a décidé qu'elle voulait pratiquer le Falun Dafa. Ainsi une pratiquante lui a donné une  partie de sa copie manuscrite de Hong Yin (une collection des poésies du Maître). Quelqu'un l'a rapportée à la surveillante. Une surveillante et une autre garde ont demandé à la pratiquante de se tenir devant l'atelier et ils ont essayé de la forcer à dire qui avait écrit la copie de Hong Yin parce qu'elles ont su que son écriture était différente du livre manuscrit. La pratiquante n'a rien dit. Les gardes ont hurlé pendant un moment et puis elles l'ont amenée dans un entrepôt derrière l'atelier. Elles l'ont sérieusement battue. Mais, la pratiquante n'a toujours rien dit. Alors, elles ont commencé à l'électrocuter  avec des bâtons électriques jusqu'à ce que leurs batteries soient épuisées. La pratiquante n'a toujours rien dit.

La nature de démon des gardes est sortie. Elles ont ramené la pratiquante à l'atelier, demandant à tous les prisonniers de cesser de travailler. Elles ont demandé à la prisonnière qui a voulu cultiver le Falun Gong de se tenir devant elles et elles l'ont battue jusqu'à ce qu'elles soient épuisées. Alors elles ont demandé à toutes les prisonnières de battre la pratiquante de Falun Gong qui avait donné la copie de Hong Yin jusqu'à ce qu'elle leur ait dit qui l'avait écrite. Les gardes ont également dit que si les détenues ne la battaient pas, leurs peines seraient prolongées, ce  qui est l'une des choses que les prisonnières craignent le plus, parce que personne ne veut rester dans le camp même pour un jour de plus. Ici, à Masanjia, l’action de battre est aussi banale que manger. Si la surveillante demande à des prisonnières de battre quelqu'un et que c’est dans leur intérêt, elles le feront généralement. Mais cette fois, personne ne s'est déplacé. Peu importe comment la surveillante criait, personne ne s'est déplacé. Ayant vécu avec les pratiquantes du Falun Gong, ces prisonnières avaient déjà appris la vérité du Falun Gong.Elles n'ont plus voulu être employées par les gardes. Elles ont préféré plutôt avoir leurs peines prolongées que de battre ces pratiquantes au cœur de bonté du Falun Gong. Une garde a commencé à frapper le visage de la pratiquante. Mais après un moment, sa main s'est figé en l'air. Après un long moment,  elle a pu finalement abaisser sa main et elle a dit: «La peine de tout le monde sera prolongée».  Elles furent impuissantes à faire quoique ce soit à la pratiquante.

La prétendue « l’éducation, transformation et salut » de Masanjia pousse réellement les gens dans un abîme. Cependant, partout où il y a des pratiquants de Falun Gong, ils apportent  la « Vérité, Compassion, Tolérance »,  qui a la puissance de dissiper toutes les mauvaises choses.

(à continuer)

Veuillez voir le http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/3/31668.html  pour la 1ière partie.

23 janvier 2003

Traduit au Canada le 10 février 2003