(Minghui.org)

Comme j’ai été emprisonnée pendant une longue période, je n'ai pas visité ma belle-mère depuis environ 4 ans. Mon mari (un non pratiquant) et moi avons décidé de visiter notre ville natale pour parler aux gens au sujet de Falun Gong. Cependant, la police nous a pourchassés sur quelques centaines de kilomètres et nous attendait à l'entrée du village. Dans les endroits ruraux, les gens ont honte, si l’un des membres de leur famille a été emprisonné. Ils ont « perdu la face » et ne peuvent plus marcher la tête haute.

Ma belle-mère était alitée et elle était très malade quand la police est venue. Je lui ai parlé très calmement au sujet de mon expérience au centre de détention et j’ai obtenu la sympathie des deux policiers. Ma belle-mère leur a dit avec beaucoup de difficulté : « Pourquoi la recherchez-vous ? Qu’est ce qu’elle a fait ? » Les deux policiers se sont regardé l'un l'autre et ils ont dit faiblement : « Nous suivons seulement les ordres d'en haut. Prenez soin de vous, maintenant, nous partons. »

Peu après, nos parents sont venus nous visiter. Mes deux belles-sœurs ont essayées de me consoler : « Ce n’est pas honteux d’être emprisonné pour pratiquer le Falun Gong. Tu n’as pas volé. S'ils te renvoient, qu’il en soit ainsi. Restes ici, nous avons beaucoup de nourriture. » J'ai été très touché par leurs mots. Je leur ai alors dit que la prétendue auto immolation avait été fabriquée et que le Falun Gong est pratiqué dans plus de 50 pays. Elles ont dit : « Nous savons que l'auto immolation est une fausse. Tu es une femme intelligente. Si le Falun Gong n'avait pas été bon, tu ne l’aurais pas suivi. Si tu n’étais pas bonne, ton mari ne t'aurait pas laissé pratiquer. »

« Votre Maître vous a envoyée pour nous sauver »

Quand j’ai parlé à mes deux beaux-frères au sujet du principe de la « Vérité Compassion Tolérance » et du principe que le bon sera récompensé avec le bon et le mauvais rencontrera avec le mal. Tous les deux ont été convaincus. Mon mari m'a également aidé. En fin de compte, ils ont dit : « C'est votre Maître qui vous a envoyé pour nous sauver. » Ils ont continué à me dire qu'ils avaient dans le passé, écouté les conférences du Maître. Pendant qu'ils conduisaient, ils se rappelaient ça et là, les mots du Maître. Ils ont essayé de suivre les enseignements du Maître quand ils faisaient des affaires.

« Si nous pratiquions tous le Falun Gong, ils n’auraient jamais pu nous kidnapper. »

Pendant la fête du printemps, j'ai ramené quelques CD de clarification de vérité dans ma ville natale. Les villageois étaient très intéressés à les regarder et ils n'avaient pas peur des policiers. Après les avoir fait jouer plusieurs fois, quelques parents les ont empruntés. Un voisin a dit après avoir regardé les CD : « Je ne savais pas qu’il y avait autant de gens qui pratiquent le Falun Gong. Jiang nous a tous menti. Je sais que c’est une bonne chose. Sinon, pourquoi tant de gens iraient plutôt en prison plutôt que d’y renoncer ? Si ce n’était pas bon, personne ne le pratiquerait. « Une autre personne a dit : « Si nous avions tous pratiquer le Falun Gong, ils n’auraient jamais pu nous kidnapper. »

« Nous sommes fiers du fait d’avoir un pratiquant de Falun Gong dans notre village. Nous bénéficions tous de Falun Gong. »

Pendant la fête du printemps, j'ai profité de l’occasion de la visite de porte en porte, pour parler au sujet de Falun Gong. Mes deux belles-soeurs m'ont bien aidée aussi. Cela a vraiment bien fonctionné. Quand je suis revenue à la maison, ma belle-mère et moi, nous avons profité de l'occasion pour parler aux jeunes gens au sujet de Falun Gong. J'ai vu tous ces yeux qui espéraient être sauvés. Quelques femmes de mon âge ont pris mes mains et elles ont dit : « Nous sommes fières d’avoir une pratiquante de Falun Gong dans notre village. Nous bénéficions tous de Falun Gong. »

15-8-2003