Le courage moral des êtres chers aux pratiquants

(Minghui.org)

Les actions justes de ma sœur

Après que ma belle-mère ait été enlevée et envoyée au centre de détention, mon beau-père, qui est paralysé et incapable de marcher, est resté seul à la maison. Ma sœur a emmené mon beau-père au poste de police et a dit : « Vous feriez mieux d'enfermer ce pauvre homme avec sa femme tous les deux ensemble; sinon il n'y aura personne pour s'occuper de lui. » La police a déclaré qu'elle voulait détenir ma sœur, mais elle a dit : « Attendez que je vous apporte mon enfant malade ici, vous pourrez alors tous nous enfermer ; ce sera bien comme ça. » Plus tard, elle apporta son enfant et porta mon beau-père sur son dos jusqu'au poste de police pour leur demander à nouveau ma belle-mère. Quelques jours plus tard, ma belle-mère a été libérée inconditionnellement du centre de détention.

Les mots et actions justes de mon oncle

Quand mon oncle comprit la vérité à propos du Falun Gong, il eut beaucoup d'admiration pour la grande Loi et les pratiquants. Il a dit à ma mère (une pratiquante) qui vint lui rendre visite : « Ceux d'entre vous, les pratiquants, qui êtes des sans-abri [afin d'éviter la persécution] et ne savez où vous loger, venez à mon domicile ! » Mon oncle disait fréquemment aux membres de sa famille et collègues la vérité sur le Falun Gong et prenait l'initiative d'afficher du matériel concernant la clarification des faits. Beaucoup de personnes croyaient qu'il était un pratiquant. Au début de 2002, mon oncle a dit à un pratiquant : « Si vous pouviez tous utiliser la télévision par câble pour diffuser la vérité sur le Falun Gong afin qu'un plus grand nombre de nos citoyens dans une plus grande région puissent comprendre la vérité, ce serait vraiment bien! » Trois mois plus tard, quand il a appris la nouvelle que les pratiquants de Changchun avaient utilisé avec succès la télévision par câble pour diffuser la vérité sur le Falun Gong, il en fut très content.


Traduit au Canada le 30 avril 2003.