Par Chen Gang

(Minghui.org)

J’aimerais profiter de l’occasion pour partager ma propre expérience afin d’exposer Jiang Zemin et ses cohortes de malfaiteurs pour leurs assauts dévastateurs envers la nature humaine, la moralité et tout espoir.

Ma vie

Je suis né à Beijing et j’ai grandi au sein d’une famille à l’aise. Tous deux, mes parents étaient des musiciens très connus en Chine. En 1994, après être diplômé du Collège, je joignis une compagnie à Beijing et fus très bien payé. J’ai toujours crû être une personne ordinaire, moyenne parce que quoique je ne fasse pas de très mauvaises choses en tant que tel, je n’étais pas non plus de nature noble. Dans ce monde matérialiste, afin de prouver mes habilités et d’obtenir un environnement de vie confortable, je faisais tout en mon pouvoir pour obtenir de l’argent, y compris ‘faire chanter’ les gens par menaces et recevoir des sommes illicites de cette façon. Peut-être en raison de l’influence de membres de ma famille, qui sont dans le domaine de la musique, j’avais toujours cette soif ardente de sagesse supérieure et d’une transcendance de niveau et voilà pourquoi j’essayai le qigong et le Tai Chi, dans ma jeunesse et plus tard, je m’intéressai au Bouddhisme. Pour être honnête, cependant les livres de qigong et du Bouddhisme dont j’ai lus ne m’ont pas inspiré.

En avril 1995, par hasard j’ai connu le livre, La Grande Méthode de Plénitude Parfaite du Falun Fofa, je fus très surpris de trouver réponses à toutes mes questions sur le qigong et le Bouddhisme dans ce livre. De ce livre j’ai appris comment m’améliorer vraiment et j’ai connu une compréhension claire de la signification de la vie. Le principe de la Vérité Bienveillance et Tolérance est non seulement un principe universellement reconnu et félicité, et non seulement un concept qui résonne prestigieux car lorsque je me conduisais selon ce principe, je sentais vraiment sa puissance et sa dignité. J’ai senti que lorsque je me comportais habituellement selon la Vérité, la Bienveillance et la Tolérance, que ce soit dans ma vie de famille ou au travail, l’environnement tout autour s'illuminait. Parce que je ne luttais pas pour la renommée et la fortune et que je faisais de mon mieux au travail, ma performance au travail s’améliorait rapidement. Je voyais clairement que si je ne pratiquais pas le Falun Gong, il m’était impossible de faire preuve de patience et de responsabilité. Mes liens familiaux sont devenus plus harmonieux et les sautes d’humeur dans les conflits ont disparues. Lorsque les conflits se pointaient le nez, tout le monde cherchait d’abord à l’intérieur pour voir ce qu’il/elle avait fait de mal, alors, le bonheur devint notre compagnon. En rétrospective, les années 1995 & 1996, selon moi, furent les meilleures et les plus heureuses de ma vie.

Jiang Zemin persécute férocement le Falun Gong – persécution physique et psychique

En juillet 1999, la persécution globale contre le Falun Gong a vu ses débuts: tous les journaux, stations de T.V. et radiophoniques ont commencé à diffuser à plusieurs reprises les mensonges diffamatoires sur le Falun Gong, et le régime de Jiang a forcé tous les Chinois à déclarer leur position sur cette persécution, à savoir si on l’appuyait ou si on s’y opposait. Tous ceux qui s’y opposaient faisaient face immédiatement au lavage de cerveau, perdaient leur emploi et leurs libertés et souffriraient de plus amples persécutions. La portée et la profondeur de la persécution ont même excédé la Révolution Culturelle, durant le temps où Liu Shaoqi fut appelé un « ennemi du peuple » et fut persécuté jusqu’à la mort. La demeure de mes parents a été saccagée deux fois et on surveilla mon téléphone. En novembre 1999, j’exerçai mes droits et privilèges en tant que citoyen et je suis allé en appel au Bureau d’Appel pour raconter mon histoire. En conséquences, je fus illégalement détenu pendant 30 jours. En juin 2000, on m’a accusé « d’avoir dérangé l’ordre public » et j’ai reçu une peine d’un an au camp de travaux forcés ((plus tard prolongé à 18 mois), parce que je persistais dans ma pratique du Falun Gong; je n’ai rien fait qui puisse faire du tort à qui que ce soit, ni à la société. J’ai souffert des douleurs inimaginables et j’ai presque perdu la vie.

« La Réforme » est l’objectif de Jiang Zemin et du Bureau «6-10» dans leur persécution du Falun Gong. En fait, on vous force d’écrire des déclarations promettant de renoncer à votre pratique du Falun Gong, et même on essaie de vous forcer à maudire le Falun Gong et son fondateur. Le « Bureau 610 » a même établi une cote pour sa « réforme » aux camps de travaux forcés afin de s’en servir pour juger les accomplissements de ces camps. De plus, le « Bureau 610 » et l’Association d’Anti-culte-pervers ont pris part directement dans le regroupement de mesures de persécution; ils les ont regroupées et les ont distribuées aux camps de travaux forcés. Ces pamphlets sont très détaillés mais les malfaiteurs n’ont pas osé les édités publiquement sur une grande envergure, sachant que leur perversité est tellement honteuse qu’on ne pourrait les exposer à la lumière afin que tous puissent en juger. Les camps de travaux forcés se sont servis d’une série de mesures de lavage de cerveau pour cibler les pratiquants de Dafa et ils se sont servis de différentes approches sur différentes personnes. Afin d’atteindre leur objectif, ils ont forcé les pratiquants d’écrire des déclarations quoiqu’ils sachent bien que les pratiquants les écrivent contre leur gré. Ils n’ont même pas pensé pour une seule seconde à avoir si ce qu’ils faisaient était en somme dans la légalité, quel dommage cela pouvait apporter à l’humanité, à la dignité à la moralité, ni au dommage psychologique possible pour la victime.

Par exemple, lorsqu’ils avaient affaire avec des gens timides et facilement effrayés, la police se servait de menaces, terreur et violence pour changer leur volonté; après que le pratiquant ‘s’adoucissait’, immédiatement ils commençaient à mentir et promettre des réductions de peines et autres ‘récompenses’ pour les raisonner à changer; pour les gens qui n’étaient pas trop clair sur les principes de Dafa, la police citait une série de mensonges et de déceptions diffamatoires pour faire croire au pratiquant que pratiquer le Falun Gong était chose contre le Parti et le gouvernement; et en ce qui concerne ceux pour qui leur famille leur manquait, la police demandait à la famille de les « conseiller » ou ils mentaient au sujet de la famille afin de briser la volonté du pratiquant; en ce qui concerne ceux qui avaient peur des tribulations difficiles , on les forçait à faire les travaux des plus durs et les plus lourds ainsi que des plus dégueulasses; en ce qui concerne ceux qui chérissaient leur corps physique, ils étaient intentionnellement brutalisés. En tout et en partie, ce dont fut l’attachement du pratiquant, la police le ciblait pour exploitation dans sa persécution. Si de toute façon le pratiquant insistait à sa pratique du Falun Gong, ils changeaient constamment « d’éducateurs » le ridiculisant et le maudissant et l’attaquant physiquement et psychologiquement.. Le but était d’éliminer son estime de soi, sa confiance. En même temps, ils intensifiaient la torture physique et mentale afin de fatiguer la pratiquant à l’extrême à long terme, avec le temps, et par la suite on cherchait l’opportunité de le détruire.

Si on échouait sur tous les fronts, pour interférer avec les pratiquants immuables, on envoyait des gens qui « n’avaient pas été transformés totalement ». Ces gens-là avaient voulu se compromettre sous la pression, mais pensaient toujours que le Dafa était bon et voulaient toujours pratiquer après leur sortie. Mais, en raison de leur peur de la persécution, ils défendent le point de vue de la « réforme » du mieux qu’ils peuvent et ils essaient de faire accepter en sorte la « réforme » comme ils l’ont fait et ils encouragent les pratiquants de renoncer à leur croyance contre leur gré. Si les pratiquants sont « transformés. De cette façon. La police envoyait immédiatement un autre groupe de gens « complètement réformés » pour « solidifier la victoire ». La police oblige les pratiquants d’étudier constamment de la littérature de la « réforme », d’écrire des articles d’auto-critique, de diffamation envers Dafa etc. Cette littérature comprend les diffamations contre Dafa et Maître, tord intentionnellement les articles de Maître et les écritures et diffame les pratiquants de Falun Gong. À chaque fois, qu’un pratiquant écrit un article, à chaque fois qu’il subit une activité de lavage de cerveau, il se détourne et dévie peu à peu de la justice et de sa conscience. Après un certain temps, le pratiquant devient engourdi et volontairement abandonne sa foi ou se fabrique des raisons variées pour se tromper et TROMPER les autres ou accepte les opinions ridicules des malfaiteurs. Il y beaucoup trop de tels cas dans les camps de travaux forcés. Si tout ceci échoue, la police enlève son masque et révèle son vrai visage, qui est, qu’ils vont certainement se servir de la violence et de moyens haineux y compris monter des coups contre les pratiquants et faire des excuses pour prolonger leurs peines afin de les persécuter brutalement.

(À suivre)