Le 30 novembre 2003

(Minghui.org)

Depuis le 20 juillet 1999, lorsque des pratiquants locaux valident Dafa, ils sont périodiquement persécutés par la perversité. La plupart d’entre eux ont été arrêtés parce qu’ils faisaient ou distribuaient des documents clarifiant la vérité. Cela indique que nous avons toujours des omissions dans la validation de Dafa, comme par exemple ajouter à notre insu des attachements de personnes ordinaires. En partageant nos expériences, nous avons trouvé que lorsque des compagnons de pratique locaux font un travail de validation de Dafa, il y a plusieurs sortes d’attachements humains communément exposés :

1.     Un cœur de haine. Face aux coups montés et à la diffamation accablante par le cruel groupe politique des voyous, en voyant Dafa et le Maître attaqués par des diffamations et en voyant les pratiquants souffrir de tortures inhumaines, certains pratiquants ont instinctivement développé de la colère et de l’indignation contres les persécuteurs. Cette émotion forte est souvent mélangée involontairement à leur travail de validation de la Loi.

2.     Le cœur de simplement faire un travail. On voit souvent cette sorte de mentalité chez les compagnons de pratique qui font très activement un travail pour Dafa. Parfois, pour se dépêcher de faire des documents clarifiant la vérité, si ce n’est pas fini ou distribué à temps, les pratiquants se sentent inquiets et essaient de faire à la hâte pour y finir, ignorant l’étude de la Loi et la cultivation. Il en résulte qu’ils développent la mentalité de simplement faire un travail.

3.     Un cœur de réussite. Certains pratiquants sortis récemment et n’ayant pas bien étudié la Loi pensent à tort que la validation de la Loi est pour établir leurs propres pouvoir et vertu, que c’est pour leur propre réussite, alors ils recherchent aveuglément le nombre et ont hâte de faire des réussites. Cela mène facilement à des problèmes.

4.     Le cœur d’être gentil. Certains pratiquants ont peur de sortir pour valider Dafa à cause de leur cœur de peur. Pour aider un pratiquant, un pratiquant local qui étaient en train de bien faire en validant Dafa a demandé au pratiquant de distribuer des dépliants ou des autocollants ensemble dans le quartier. Bien que le pratiquant ait aidé, c’était seulement pour être gentil, plutôt que pour valider la Loi et sauver les êtres vivants. Il est évident que d’avoir une telle mentalité pour valider la Loi va réduire l’efficacité du travail de validation. Si la mentalité d’une personne ordinaire est au contrôle pendant la validation de la Loi, c’est équivalent à des personnes ordinaires faisant un travail de validation de la Loi. La partie la plus dangereuse, c’est quand on valide Dafa avec la mentalité d’une personne ordinaire, la perversité peut facilement prendre avantage et elle peut trouver des excuses pour persécuter les pratiquants.

Quel genre de cœur nous avons quand nous validons Dafa est un point de départ essentiel pour faire du travail de Dafa. Cela reflète si notre motivation pour valider la Loi est pour nous-mêmes ou pour les autres. Si nous utilisons une mentalité impure pour valider la Loi, les bases ne sont pas justes et jusqu’à un certain point cela montre la notion déviée d’intérêt personnel. Si nous établissons les bases sur le principe de valider la Loi et de sauver les êtres vivants avec un cœur pur, alors le point de départ est juste. Cela montre les êtres droits, désintéressés et altruistes que les pratiquants de Dafa s’efforcent de devenir. Avec ce cœur droit pour valider la Loi, la perversité ne va trouver aucune excuse ; autrement elle violerait la Loi et les corps de la Loi du Maître et les divinités protectrices de la Loi ne seraient pas tendre avec elle. Même si nous rencontrons du danger pendant la validation de la Loi, le Maître va nous aider à rentrer sain et sauf. Sous un autre angle, c’est seulement si les bases sont correctes que le travail de validation de la Loi peut être le plus efficace et vraiment atteindre le but de valider la Loi et de sauver les êtres.

Ceci est ma compréhension personnelle, s’il vous plaît, partagez votre avis avec moi.

Traduit en Europe le 5 janvier 2004