(Minghui.org)

Récemment, Zhou Gang, un chef de section dans la division de la sécurité de la Banque du Développement Paysan dans la province du Hubei, a participé à des activités du bureau 610 local. Il a aidé à enlever la pratiquante Chen Guozhen, pour l’amener dans une classe de lavage de cerveau en utilisant la tromperie et les mensonges. Après cet incident, des pratiquants du monde entier ont appelé chez Zhou et chez d’autres personnes perverses pour clarifier la vérité et en l’espace de trois jours, des lettres clarifiant la vérité ont été affichées sur sa porte et dans le voisinage.

Sa mère a montré du doigt une lettre affichée sur la porte et lui a dit : « Une personne aussi bonne et il s’agit de la Loi de Bouddha, comment as-tu osé faire une telle chose ! » Zhou Gang a regretté son acte et a dit : « Je ne sais pas où ils ont envoyé la pratiquante Chen Guozhen. Tout cela a été ordonné par le bureau 610 et le directeur de la banque Zhou Guoshui. »

Plus tard, le bureau 610 a trouvé la sœur de Chen Guozhen, Chen Hua, et lui a demandé si elle savait qui avait écrit la lettre distribuée dans le voisinage. Chen Hua a répondu : « Comment puis-je savoir qui a écrit cette lettre ? Le jour où ma sœur a été kidnappée, il y avait une grande foule dans la banque et ils ont tous engueulé vos gars qui arrêtaient une bonne personne, ils ont dit que vous n’étiez pas mieux que des criminels. » Un membre de l’équipe du bureau 610 a dit : « Chen Hua, vous avez vraiment une grande influence dans la ville et en l’espace de trois jours, les dépliants se sont répandus dans toute la ville. »

De source sûre, le père de Chen Guozhen (un non-pratiquant) et son ex-femme ont été bouleversés par l’enlèvement. Ils étaient en train de préparer un appel à l’administration de la ville. Si ça ne marchait pas, ils feraient appel au gouvernement de la province puis au gouvernement central. Le père de Chen Guozhen a dit : « Ma fille a été enlevée alors qu’elle était en bonne santé. Si quelque chose de mal lui arrive, nous nous battrons jusqu’au bout. »

Un jour, une pratiquante âgée est sortie pour afficher des documents clarifiant la vérité. Alors qu’elle affichait un dépliant sur une porte, deux femmes d’âge moyen sont sorties. Elles ont invité la pratiquante chez elles, lui ont demandé des documents clarifiant la vérité et elles ont aussi écouté la pratiquante leur parler des activités des pratiquants outremer et de la magnificence de Dafa.

Des histoires où « le bien est récompensé et le mal induit la rétribution » aident à stopper la cruauté de la police

M. Wang, un policier du poste de police de Ping’an à Shulan, participait habituellement à la campagne de persécution de Jiang contre les pratiquants de Dafa. Par la suite, il a attrapé le diabète et il savait que c’était la rétribution pour ses péchés. Depuis lors, à chaque fois qu’il voyait des pratiquants, il se précipitait vers eux et disait : « Je ne vais plus participer à la persécution du Falun Gong. » et « Si je pratique le Falun Gong, est-ce que ma maladie sera guérie ? » Un pratiquant lui a répondu : « Ne persécute plus les pratiquants et fais de bonnes choses pour te rattraper, alors ta santé va s’améliorer. » Après cela, ce policier n’a plus arrêté les pratiquants.

Des paroles de parents d’élèves : « Wei est une enseignante merveilleuse. »

Une fois, je clarifiais la vérité à un conducteur de tricycle, je lui faisais part que le Falun Gong enseigne aux gens à devenir de bonnes personnes. Il a dit : « Je le sais. Wei Minghua, de l’école primaire de Qingyuan, était une pratiquante de Falun Gong et elle était l’enseignante de mon enfant. C’était une très bonne personne, tous les parents et tous les élèves disaient que c’était une personne très bonne et très gentille, qu’elle avait beaucoup de patience et que c’était difficile de trouver un professeur aussi bon qu’elle. On dit qu’elle a été licenciée de l’école parce qu’elle a refusé de renoncer à pratiquer le Falun Gong. Dans la société actuelle, il n’y a pas de place pour faire appel. »

Traduit en Europe le 2 mai 2004