(Minghui.org)

Par un pratiquant en Chine

Première méthode de torture:

Lieu: cellule d’isolement de la division des femmes du camp de travaux forcés de Dalian.

But: forcer les pratiquantes de Dafa à signer une « déclaration de repentir », une « déclaration de garantie » et une autocritique.

Description: cage en métal de forme cubique faite de barres d'acier soudées faisant 1,8 mètres de haut, 2 mètres de long et 1 mètre de largeur.

Le dos de la victime est attaché au dos d'une chaise et une corde passe entre ses jambes. La victime est ensuite suspendue contre un côté de la cage, jusqu'à ce que ses pieds ne touchent plus le sol, la barre horizontale de la cage sert de support. Les bras sont séparés et


chaque main est menottée ou attachée à un barreau.


Une jambe est ensuite soulevée et tenue par un des voyous alors qu'un autre frappe la main de la victime à coups de ciseaux ou frappe ses pieds avec une planche en bois, en visant le même endroit encore et encore. Puis on pousse l'autre jambe vers la direction opposée. Les crapules continuent à torturer la victime jusqu'à ce qu'elles en soient fatiguées.

Les variations de cette torture comprennent:

a. La victime est suspendue depuis le milieu de la cage. Les deux jambes sont attachées entre les barres verticales des deux côtés de la cage. Puis les voyous écartent de plus en plus les jambes.

b. On lève les jambes de la victime et les voyous lui insèrent un manche à balai dans le vagin et le secoue vigoureusement. Afin d'étouffer les cris et les gémissements d'angoisse, les voyous bâillonnent la victime avec des chiffons sales et ferment la bouche de la victime avec un ruban adhésif jaune.

Beaucoup de victimes souffrent d'hémorragie aigue à cause de cette torture, cependant même quand cela se produit, les gardiens n'arrêtent pas.

Deuxième méthode de torture:

Lieu: camp de travaux forcés de Masanjia et division des femmes du camp de travail de Dalian, province de Shenyang.

But: briser les pratiquantes qui sont en grève de la faim

Description: un « lit» spécialisé, appelé le « Lit de la Mort » par certains pratiquants à Shenyang. Le « lit » se compose d'un panneau en métal avec un trou au niveau des hanches. Les mains et les pieds de la victime sont étirés et attachés de chaque côté du lit. Le pantalon de la victime est découpé ou enlevé et les selles et les urines tombent dans le trou. Durant les gavages, les crapules tournent exprès les tubes, pour torturer les victimes, et utilisent en plus des tubes très sales.

La couchette est fabriquée à partir d'un lit (1m x 1,8m) utilisé auparavant pour dormir à Dalian. Environ trois planches seulement sont utilisées pour soutenir le corps; une pour le torse, une pour les jambes et une à la taille. La victime est attachée au lit, les quatre membres sont écartés et un seau est placé en dessous pour récupérer les urines et les excréments. On insère un tube pour le gavage et, par commodité, ce tube n'est jamais retiré. L’estomac de certaines victimes a été gravement blessé pour toujours parce que le tuyau en caoutchouc est inséré directement jusqu'aux parois de l'estomac. En raison de cette torture, les victimes se fatiguent très rapidement et elles peuvent perdre plus de 5 kilos en un ou deux jours. Pour éviter que les victimes ne se suicident à cause des tortures insupportables, les auteurs de ces crimes leur mettent un casque sur la tête, semblable à un casque de moto. Les oreilles de certaines victimes se sont mises à s'infecter parce que le casque n'avait pas été enlevé pendant de longues périodes.

Les victimes ont passé ainsi des jours et des nuits dans cette condition, entre une semaine et plus d'un mois, jusqu'à ce qu'elles renoncent à leur grève de la faim ou jusqu'à ce qu'elles soient au seuil de la mort.

Troisième méthode de torture:

Lieu: Camp de Travail de Masanjia à Shenyang

But: forcer les pratiquants de Dafa à abandonner leur croyance

Description: les jambes des victimes sont attachées ensembles avec des cordes en position de lotus, à partir de très tôt le matin jusqu'à tard dans la nuit et ceci durant plus d'une dizaine d'heures chaque fois.

Traduit en Suisse le 11 octobre 2004