Par un pratiquant en Chine

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Je connaissais une pratiquante nommée Li Zhen (pseudonyme). Elle fut illégalement condamnée au camp de travail forcé parce qu'elle ne céda pas devant la perversité et continua fermement la pratique du Falun Dafa.

Un jour durant le 12e mois du calendrier lunaire de 2000, elle se rendit à Pékin à bicyclette pour manifester pacifiquement en faveur de la grande Loi. Durant la journée, quand elle eut faim, elle mangea un peu de nourriture qu'elle avait apportée, quand elle eut soif, elle demanda de l'eau. Le soir, quand elle fut fatiguée et eut froid, elle se reposa devant un feu de bois. Cependant, elle ne s'attendit pas à une tempête de sable cette nuit-là, ce qui entrava son parcours. Ses pensées droites furent très fermes. « Le grand Maître et la Loi sont là. Personne ne peut obstruer mon parcours de validation de la Loi. »  Elle quitta alors la bicyclette au bord de la route et marcha. À ce moment là, un véhicule s'approcha. Elle l'arrêta et y monta pour se diriger vers Pékin. À l'aube, elle alla à la Place TienAnMen. Elle fut envoyée au centre de détention de Chaoyang après son arrestation.

Afin de valider la grande Loi, Li Zhen, en compagnie de plusieurs autres pratiquants, entamèrent une grève de la faim. Trois jours plus tard, les policiers les obligèrent à tenir leur tête entre leurs mains et à s'accroupir. S'ils bougeaient à partir de cette position pénible, les prisonniers qui les surveillaient leur donnaient des coups de pied. Les prisonniers dirent : « Il ne faut pas nous en vouloir. Si nous ne vous frappons pas, les gardiens nous puniront. »  Li Zhen subit cette torture pendant deux jours. Au centre de détention de Chaoyang, Li Zhen vit que de nombreux pratiquants furent déshabillés par les policiers et attachés à des planches de bois en forme de croix. C'était au cœur de l'hiver; les portes et fenêtres furent ouvertes. Une pratiquante âgée fut attachée à une croix pendant 17 heures et il lui fut interdit de fermer les yeux, sinon elle était battue par les policiers. Ils appelaient cela « la croix ». Ces policiers ne se comportaient plus comme des êtres humains.

Après avoir été nourris de force, Li Zhen et les autres furent envoyés dans différentes salles et on alloua des  numéros. Les forces perverses étaient terrifiées par leurs pensées droites. Mal à l'aise, un gardien a dit : « Surveillez les de très près. Je ne crois pas qu'ils ne seront pas malades s'ils ne pratiquent pas. » Li Zhen répondit avec un sourire : « Pendant que nous ne cultivons pas, la Loi nous cultive. » Pendant qu'ils étaient au centre de détention de Chaoyang, Li Zhen et les autres suivirent la Loi à chaque fois et créèrent un environnement pour étudier, pratiquer et répandre la Loi. Elle disait toujours : « Ma voie de cultivation ne doit pas être tachée. Si je trouve une occasion pour quitter ce centre, je révélerai le comportement démoniaque de Jiang sur Vraiesagesse.net. » Cependant, elle est toujours incarcérée illégalement. J'ai narré son histoire, et espère qu'elle pourra s'échapper des mains de la perversité et rejoindra la voie de la rectification de la Loi.




Traduit au Canada le 15 avril 2003.