Par le journaliste de Clartés et Sagesse Lin Zhanxing

(Minghui.org)

Introduction

Le 7 avril 2004, Clartés et Sagesse.net a rapporté que dans les trois derniers mois de janvier 2004 au 5 avril 2004 qu’il y avait eu quatre-vingt trois rapports de morts confirmés due à la persécution de pratiquants du Falun Dafa, qui avaient réussi à échapper au blocus des médias du gouvernement chinois. Vingt-six de ses morts sont survenus entre le 1er janvier et le 5 avril 2004, tandis que les autres avaient eu lieu plus tôt et avaient été cachés jusqu’à maintenant.

A la 60e Session de la Commission sur les Droits Humain, le15 mars 2004, le problème des droits humains en Chine a été sérieusement examiné. La communauté internationale, une fois encore a condamné les crimes contre l’humanité commis par les politiques de persécution de Jiang dans sa campagne pour persécuter le Falun Gong.

Les pratiquants du Falun Gong de Washington DC se sont rassemblés devant l’Ambassade Chinoise et ont demandé que Jiang Zemin soit poursuivi en justice

Jiang Zemin a abusé de son pouvoir, plaçant sa volonté personnelle au-dessus de sa responsabilité à l’égard de son pays. Il a personnellement organisé, ordonné et mobilisé la persécution inhumaine du Falun Gong. Parce que le régime de Jiang fabrique systématiquement des mensonges contre le Falun Gong, et cache impitoyablement et dissimule sa persécution, c’est très difficile pour la plupart des gens de connaître toute l’histoire de la persécution. A partir le l’information limitée envoyée par les pratiquants du Falun Gong en Chine qui risquent leur vie pour partager la vérité, nous pouvons voir clairement la gravité , l’étendue et la cruauté de cette horrible persécution. Les crimes commis par le régime de Jiang sont choquants. Il sont si nombreux qu’il serait impossible de tous les lister dans cet article.

Contenu de l’article

  1. Jiang Zemin a personnellement déclenché la persécution
  2. Comment Jiang a personnellement comploté et mobilisé la persécution
  3. Comment Jiang a poussé la persécution de l’avant et utilisé le Terrorisme d’État pour pratiquer le génocide
  4. Jiang a personnellement dirigé et "mobilisé les Forces"
  5. Fabriquer les mensonges et le lavage de cerveau
  6. La calamité nationale apporté par la persécution
  7. Poursuivre en justice le principal auteur des crimes, Jiang Zemin, et les assistants des crimes qui persécutent le Falun Gong

I. Jiang Zemin a personnellement déclenché la Persécution

Depuis l’introduction du Falun Gong au public à Changchun au mois de mai 1992, celui-ci s’est rapidement répandu en Chine. Les gens qui ont appris et pratiqué le Falun Gong ont reçu des bienfaits physiques, conservé leur mise en forme, et adopté des standards moraux plus élevés. Le nombre de pratiquants a dramatiquement augmenté, atteignant les 100 millions au début de 1999. Durant cette période, le gouvernement chinois a reconnu le Falun Gong avec plusieurs prix, supports et acclamations. Plusieurs des succursales du Parti, de l’administration du gouvernement, et de l’armée ont appris, pratiqué et bénéficié du Falun Gong et tous les sept membres du Comité du Bureau Politique du Parti Central Chinois avaient lu Zhuan Falun. Plusieurs membres de leurs familles pratiquaient aussi le Falun Gong.

Ref : http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/7/12/53895.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/7/13/38091.html

Pratique de Groupe du Falun Gong à Wuhan

A. Le motif derrière la persécution

Lorsque Jiang Zemin est devenu le Secrétaire Général du Parti, la foi et la moralité avaient disparu de la société. Les changements politiques dramatiques balayant l’Europe de l’Est avait grandement ébranlé le leadership du régime chinois. Après la 15e Assemblée Générale du Parti en 1997, Jiang Zemin est devenu le "chef central" du Parti, lui donnant le pouvoir ultime. On a beaucoup discuté que ses motifs étaient égoïstes et pour le plaisir de sa position. Pour s’assurer de cette intention, Jiang sévissait contre tout groupe qui n’était pas directement sous son contrôle.

Le Falun Gong était très populaire à cause de son merveilleux pouvoir de guérison. A ce moment-là, il y avait 100 millions de pratiquants du Falun Gong en Chine, dépassant de beaucoup le nombre des membres du Parti. Jiang était extrêmement mécontent de l’enquête de 1998 mené par des anciens retraités cadre du Parti, qui louangeait le Falun Gong. Jiang se sentit menacé par la réputation du fondateur du Falun Gong et développât une vengeance personnelle contre la pratique. Donc, il a banni le principe de « Vérité, Bonté, Tolérance » du Falun Gong, et commençât un règne de terreur contre le Falun Gong. Les gens ont supporté ses politiques de persécution remplis de peur d’être impliqué et d’être persécuté eux-mêmes.

Au début de la persécution Jiang Zemin a dit dans un document intitulé : « Points clés à une importante réunion : Malgré la leçon de la désintégration du système socialiste de l’Union Soviétique, le Comité du Parti Central Chinois est toujours déterminé à combattre toute idéologie, croyance et théorie contre le Marxisme et à reprendre et à renforcer le fondement de la pensée du prolétariat. Nous sommes déterminé à désinfecter le champ de l’idéologie. Le Falun Gong promeut la « Vérité, Bonté et la Tolérance » et cela nous fournit une occasion de désinfecter le champ. Comme pour les autres organisations de Qigong, ce sera dur de faire ainsi, parce qu’ils peuvent causer des émeutes dans le pays ou ils pourraient déclancher des assasinats, des attaques d’empoisonnement du gaz, des explosions, ou d’autres activités terroristes. Ce qui rendrait notre travail difficile, du sabotage de la stabilité sociale, et donc il serait difficile d’accomplir l’effet du châtiment et d’avertissement. Puisque le Falun Gong promouvoit la « Vérité, Bonté, et la Tolérance », nous pouvons écraser le Falun Gong sans aucune appréhension. Nous pouvons accumuler les expériences de l’anéantissement du Falun Gong et les appliquer aux autres organisations de Qigong. » Cette déclaration expose la jalousie de Jiang, son désir corrompu pour le pouvoir et son inclination à la brutalité.

Jiang Zemin savait bien que le Falun Gong n’exécuterait jamais d’ « assassinats, d’attaques d’empoisonnement du gaz, d’explosions, ou d’autres activités terroristes » et ne saboterait jamais la stabilité sociale. Tout simplement parce que le Falun Gong promouvoit la « Vérité, Bonté et Tolérance », Jiang sentait que c’était une cible facile, qui pourrait être persécuté sans peur de représailles. Il a donc diffamé le Falun Gong dans la société, accusant la pratique de « faire concurrence au Parti (i.e. Jiang lui-même) pour le cœur des gens ».

(Ref: http://minghui.ca/mh/articles/2000/10/12/1064.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2000/12/13/4085.html)

B. L’écrasement du Falun Gong était soigneusement planifié

Au début de 1997, le subalterne de Jiang Zemin, Luo Gan, a abusé de son pouvoir en menant le Département de la Police à faire une enquête secrète sur le Falun Gong à travers le pays. Le but était de recueillir des preuves pour soutenir l’interdiction du Falun Gong. A travers le pays, les résultats démontrèrent que « aucun problème n’avait été trouvé ». Au mois de juillet 1998, Luo Gan a publié un document publique (1998) 555 « Annonce au sujet du lancement d’une enquête sur le Falun Gong » à travers la Première Division du Département de la Police (aussi connu comme Bureau de la Sécurité Politique). L’annonce a tout d’abord étiqueté le Falun Gong comme « [mots diffamatoires omit respectueusement] » et a alors dirigé les succursales de la sécurité publiques de différents niveaux à espionner le Falun Gong dans le but de ramasser des « preuves ». Néanmoins, on n’a pas trouvé une seule preuve qui pouvait montrer que les pratiquants du Falun Gong étaient contre le gouvernement ou avaient commis des crimes.

Dans la dernière partie de 1998, les anciens cadres retraités à travers le pays, menés par Qiao Shi, ont fait une enquête sur le Falun Gong en réponse à une demande écrite exprimé par plusieurs lettres du public. La conclusion de cette enquête a été que le : « Falun Gong apporte de nombreux bienfaits au pays, sans aucun effet négatif ». Ce rapport a été soumis à la fin de l’année au Bureau Politique. Le rapport contenait cette déclaration : « Gagnant le coeur des gens, vous gagnez le monde. Perdant le coeur des gens, vous perdez tout ». Jiang a écrit une note à Luo Gan, déclarant : « Ce rapport est obscur, je ne peux pas comprendre ». Luo Gan a immédiatement compris l’intention corrompue de Jiang et a orchestré un nombre d’incidents pour calomnier et monter un coup contre le Falun Gong.

Donc, à la fin de 1998, faisant face à une enquête illégale et à l’hostilité des personnes au pouvoir, 135 personnes parmi les pratiquants du Falun Gong, bien connues dans la société, se sont unies pour soumettre une lettre au Président Jiang et au Premier Zhu Rongji. L’éditeur en chef de la lettre était un éminent professeur en droit de l’université de Beijing. La lettre déclarait que ci-dessus mentionné « Annonce » du Bureau de la Sécurité Publique du Ministère Chinois violait la Constitution Chinoise et était contre la loi.

La réponse rapide du Premier Zhu Rongji déclarait que le Bureau de la Sécurité Publique ne devrait pas harceler les pratiquants du Falun Gong, mais devrait se concentrer sur les problèmes de sécurité sociales, et que le Falun Gong avait diminué drastiquement les coûts médicaux à travers le pays. Cette réponse du Premier Zhu a été secrètement retenue par Luo Gan. Ce n’est que le 25 avril 1999, lorsque les pratiquants du Falun Gong ont fait appel au Bureau d’Appel du Conseil d’Etat et ont vu le Premier Zhu, qu’ils ont su que sa réponse avait été interceptée. C’est alors seulement à ce moment-là, que les pratiquants du Falun Gong ont appris qu’il y avait eu une telle réponse aussi positive du Premier Zhu.

Ref: http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/7/12/53895.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/7/13/38091.html

C. La jalousie fait surface

Lou Gan et He Zuoxiu ont personnellement dirigé « l’incident de Tianjin » où les pratiquants du Falun Gong ont été harcelés et arrêtés. A travers le dialogue avec les pratiquants, Premier Zhu Rongji a répondu avec succès à l’appel paisible des 10,000 pratiquants du Falun Gong le 25 avril, 1999, qui s’étaient réunis en réponse à l’arrêt illégal de pratiquants du Falun Gong par les policiers à Tianjin. L’incident a été résolu paisiblement et la tolérance et la rationalité démontrée par les deux parties ont été hautement acclamées par la communauté internationale.

25 avril 1999: Appel paisible par les pratiquants du Falun Gong

La jalousie de Jiang ne pouvait plus être contenue. Quand Luo Gan et ceux en charge des bureaux d’appels de niveaux élevés ont rapporté l’appel des pratiquants du Falun Gong du 25 avril à Zhongnanhai, Jiang Zemin agita les mains furieusement et hurla : « Ecrasez le Falun Gong! Ecrasez-le! Ecrasez-le complètement!" Cet excès de rage ébranla tout le monde qui en fut témoin.

Le soir du 25 avril 1999, Jiang écrivit une lettre à chaque membre du Bureau Politique et en fit un document officiel du comité central, à être distribué aux administrations subalternes. Son comportement imitait les actions de Mao Zedong lors de la Grande Révolution Culturelle. A la première réunion discutant l’ « incident de Zhongnanhai » avec les membres permanents du Parti, le Premier Ministre Zhu Rongji a dit : « Juste les laisser pratiquer le Falun Gon ». Le Président Jiang devint enragé et hurla : « Stupide ! Stupide! Le Falun Gong détruira le Parti et la nation! » En tant que "Conservateur" qui avait souffert plusieurs années de mauvais traitement, Zhu Rongji est resté silencieux au sujet du Falun Gong à partir de ce moment-là.

Le 25 avril « l’incident de Zhongnanhai » n’a pas été la raison directe pour la persécution du Falun Gong. Le gouvernement central avait déjà pacifiquement résolu le puissant appel des 10,000 personnes. La haine du Falun Gong de Jiang était profondément enracinée. Négligeant la volonté de la majorité des anciens chefs, il a renversé le traitement civilisé du Falun Gong proposé par le Premier Ministre du Gouvernement Chinois et dénonçât le Falun Gong comme étant l’ennemi le plus redoutable qui menaçait sa position en tant que « chef principal » du Parti. Prenant avantage du nom et du pouvoir du parti et du pays, il déclencha la persécution du Falun Gong, complètement avec jalousie, orgueil méprisant et luxure du pouvoir. Face à cet usage abusif du pouvoir, les dirigeants clés du gouvernement chinois se sont retirés et sont devenus silencieux.

Ref: http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/7/12/53895.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/7/13/38091.html

II. Comment Jiang a personnellement comploté et mobilisé la persécution

Dans une tentative désespérée de défendre son pouvoir, Jiang Zemin a perdu totalement la raison. Il a violé publiquement la Constitution Chinoise pour initier la persécution du Falun Gong.

A. Le discours de Jiang à la réunion du Politburo le 7 juin 1999

Le 7 juin 1999, Jiang Zemin a livré un discours au sujet du Falun Gong à la réunion du gouvernement central du Politburo. Le 13 juin 1999, le bureau du gouvernement central a publié et distribué le discours de Jiang. Le discours détaillait la persécution du Falun Gong.

Dans son discours, Jiang a déclaré: « Le gouvernement central a décidé d’établir un comité pour s’occuper spécifiquement du « Falun Gong ». Le Camarade Li Lanqing sera le Directeur, Ding Guan-gen et Luo Gan, comme directeurs adjoints, et les camarades responsables pour les départements en liaison, comme membres, pour discuter des mesures pour résoudre la question du « Falun Gong ». Le gouvernement central doit coordonner avec les différents départements du gouvernement, les différentes provinces, les régions autonomes et les villes autonomes ». En fait, Jiang référait à lui-même en tant que « Gouvernement Central ». A ce moment, parmi les sept membres du comité, six étaient contre la persécution du Falun Gong.

Jiang Zemin a défini sans fondement la nature du sujet Falun Gong comme étant une « bataille politique », regardant le Falun Gong comme un ennemi politique du parti. Il a mobilisé tout le parti et le gouvernement pour planifier la persécution. Entre le 25 avril et le 7 juin, Jiang Zemin a complété ses plans systématiques, planifiant des actions concrètes.

B. Etablir le "Bureau 610" – un service pour persécuter le Falun Gong

Comme dicté dans le discours de Jiang du 7 juin, le 10 juin, le régime de Jiang a établi le « Bureau de l’Equipe de Direction sur la question du Falun Gong » connu depuis lors, comme le « Bureau 6-10 ». Ce service est l’agence de décision et d’exécution, dirigé par Li Lanqing. C’est un bureau permanent sous le Comité des Affaires Politiques et Législative du Parti Central, contrôlé personnellement par Luo Gan. Ses membres clés incluent les gens en charge de nombreux services gouvernementaux, incluant la Cour Suprême, le Procureur Suprême, le Ministère de la Sécurité de l’Etat, le Ministère des Affaires Etrangères, et le Ministère de la Propagande. Le « Bureau 610 » est le service le plus élevé au niveau gouvernemental et est un outil extrêmement efficace pour le terrorisme. Sa seule fonction est de persécuter le Falun Gong en organisant et en dirigeant des activités de persécution. Ce bureau est responsable pour toutes les questions reliées au Falun Gong et est le quartier général pour la persécution systématique du Falun Gong. Les crimes commis sous ce service sont innombrables et choquants

Du gouvernement central jusqu’aux municipalités locales, le « Bureau 610 » ignorent toutes les lois, exerce un pouvoir absolu. Son autorité outrepasse celui de la Cour, le Congrès du Peuple, le Département d’Etat, le Ministère de la Sécurité Publique et le Procureur de la République. Ses fonctionnaires peuvent arrêter arbitrairement et extorquer de l’argent aux pratiquants du Falun Gong par la torture, ou amplifier la persécution à volonté. Le « Bureau 610 » est une organisation illégale contrôlée par Jiang Zemin et est complètement composé de fonctionnaires politiques corrompus. Son apparition et son existence n’a aucune base légale, c’est seulement le produit du pouvoir personnel et de l’ambition démente de Jiang Zemin.

Le « Bureau 610 » se spécialise dans la persécution politique, outrepasse complètement les lois au même niveau du gouvernement. De cette façon c’est semblable à la notoire Gestapo de l’Allemagne des Nazi, l’impitoyable KGB de l’ancienne Union Soviétique, et le « Groupe de Direction Central de la Révolution Culturelle », une succursale inspirant la peur du gouvernement chinois et qui a existé au temps de la Grande Révolution Culturelle. Des bureaux locaux ont été établis dans toutes les provinces, villes, régions et municipalités autonomes. Chaque « Bureau 610 » local est supporté par le Comite Judiciaire et Politique du Parti.

Ref: http://www.minghui.cc/mh/articles/2003/7/12/53895.html

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/7/13/38091.html

C. La décision de réaliser la persécution planifiée

Tout fut préparé avec beaucoup de soigneuses conspirations et planifications. Le 19 juillet 1999 Jiang Zemin a tenu une réunion de niveau élevé, à laquelle il a tenté de former un groupe cohésif pour suivre sa pensée et prendre la décision finale de supprimer et de persécuter le Falun Gong. La campagne officielle d’action unifiée commençât le lendemain matin, avec des arrêts à l’échelle nationale des « membres clés du Falun Gong ». Après des années de préparation, la persécution planifiée du Falun Gong par Jiang Zemin fut révélée. Le 20 juillet, sous le nom de « Gouvernement Central », Jiang Zemin a publié le Document No.13 pour bannir le Falun Gong, et a déclaré : « Ceci est une grave bataille politique ».

A 15h :00, le 22 juillet, le régime de Jiang a soudainement interrompu la programmation habituelle de la télévision et a diffusé une annonce interdisant « la Société de Recherche du Falun Dafa » sur CCTV (China Central TV Station). Au nom du Gouvernement Central Chinois, le Ministère de la Sécurité Publique et du Département d’Administration Civile, le Falun Gong a été officiellement étiqueté d’ « organisation illégale ». Lors d’une conférence de presse, le Département Etranger a aussi fait la même annonce. Par la suite, les machines de propagandes officielles contrôlées par le régime de Jiang se sont concentrées sur la publication de longs articles remplis de calomnies et d’injures dans le style de la Révolution Culturelle. Ils ont commencés à procéder à des arrestations, à l’échelle nationale, des pratiquants du Falun Gong qui allaient faire appel à Beijing au nom du Falun Gong. La peur s’est répandue à travers le pays. Bientôt, un grand nombre de livres du Falun Gong ont été détruits. Avec des arrestations sur une grande échelle, des raclées, lavage de cerveau, travaux forcés, condamnations illégales, torture, aussi bine que la création de nouvelles lois en rapport avec la religion, la manipulation des lois criminelles etc., les moyens de persécution ont escaladés.

Les arrêts à l’échelle nationale, le 20 juillet 1999, ont servi de prélude à « l’attaque ouverte » systématique du Falun Gong. Les pratiquants du Falun Gong ont répondu héroïquement en supportant la justice avec leurs vies.

Jiang Zemin a défini la nature de cette persécution. Il a personnellement comploté, organisé, planifié, mobilisé et ultimement émis les ordres finaux, jouant le rôle principal et décisif. A ce moment-là, Jiang occupait simultanément trois importants postes: le Secrétaire Général du Parti Chinois, le Président Chinois et le Chef du Comité Militaire Central. Il a facilement fouler aux pieds la majorité des membres des comités qui s’opposaient à la persécution. Chaque étape de la persécution du Falun Gong était générée par son discours ou son ordre et il est personnellement responsable pour ces atrocités contre l’humanité.

III. Comment Jiang a poussé la persécution de l’avant et a utilisé les Actes de Terrorisme d’Etat pour pratiquer le Génocide

Pendant que Jiang Zemin initiait la persécution du Falun Gong, il utilisa son pouvoir pour forcer les fonctionnaires du gouvernement à le supporter. L’interdiction et la persécution du Falun Gong violent la Constitution Chinoise. Pour « éradiquer » le Falun Gong, Jiang Zemin a fait des arrangements systématiques, a promu la persécution avec des mensonges, et a mené un terrorisme d’état inhumain.

A. Définir la nature de la persécution à partir des politiques et de la loi

Le discours de Jiang Zemin le 7 juin a étiqueté la question du Falun Gong comme étant « une bataille politique » et le 20 juillet il a défini le Falun Gong comme étant une « organisation illégale ». Parce que plusieurs personnes à l’intérieur du parti s’opposaient à la persécution du Falun Gong et avec le mouvement grandissant vers la légalité dans la société moderne, Jiang a cherché des phrases vagues dans la loi, à manipuler.

Le 25 octobre 1999, lors de sa visite en France, Jiang Zemin a été interviewé par le journal français quotidien, Le Figaro. Dans l’interview, il a violé la Constitution en référant au Falun Gong comme « [mots diffamatoires respectueusement omit] ». Le People's Daily, a aussi agi illégalement quand il a publié un éditorial spécial anonyme. Utilisant un ton de la « Révolution Culturelle », l’article calomniât le Falun Gong avec des mensonges et des étiquettes négatives. Le 30 octobre 1999, pour établir un « fondement légal » pour persécuter le Falun Gong, Jiang Zemin a forcé le Congrès Populaire a publié une « loi contre les religions perverses. Cette loi était remplie de termes pas clairs et des définitions vagues. Avant que la persécution ne commence, la loi a été utilisée pour « enquêter la responsabilité légale ». Maintenant cette loi ambiguë recevait un « pouvoir accru » pour remplir l’écart et établir les « fondements légaux » couvrant la conduite purement illégale de Jiang Zemin.

Selon un rapport de l’Agence France Presse à Beijing le 12 mars 2001, le Juge en Chef de la Cour Suprême de la Chine, Xiao Yang, a été sévèrement questionné par les députés du Congrès du Peuple. Un député, Lina Chen, s’est plaint que le manque de respect du système judiciaire de la Chine pour les droits humains était devenu de plus en plus grave, et que la persécution du Falun Gong qui durait depuis 19 mois à ce moment-là démontrait une « auto- contradiction intensifiée ».

B. De la création de la politique de Génocide et des directives générales pour sa réalisation concrète

La politique générale d’ « éradication » de Jiang Zemin est comme suit : « Diffamez leur réputation, mettez-les en faillite financièrement, détruisez-les physiquement ». De plus, plusieurs ordres secrets spécifiques et politiques de génocide ont été transmises par le « Bureau 610 ». Par exemples de telles politiques incluent : « Aucune mesure n’est excessive », « Pas de responsabilité si vous les frappez à mor », « Considérez-les comme suicides s’ils sont battus à mort » et « Incinérer les corps immédiatement sans confirmer leur identité ». Lorsque des festivals et des jours politiques sensibles approchaient, le régime de Jiang donnait des ordres à l’effet de « détruire » ou « d’éradiquer » le Falun Gong. L’arrêt en masse systématique des pratiquants du Falun Gong a pris place à l’échelle nationale.

Dans les “Points clé à l’importante réunion” de Jiang Zemin, ci haut mentionnés, Jiang a expliqué comment perpétuer la persécution du Falun Gong en ordonnant « le groupe d’action spécial » de continuer à renforcer leurs actions et à créer plusieurs plans de renforcement pour assurer que tout meurtre de pratiquants du Falun Gong serait invisible et indétectable.

Pour exposer ces mensonges et tromperies et pour laisser les gens de la province de Jilin connaître la vérité au sujet du Falun Gong et de la persécution, plusieurs pratiquants du Falun Gong à Changchun ont bravement percé le réseau de câble de télévision, exposant la persécution et passant à travers le barrage d’information. Le 5 mars de l’an 2002 ils ont montré avec succès « Falun Dafa à travers le monde » , « Auto immolation ou évènement mis en scène » et d’autres programmes de clarification de la vérité sur la télévision de Changchun et de Songyuan. Cette action courageuse a bouleversé le monde. Le régime de Jiang a paniqué et est devenu furieux. Jiang Zemin, dans une crise hystérique, a ordonné secrètement de « tuer sans pitié ». De plus il a ordonné la création de liste de morts à travers toute la nation. Liu Jing, le chef du « Bureau 610 » au Comité Central, est allé avec d’autres à Changchun, donnant les ordres de « résoudre le cas dans un certain temps ». En réponse, la province de Jilin Province a utilisé cette occasion pour arrêter les pratiquants du Falun Gong sur une grande échelle. Pendant un certain temps, la « terreur rouge » couvrait la région entière de la ville de Changchun. A Changchun, plus de 5,000 personnes ont été arrêtées. Certaines sont mortes en étant arrêtées et en étant torturées pour obtenir une confession. Tous les pratiquants du Falun Gong qui avaient participés à la percée du réseau de télévision pour montrer les programmes de clarification de la vérité ont été kidnappés et torturés pour obtenir de l’information et des confessions. Ils ont été illégalement condamnés à de longues peines de prison. La plus longue était de 20 ans. Même après que Liu Chenjun, un des principal participant à cet évènement, ait été kidnappé, menotté et enchaîné, la police lui a tiré deux balles dans une jambe. Il a subi toutes sortes de tortures cruelles lors de son emprisonnement au centre de détention et a été placé sur le banc du tigre (1) pendant 52 jours. Liu Chenjun a été torturé à mort le 26 décembre 2003, après avoir subi une torture brutale pendant 21 mois.

Jiang Zemin, à travers le « Bureau 610 » a appliqué une politique de génocide envers des millions de pratiquants du Falun Gong pendant plus de quatre ans. La politique exige des arrêts impulsifs, raclés, détention, châtiment, priver les pratiquants d’emplois et les « transformer » par la force, les forcer à renoncer au Falun Gong]. Jiang a utilisé les moyens de propagande de la nation pour répandre des mensonges, pour inciter la haine et pour forcer les gens à se tourner contre le Falun Gong. De cette façon, il a persécuté systématiquement et cruellement les pratiquants du Falun Gong. Plusieurs autres faits de la persécution ne seront pas présentés ici, due à la longueur limitée de cet article.

C. Utilisé le système national pour supprimer le Falun Gong

La persécution du Falun Gong de Jiang en utilisant les institutions de la nation entière est globale et systématique. Dans le processus, chaque partie de la nation, du gouvernement central jusqu’à chaque niveau des gouvernements locaux (province, ville, comté, district, municipalité et village) et toutes autres institutions, sont utilisés pour persécuter le Falun Gong.En fait, toutes les ressources humaines, matérielles et financières de la Chine sont utilisés pour persécuter le Falun Gong. L’administration, la justice, l’armée, la police, la sécurité publique, les cours, la sécurité nationale, stations de télévision, de radio, journaux,l’Internet, les services de science et de technologie,les services diplomatiques, communautés, institutions, toutes les compagnies, manufactures, écoles et unités familiales sont utilisés pour persécuter le Falun Gong. Les lois de la nation ont été déformées et changées par le régime de Jiang fortuitement pour supporter la persécution. Le régime de Jiang est une gang criminelle qui a abusé les systèmes politiques et légaux de la nation, les politiques et régulations nationales, littéralement la structure entière de la nation, pour persécuter le Falun Gong.

D. Ramasser des signatures en violant la conscience des gens

Jiang Zemin et le "Bureau 610 " ont gravement violé les droits humains des citoyens chinois en exécutant leurs nombreuses campagnes de persécution contre le Falun Gong. Pour éviter d’être condamné par la communauté internationale, le régime de Jiang à jouer le jeu de ramasser des signatures, utilisant son pouvoir pour faire que les gens qui étaient trompés et confus "supportent" leur persécution contre le Falun Gong. En réalité, excepté pour une très petite portion de gens qui était d’accord pour être utilisé par le régime de Jiang, combien de gens qui ont signé les pétitions connaissait la vérité sur le Falun Gong? Combien d’entre eux connaissait la vérité sur la persécution de Jiang contre le Falun Gong? De plus, plusieurs de ces signatures ont été obtenu par des demandes uniformes et désigné par les unités de travail. On a même ordonné aux étudiants du primaire et du secondaire de signer. Ce que Jiang a fait à travers la campagne de signatures est de complètement ravager la conscience des gens. Pensez-y, est-ce que Jiang aurait besoin que les gens expriment leur attitude de cette façon, si cette persécution était légale?

E. Répandre les mensonges et la persécution à l’étranger

A la réunion de APEC tenue en Nouvelle Zélande en septembre 1999, Jiang Zemin, le Président de la Chine à ce moment-là, a personnellement distribuer, à chacun des chefs des pays participant à la réunion, des brochures calomniant le Falun Gong. Son action de "aller au combat dénudé jusqu’a la taille" a surpris plusieurs diplomates et chefs occidentaux au point de soulever des regards consternés.

Cette action ridicule de Jiang est devenu un "exemple" pour les ambassades et consulats chinois à travers le monde. Certains partisans politiques des ambassades et consulats ont suivit en envoyant des documents diffamant le Falun Gong à leurs gouvernements hote et aux gens à tous les niveaux de la société, empoisonnant et blessant la communauté internationale.

Aussi, le régime de Jianga séduit la communauté internationale en utilisant des stimulants économiques et faisant que certain média international soit silencieux au sujet de la persécution du Falun Gong. Il a aussi désigné des services du Département de la Sécurité Nationale de ramasser de l’information sur le Falun Gong et de créer une liste de pratiquants du Falun Gong à l’étranger dans le but de compiler une liste noire. Certains partisans politiques dans les ambassades et consulats ont directement interféré avec les activités habituelles des gouvernements locaux soutenant le Falun Gong. Quelques consulats sont même allés jusqu’à harceler les pratiquants locaux du Falun Gong.

IV. Jiang a personnellement dirigé et "mobilisé les forces"

Même si Jiang Zemin et Luo Gan ont épuisé leurs moyens de diriger et d’exécuter la persécution sur et en dehors de la scène publique, la répression de la perversité n’a pas gagné le coeur des gens depuis le tout début. Excepté pour la Province de Shandong, la Province de Liaoning et quelques autres, plusieurs provinces et villes n’étaient pas intéressés dans la répression, ignorant les ordres de persécution comme s’ils n’existaient pas. Ils ont même résisté secrètement. Voyant que la répression perdait graduellement le soutien du people et devenait de plus en plus difficile à soutenir , Jiang Zemin et Luo Gan ont appliqué par la force le « système d’association et de responsabilité » en attirant et en intimidant les communautés les unes après les autres. Finalement, plusieurs fonctionnaires aux niveaux provinciaux, municipaux et locaux ont commencé à imiter ce que le gouvernement central faisait, en allouant d’énorme somme d’argent, rassemblant différents criminels et en les utilisant comme partisans, établissant plus de « Bureau 610 » et donnant des primes et promotions comme récompenses pour persécuter le Falun Gong.

Pendant un certain temps, plusieurs criminels provisoires insignifiants et criminels détenus sont devenus des employés des « Bureau 610 ». Par exemple, dans le Comté de Pi, Province du Sichuan, un ancien assistant directeur du département de la police, qui avait commis de graves crimes de fraude et de contrebande de drogues et aurait dû être exécuté, est soudainement devenu le chef du « Bureau 610 » du comté et a été réinstallé à sa position originale. La première chose qu’il a faite après être revenu à son poste a été de violer la Constitution et les lois chinoise en détenant tous les pratiquants du Falun Gong du comté sans procès.

Jiang Zemin et ses partisans ont ordonné directement la persécution à travers la nation entière, soit en donnant des ordres directement par téléphone ou en désignant les gens pour coordonner ou « inspecter ». Les cas suivants sont des exemples de leurs méthodes:

Lorsque la persécution a débuté en juillet 1999, Jiang Zemin a personnellement téléphoné aux chefs clé du Comité de la Province de Jilin. Il a indiqué que la Province de Jilin serait la cible clé de la répression et qu’ils devraient bien coopérer dans la persécution sanglante du Falun Gong. Pour renforcir la persécution des pratiquants du Falun Gong dans la Province de Jilin, Jiang Zemin a envoyé Lin Zhiyan, l’un des fonctionnaires clé qui a réprimé les étudiants du mouvement démocratique en 1989, pour devenir le Secrétaire Provincial du Parti de la Province de Jilin. Dans sa position, il était responsable de la répression du Falun Gong. Aussitôt que Lin fut à son poste, il a montré sa férocité. Il a participé directement à la persécution en visitant les principaux camps de travaux forcés de la province pour instruire personnellement les employés du camp de travail dans l’utilisation de la politique de « transformation avec violence ». Il a appliqué la politique en ordonnant à la police et aux employés de « battre dur », «battre à mort », « tirer à mort » , « tuer les tous » et ainsi de suite. Alors, il a mis en scène des tragédies humaines l’une après l’autre.

Faisant face à la difficulté croissante de soutenir la persécution, Jiang Zemin est sorti lui-même pour surveiller la bataille. Par exemple, voyant que le Province de Guangdong traitait la persécution négativement, Jiang est allé à Guangdong en février de l’an 2000 pour commander en personne, critiquant la Province de Guangdong pour sa « faible répression », et pour « être trop faible ». Il a ordonné à Li Changchun, le premier de la Province de Guangdong, de se « critiquer lui-même » devant le Comité Politique et d’envoyer un courrier électronique au Comité de la Ville de Shenzhen, leur ordonnant de « garder le contrôle de leur champ de bataille ». Sous la forte pression de Jiang Zemin et de Luo Gan, la Province de Guangdong a finalement commencé à envoyer des pratiquants du Falun Gong dans les camps de travaux forcés au mois de février de l’an 2000. Le camarade d’université du Président Chinois Hu Jintao était parmi le premier groupe de pratiquants du Falun Gong à être envoyé aux camps de travaux forcés. Des gens bien informés ont remarqué : « Ce que Jiang a fait présentement est de tuer deux oiseaux avec une pierre ». Non seulement il a donné un exemple de persécuter le Falun Gong dans la Province de Guangdong, mais il a aussi mis une étiquette de honte sur Hu Jintao.

Un autre exemple était lorsque SRAS a explosé en 2003. Pour échapper au SRAS, Jiang Zemin s’est sauvé de Beijing, mais il n’a pas oublié sa persécution du Falun Gong. Après être allé à Dalian, Province de Liaoning au mois de mai, le Comité Politique et Judiciaire de la ville de Dalian et le département de la Police de la ville ont commencé à arrêter plusieurs pratiquants du Falun Gong. Après, le Comité Politique et Judiciaire et le Bureau de la Sécurité Publique de la Province de Liaoning a publié des quotas pour condamner les pratiquants à la prison, les camps de travaux forcés et les centres de détention. Ces quotas étaient envoyés à toutes les villes et comtés dans la province sous le nom de réorganisation. (Voir http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2000/12/13/4085.html)

Jiang a désigné Luo Gan et Liu Jing pour diriger la persécution du Falun Gong. Par exemple, Luo Gan est resté en personne au Camp de Travaux Forcés de Masanjia dans la Province de Liaoning, pour surveiller la persécution au mois de septembre et octobre de l’an 2000. Par la suite, l’événement terrifiant qui s’y est produit ou dix-huit femmes pratiquantes du Falun Gong ont été violées, en étant jetées complètement nues dans les cellules des prisonniers criminels.

En 2001, Luo Gan est venu à Changchun, Province de Jilin pour vérifier la persécution du Falun Gong. Il n’était pas satisfait avec le « taux de transformation » local. Ceci a terrifié Hong Hu (premier de la Province de Jilin ) qui est allé au camp de travaux forcés Chaoyanggou à Changchun le 5 avril, pour ordonner de « transformer par la force » les pratiquants. Ses directives ont mené à une autre tournée de brutale persécutions des pratiquants du Falun Gong au camp de travaux forcés.

Juste avant le Festival du Printemps au mois de février 2002, Liu Jing, le chef du « Bureau 610 » du Comité Central, a tenu une réunion pour organiser la persécution du Falun Gong à l’hôtel Nanhu à Changchun. A la réunion, Liu Jing était furieux, critiquant la Province de Jilin pour ne pas bien administrer la persécution et pour ne pas donner les ordres pour éradiquer complètement le Falun Gong. L’ordre de tirer sur tous pratiquants du Falun Gong qui seraient pris en distribuant des pamphlets de clarification de la vérité a été donné à cette réunion. Après, le département de la police de Changchun a mené une chasse à l’homme à grande échelle et a arrêté les pratiquants du Falun Gong durant les nuits qui suivirent. L’ordre était le suivant: Quelqu’un peut tirer à mort sur les pratiquants du Falun Gong s’ils affichent des documents de clarification de la vérité ou accrochent des bannières. Clarté et Sagesse.net a rapporté que la police de Mishan, Province de Heilongjiang et de Anshan, Province de Liaoning avaient tiré sur des pratiquants. Le 16 février 2002, la police de Anshan a tiré sur trois pratiquants du Falun Gong pendant qu’ils étaient illégalement kidnappés. Un policier a tiré quatre balles et a frappé la jambe d’un pratiquant. Du Yongshan, un policier de la ville de Mishan, a tiré le pratiquant Jiang Honglu à la jambe (la jambe a été brisé par la balle) à 2h:00, le premier jour de la Nouvelle Année Chinoise, simplement parce qu’il affichait du matériel de clarification de la vérité du Falun Gong.

(1) Banc du Tigre. Les pratiquants sont forcés de s’asseoir sur un petit banc de fer d’environ 20 cm (6 pouces)de haut avec leurs genoux attachés ensemble. Avec les mains attachées derrière le dos et quelquefois place sur leurs genoux, ils sont forcés de s’asseoir droit et de regarder devant. Il leur est interdit de tourner la tête, de fermer les yeux, de parler à quiconque ou de bouger le moindrement. Quelques prisonniers sont assignés à surveiller les pratiquants et à les forcer à rester sans bouger pendant qu’ils sont assis sur le banc. Habituellement des objets durs sont insérés sous les jambes ou chevilles inférieures des pratiquants pour rendre cet abus encore plus difficile et douloureux à tolérer.

Ref:

(A suivre)

Date de Parution: 22/4/2004
Catégorie: Témoignages

Traduit au Canada le 25/4/2004

http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/4/22/47297.html