(Minghui.org)

Une évaluation de l’incident de la fusillade, le soir du 28 juin, en Afrique du Sud, démontre qu’il y avait 5 pratiquants de Falun Gong dans le véhicule, cependant ce n’est que le conducteur, David Liang, qui a été blessé aux deux jambes et dont la voiture a été endommagée. Il y a des personnes qui ne considèrent pas ce genre d’incident comme un événement exceptionnel. Ils ne trouvent pas monstrueux, le cas critique d’être tiré, sur une autoroute, par des tueurs dont on a loué les services. En fait, si les détails des faits étaient soigneusement examinés, on verrait, après une réflexion calme et lucide, la nature sinistre et choquante de ce crime.

Intention du meurtre prémédité en Afrique du Sud – Détruire la voiture, tuer les passagers, dissimuler les preuves et se blanchir des responsabilités du crime

L’intention prévue dans le plan était de détruire la voiture, de tuer les passagers et d’effacer toutes preuves en même temps et de cette façon, échapper à la responsabilité du crime.

A partir des trous notables des balles sur la voiture laissées par le bandit armé, on peut voir qu’ils se trouvent tous au niveau des pneus de la voiture. Les blessures de David Liang et les dommages sévères causés à la voiture concordent avec une théorie spécifique. Il est évident que le motif de l’assassin n’était pas de tirer sur les personnes qui étaient dans la voiture, mais de tirer sur la base de la voiture, spécialement les pneus ou le réservoir d’essence. S’il avait eu l’intention de tirer sur les gens qui étaient dans la voiture, l’assassin aurait visé plus haut. Les blessures aux pieds de David Liang démontrent que les coups visaient la partie inférieure de la voiture. Les balles AK47 extrêmement puissantes ont pénétrées la carrosserie du véhicule.

A ce moment, la voiture roulait de 100 à 110 km/hrs (environ 65 milles/hrs), sur une autoroute où il est permis de rouler à 120 km/hrs. Le bandit armé tira sur la partie inférieure de la voiture pour faire éclater les pneus, ce qui aurait fait pivoter l’auto et possiblement, l’aurait fait virer à l’envers. Dans de telles conditions, il est fort probable que le réservoir d’essence se serait enflammé et aurait explosé. Ceci aurait réduit en cendre la voiture et tout le monde à l’intérieur, ne laissant alors aucune preuve que la voiture avait été endommagée par des tirs.

La police de l’Afrique du Sud a insinué, dans un rapport très soigneusement exprimé que l’incident était une « tentative de meurtre », par conséquent, l’enquête a été ouverte avec une explication raisonnable.

Bien que les bandit armés n’aient pas réussi à suivre leur plan très malveillant, la conclusion logique qui s’ensuit après une analyse soigneuse des faits, nous démontrent un plan calculé, bien conçu exécuté avec des intention vicieuses et sinistres par ceux qui pourraient en bénéficier le plus.

Cela vaut la peine de souligner que de telles formes de meurtres indirects de pratiquants de Falun Gong sont typiquement et fréquemment utilisées en Chine. En voici juste quelques exemples : gavage forcé, torture avec une « camisole de force » et injections de drogues endommageant les nerfs et d’autres drogues dommageables pour le corps sont aussi des formes indirectes d’assassinat.

La nature destructrice du gavage forcé – La perte de centaines de vies

Le gavage forcé inhumain est une des méthodes utilisées pour détruire les pratiquants de Falun Gong. Etant donné la fréquence des faits, on en est amené à savoir que les gavages forcés ont été effectués dans différents camps de travaux forcés et des hôpitaux à travers toute la Chine. De nombreux cas pendant la persécution ont fourni une preuve claire que le gavage forcé utilisé des pratiquants du Falun Gong en grève de la faim pour protester contre la persécution n’ont pas été fait dans le but de nourrir mais de torturer.

Ceux qui interviennent dans les gavages forcés ne sont habituellement, ni des médecins, ni des infirmières, mais des policiers, des employés des camps de travaux forcés ou des prisonniers criminels. Ils attachent les pratiquants du Falun Gong, utilisent des outils en métal pour leur ouvrir de force la bouche et dans ce procédé, ils coupent leurs lèvres, cassent leurs dents et blessent leur gorge. Ensuite, un tuyau en caoutchouc ou en plastique sale et rugueux, sans lubrifiant, est inséré par la bouche ou par les cavités nasales permettant ainsi le début du gavage. Dans le processus de l’insertion des tubes, ils enfoncent et retirent délibérément plusieurs fois le tuyau provoquant douleur et souffrance. Parfois, après avoir inséré le tube, ils le sortent et le remettent pour endommager la bouche, le nez et la gorge jusqu’à ce qu’ils saignent. Le nez, la bouche et l’œsophage des pratiquants saignent souvent et ils souffrent de douleur intense, ressentent des nausées, vomissent et toussent violemment.

La soi-disant « nourriture » est en fait un concentré de solution salée, de farine de maïs crue mélangée avec de l’eau, de solution contenant du poivre piquant et même de l’alcool fort et des stimulants médicaux. Quelques pratiquants qui ont été gavés de force se sont vus jetés de poudre de piment piquant dans les yeux et la bouche leur causant des douleurs atroces. Parfois, de la nourriture a été versée dans la tranchée, qui a causé des dommages aux poumons. Certains pratiquants sont morts de suffocation en raison des aliments qui sont entrés de force dans les poumons. Un grand nombre de pratiquants de Falun Gong sont morts sur le champ. Tous les pratiquants qui ont été gavés de force, ont souffert de saignement dans la bouche et le nez, ont eu des du gonflements importants de l’abdomen et des douleurs intenses et insupportables à l’estomac. Certains vomissent même de large quantité de sang.

L’intention claire de ce destructif gavage forcé est d’appliquer une torture continuelle jusqu’à ce que les pratiquants ne puissent plus endurer la douleur et abandonnent leur détermination. Ainsi les personnes mauvaises réaliseraient leur quota de « taux de transformation », comme requis par les fonctionnaires plus haut placés.

Selon les statistiques, parmi les pratiquants qui ont été torturés à mort, 10% sont décédés du gavage forcé.

« Torture de la camisole de force » - Des morts sans que le sang soit versé

La torture de la « camisole de force » – la camisole en elle-même est faite de toile fine. Elle est mise sur la victime depuis le devant et serrée à l’arrière. Les manches sont environ 10 pouces (25 centimètres) plus longues que les bras des victimes et elles ont des sangles. Ils mettent de force ces camisoles aux pratiquants, puis leurs bras sont attachés de manière croisée derrière le dos. Puis leurs bras sont tirés vers le haut au-dessus des épaules vers le devant de la poitrine ; les jambes des pratiquants sont attachées et ils sont pendus devant les fenêtres. La bouche des pratiquants est bâillonnée avec du tissu et on met sur leurs oreilles des écouteurs qui diffusent continuellement des messages qui calomnient Falun Dafa. Selon les récits d’un témoin, les bras des victimes sont immédiatement blessés. Les tendons et les os des épaules, des coudes et des poignets sont déchirés et fracturés. Quand la torture est prolongée, la colonne vertébrale est fracturée et le résultat est une mort extrêmement douloureuse.

Le site Clartés et Sagesse a rapporté que certaines personnes connaissant l’administration d’une Province du département de justice a révélé que la torture avec « la camisole de force » a été adoptée par le « Bureau 610 » (1) du Gouvernement Central Communiste Chinois et différents bureaux subalternes sous son contrôle.

 En avril 2003, le « Bureau 610 » du Gouvernemental Central Communiste Chinois et son administration du département de justice ont convenu d’une rencontre dans la Province de Hebei. Ils ont ordonné aux camps de travaux forcés de lancer la soi-disant : « Opération tonnerre du printemps ». C’était un « effort concerté dans la transformation » des pratiquants de Falun Gong. A cette réunion, le « Bureau 610 » du Gouvernement Central Communiste Chinois et son administration du département de justice ont ordonné une « expérimentation avancée de la transformation » dans certains camps de travaux forcés dans les Provinces de Hebei et Shanxi. Cela voulait dire qu’ils utilisaient la torture de « la camisole de force » ! Il a été dit aux camps de travaux forcés des différentes provinces d’exécuter strictement les ordres.

Peu après, le 4 juin, on a su que trois pratiquants de Falun Gong sont soudainement décédés dans le Camp de travaux forcés pour les femmes de Shibalihe, Province de Henan. Après vérification, il a été trouvé que la tragédie a été causée par la torture de « la camisole de force » utilisée par le camp. Le 15 juin, d’autres nouvelles disaient que depuis le 22 avril, des pratiquants sont décédés à cause de ce même procédé et parmi eux, il y avait des personnes âgées de plus de soixante ans.

Selon les personnes qui sont au courant de certaines informations, chaque niveau du « Bureau 610 » a reçu des ordres stricts concernant la position des officiers de police, leur promotion ou rétrogradation, salaires, bonus et leur contact avec le Bureau dépendait de l’exécution de ces ordres. Sous les ordres du « Bureau 610 » central, chaque « Bureau 610 » local doit contraindre et inciter le personnel des camps de travaux forcés et les officiers de police à exécuter des tortures sauvages. Après l’apparition des décès, le « Bureau 610 » central a même explicitement annoncé : ils ne doit y avoir aucune enquête sur les camps de travail, ni sur les persécuteurs reliés aux incidents.

Utilisation alarmante de divers médicaments dangereux – plusieurs milliers de personnes persécutées ; des douzaines assassinées, près d’une centaine de tels cas dans les hôpitaux

Le 3 mars 2003, le site Clartés et Sagesse a publié une lettre d’un travailleur retraité du Bureau du port de Dalian, province de Liaoning, qui décrivait en détail l’expérience d’avoir été injecté avec des drogues dangereuses et dommageables à l’unité 215 de l’Hôpital psychiatrique de Lushun. Cette nouvelle avait jeté une profonde inquiétude parmi les gens. Ci-dessous se trouvent les détails du récit concernant l’hôpital psychiatrique où est perpétrée une persécution discrète, troublante et venimeuse.

« J’ai été détenu à l’hôpital psychiatrique pendant plus de 4 mois, période durant laquelle je me suis toujours senti étourdi et assoupi à cause des injections quotidiennes des médicaments. Je me sentais aussi nauséabond et faible et mon corps faisait de la rétention d’eau et devint boursouflé. Tout mon corps était devenu complètement difforme. Ce qui était encore plus douloureux pour moi était qu’on m’exigeait chaque matin d’aller avec d’autres patients psychiatriques à un « club » pour les soi-disant « traitements psychiatriques », qui incluait des chants et des danses. Nous deux pouvions seulement nous asseoir dans la dernière rangée et réciter le Fa.

« Quatre mois plus tard, le gardien en chef a contacté mon unité de travail et ils ont envoyé quelqu’un pour me ramener. Quand j’ai quitté l’hôpital, le chef est venu à ma rencontre à l’entrée de l’hôpital avec une air de culpabilité sur le visage. Peu après que j’ai quitté l’hôpital, mes yeux ont commencé suppurer et même les ouvrir m’est devenu difficile. L’intérieur et l’extérieur de mes oreilles ont a commencé aussi à suppurer et suintaient un fluide jaune comme ce fut aussi le cas pour mon cuir chevelu et mon cou. Cela me causait des démangeaisons et des douleurs de déchirements cardiaques.

J’ai finalement commencé à comprendre le sens de l’expression du gardien en chef, aussi bien que la face coupable qu’il avait. Il était bien conscient des effets secondaires des médicaments qu’on m’avait injectés. Il savait clairement ce que les médicaments me feraient.

« Par la suite, j’ai lu sur le net que beaucoup d’autres pratiquants de Falun Gong avaient été persécutés dans des hôpitaux psychiatriques. Un pratiquant de Falun Gong avait demandé au docteur, malgré qu’il n’avait aucune haine ou de sentiment d’hostilité envers le docteur, il ne comprenait pas pourquoi le docteur le traitait de cette manière. Le médecin lui avait répondu qu’il n’avait pas d’autres choix que de suivre les ordres qui venaient d’en haut. Le docteur ne pouvait pas sacrifier son emploi à cause de lui. De plus, le médecin lui demanda de ne pas s’échapper puisque cela ne servirait à rien, car il se perdrait ou mourrait. Même l’hôpital ne pouvait rien faire à ce sujet.

La suppuration commençât à été 2002. Aujourd’hui, l’intérieur et l’extérieur de mes oreilles ainsi que mon cuir chevelu suinte encore un fluide jaune. La pire suppuration que j’ai endurée est apparue pendant deux ans, entre 2000 et 2002. Si je n’avais pas été un pratiquant de Falun Gong, je serais devenu complètement exténué et je serais peut-être mort. Des vieilles connaissances qui m’ont vu, ne pouvaient pas supporter de me voir comme cela, et après avoir appris ce qui s’était passé, tous pleuraient et disaient que le Parti est si cruel, en endommageant tout ce qui est bon et convenable.

Selon des statistiques, inachevées, l’abus aveugle des drogues psychotropes pour persécuter les pratiquants de Falun Gong est répandu dans l’ensemble de la Chine. Plusieurs milliers de pratiquants sains ont été envoyés de force dans des hôpitaux psychiatriques et dans des centres de réhabilitation pour toxicomanes. Beaucoup ont été forcés de recevoir des injections ou d’être gavés de force avec des drogues endommageant différents types de nerfs. Ils ont été aussi soumis à des chocs électriques, ont été attachés avec des cordes pendant de longue période et gavés de force. Parmi eux se trouvent des pratiquants qui ont été emprisonnés pendant une longue période, avec la plupart des peines de plus de deux ans. A cause de tels traitements atroces, un bon nombre entre eux sont devenus aveugles et certains ont des difficultés à entendre. D’autres sont complètement ou partiellement paralysés et quelques uns souffrent d’amnésie ou sont devenus mentallement anormaux, lents dans leurs réactions. Certains souffrent d’instabilités émotionnelles, d’autres sont disparus, d’autres souffrent de sérieuses blessures internes et une douzaine sont décédés. Il y a au moins une centaine d’hôpitaux psychiatriques provincials, municipaux, régionals impliqués dans la persécution.

A partir du cas de Zeng Qinghong embauchant des tueurs armés, en Afrique du Sud à la persécution du groupe de Jiang des pratiquants de Falun Gong qui vivent selon les principes de « Zhen, Shan et Ren » (Authenticité, Bienveillance et Tolérance), on peut voir leur malicieuse nature fondamentale. Ils utilisent beaucoup de méthodes déviées et indirectes pour tuer les pratiquants sans aucun versement de sang. De plus en plus de personnes ont clairement vu que le groupe de Jiang considère « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » comme l’ennemi, ce qui révèle leur nature fondamentale : sinistre, violente et sans scrupule. Condamner et éradiquer cette tumeur maligne dans la société humaine n’est pas seulement une nécessité pour le monde du futur, c’est aussi la responsabilité combinée de chacun d’entre nous.

Notes :

(1)   « Bureau 610 » : une agence spéciallement créée pour persécuter le Falun Gong, possédant un pouvoir absolu sur tous les niveaux de l’administration du Parti et sur tous les systèmes politiques et judiciaires.

Traduit le 17 juillet 2004