Les expériences de rectification de la Loi d’une fermière

Par un disciple Dafa de la Chine continentale

Le 16 février  2003

(Minghui.org)

Je suis une personne bien ordinaire, une fermière. Vers la  mi-septembre 2001, j’ai appris que les gens du commissariat local de la police et le Gouvernement civil seraient entré de force et auraient saccagé les maisons de pratiquants pour les arrêter et ce, sans mandat d’arrestation. Deux pratiquantes furent férocement battues pour ne pas avoir voulu coopérer avec la perversité. Une jeune de 18 ans saignait du nez à cause de coups reçus et elle a même  uriné du sang pendant plusieurs jours après.

 À ce moment-là j'avais compris que la persécution contre n'importe quel pratiquant de Dafa était une persécution contre le Dafa. J’allai donc  au bureau du Gouvernement de la ville pour leur clarifier les faits sur Dafa, les invitant à libérer les compagnons pratiquants détenus  et à cesser de persécuter les deux jeunes pratiquantes. Ils appelèrent  immédiatement une douzaine de jeunes hommes  exigeant d'eux qu’ils me battent  brutalement. J'ai crié: « Le Falun Dafa est la Loi juste et droite. Dafa enseigne aux gens  à être aimables et moraux. Ne soyez pas dupés par les mensonges ». Ils me battirent et me donnèrent des coups de pieds et me frappèrent  impitoyablement avec leurs genoux et coudes pendant plus de dix minutes. Après cela, mon corps entier était enflé et douloureux et j'ai uriné du sang pendant plusieurs jours.

Je  continuai à leur dire les faits, même après avoir été  battue. Li, le Secrétaire du Parti des Cantons s’écria: « Si vous continuiez à défendre Falun Gong, nous vous battrons encore plus». Je lui dis : « Est-il du travail du Gouvernement de persécuter les bonnes gens ? »

 Ils me menottèrent les mains et prirent des photographies de force. Je refusai de coopérer. Ils m'envoyèrent  à un centre de détention pour une détention 15 jours. En route au centre de détention je clarifiai la vérité au conducteur qui plus tôt m'avait battue impitoyablement. Ce dernier me grondât en retour, mais je lui ai parlé au sujet du principe que la  bonté est récompensée avec le bien et que le mal est puni avec le mal. Il ne m'a pas cru. Plusieurs jours plus tard, il  souffrit du châtiment karmique.

Le chef local du commissariat de police était irrespectueux envers  Dafa et fit des remarques malveillantes  contre Dafa. Il souffrit également le châtiment plus tard. Un officier de police méchant qui avait toujours brutalement torturé les pratiquants aussi plus tard fut tué par quelques criminels. Le chef des cantons insulta Dafa disant ne pas croire que la bonté serait récompensée par la bonté et que la perversité serait punie par le mal. Quelques temps après, quelqu'un  vola sa moto et il  souffrit lors d’un incident lorsque  quelqu’un lui tira une balle à la jambe.

Après que j'aie été détenue au centre de détention pendant 15 jours, je fus  envoyée de nouveau au Gouvernement des cantons et là illégalement emprisonnée pendant sept jours supplémentaires.

Lors du premier soir de ma rentée au Gouvernement des cantons, plusieurs gardiens avaient projeté d’abuser sexuellement les femmes pratiquantes. Je détectai leur horrible  intention  à l'avance. Vers  minuit, quand ils ouvrirent notre porte, je criai  immédiatement : « Que faites-vous ici? » Ils  finirent par sortir   furtivement  sans faire quoi que ce soit. Ils exercèrent également  beaucoup de pression sur nous afin de nous soumettre à un lavage de cerveau, obligeant les  pratiquants à lire de la littérature diffamatoire envers le  Dafa et à  écrire un « rapport de repentir»  et la « garantie » de cesser de pratiquer. Nous résistâmes fermement  à la persécution. À cause de notre refus de coopération ils nous menacèrent et arrêtèrent de nous donner de la nourriture pendant 2 jours afin de nous  forcer à écrire ces  déclarations. Plus tard, nous avons fait une grève de faim pendant trois jours. Pendant ces jours, je pus identifier un indice de Maître et je me suis rendu compte que nous partirions d’ici bientôt. Le jour où le chef local du commissariat de police nous  demanda de partir, j'énonçai clairement : «Je ne partirai pas d’ici à moins que vous  promettiez de ne pas calomnier Dafa et que vous n'irez plus aux maisons des pratiquants de Dafa à l'avenir pour  les arrêter ». Le chef pour la  sécurité publique du village me promit qu'ils ne le feraient  plus. Le même jour ils nous ont libérés.

TRADUIT AU CANADA LE : 3/2/2003