(Minghui.org)

En 1998, la Chine a signé la Convention Contre la Torture et Tout Autre Punition ou Traitement Cruels, Inhumains et Dégradants. Selon l’autorité despotique du régime de Jiang, cependant, la Chine a rompu avec sa promesse pour le monde entier, transformant la convention en un simple morceau de papier sans valeur pendant que les gens sont arrêtés et torturés pour leur foi en la « Vérité, la bienveillance et à la tolérance. »

 Le rapporteur Theo van Boven de l'ONU à l'origine, avait prévu une visite en Chine en juin pour enquêter sur l'existence de la torture, mais le gouvernement chinois a encore reporté sa visite, en disant : « Nous ne sommes pas prêts pour cela. » Un tel cycle de promesses et de délais, encore des promesses et délais qui se répètent depuis dix ans. L’absurdité de la controverse du gouvernement chinois ainsi que leur ajournement répété de l’enquête de Boven, c’est juste à la mesure de l'attention qu'ils prêtent à cette question. En se basant sur ces excuses et ajournements excessifs, on peut seulement s’imaginer la gravité du statu quo que doivent être les conditions de torture en Chine présentement

 En tout temps, à n'importe moment donné, les cas de persécution des pratiquants de Falun Gong en Chine sur le site de Clartés et Sagesse et Clearwisdom attireront votre attention tout de suite. Des tortures barbares telles que le gavage forcé et des aiguilles empoisonnées y sont décrites. Meng Xiao du district de Qingbaijiang à Chengdu a été torturé à mort ; Lu Xingguo a été battu à mort au camp de travaux forcés No. 3 de Qingpu, ville de Changhaï. Le décès de plus de 1.000 pratiquants de Falun Gong a été confirmé de cette persécution. Ceux-ci ont tous été vérifiés par des témoins quant au temps, au lieu et aux noms des victimes

1. Qui a semé les graines de la haine envers le Falun Gong ?

Ceux qui sont responsables de l'application de la loi, à l'origine ne détestaient pas le Falun Gong. Alors, qui a causé ce changement d’attitude, parmi le personnel d’application de la loi, au point qu’ils deviennent des tortionnaires? Qui a semé les graines de la haine contre le Falun Gong dans le cœur de ces personnes ? Pourquoi la persécution a-t-elle lieu? Une des raisons est que les médias gérés par le régime de Jiang ont encadré et diffamé le Falun Gong. Une autre, encore plus importante, est que Jiang Zemin utilise les incitatifs monétaires pour corrompre beaucoup d’honnêtes officiers de la loi à devenir des « tueurs à gages »

Se servir d’une politique de conséquences et de pression envers les subordonnés afin d’inciter la haine

En décembre 1999 le « Bureau 610 » (responsable de supprimer le Falun Gong) a informé les fonctionnaires locaux que si les pratiquants de leur province allant à Pékin en appel surpassaient un certain nombre, alors le secrétaire du Parti de cette province devrait écrire une auto-critique. Wu Guanzheng, l'ancien secrétaire de Parti de la province de Shandong a dit lors d'une réunion : « Tous les fonctionnaires de chaque ville doivent se rendre compte du sérieux des conséquences de ne pas se conformer aux exigences du gouvernement central. »

En d’autres mots, il disait à son personnel : « Je vous congédierai avant d’être moi-même obligé d’écrire une auto-critique, alors vous faites mieux de remplir à la lettre les ordres du comité central si vous tenez à votre poste. »

Cette méthode de s’assurer le succès au prix de ne pas distinguer le bien du mal et de protéger son propre cou au prix d’une pression sans discrimination, de ses subordonnés, par tous les moyens, a rendu possible le fait que la province de Shandong se place au rang du plus haut taux de décès de pratiquants de Falun Dafa de toutes les provinces. En date du mois d’octobre 2003, quatre-vingt-treize (93) pratiquants de Falun Gong avaient été persécutés à mort dans la province de Shandong. On confirme que dans la ville de Weifang, à elle seule, plus de 30 décès de pratiquants de Falun Gong sont des morts vérifiés, de cette persécution, plaçant la ville comme le numéro un parmi les villes de population semblable dans la nation

En conséquence, Wu Guanzheng a été félicité par Jiang Zemin et promu au Comité permanent du bureau politique. Li Changchun, l'ancien secrétaire de Parti de la province de Guangdong, a personnellement énuméré une liste de pratiquants pour plaire à Jiang Zemin et être promu. Il a fait pression auprès de certains départements, de disant : « Pourquoi n’avez-vous pas arrêté cette personne ? Pourquoi n’avez-vous pas condamné cette personne? » Pendant le festival du printemps 2004, le comité du Parti de la province de Hebei a donné les ordres à la ville de Xingtai, qu’elle devait « finir l'investigation » des pratiquants qui avaient réussi à télédiffuser la vérité au sujet du Falun Gong à la TV à Xingtai et à Sharhe. Autrement, le maire perdrait son poste. Pour protéger ses propres intérêts, le maire a appliqué bien plus de pression auprès de ses subordonnés, réclamant un délai encore plus court et une punition plus grave. En retour, ses subordonnés ont fait la même chose à leurs subordonnés. Le résultat final fut une bousculade effrénée

Un certain pratiquant avait été kidnappé par le commissariat de police local bien des fois. Quand il a demandé à la police ce qu’il pouvait y avoir de mal à pratiquer le Falun Gong, le policier a répondu, « Je ne sais pas ce qu’il y a de mauvais dans la pratique du Falun Gong, tout ce que je sais est que j’ai perdu mon bonus parce que vous pratiquez le Falun Gong. Si vous continuez à pratiquer le Falun Gong, je serai mis à la porte. Peu m’importe si le Falun Gong est bon ou mauvais. Si vous m’enlevez mon bol de riz, n’attendez pas que je sois poli avec vous. »

Les quotas exigés dans la transformation poussent les officiers de la loi à effectuer une torture systématique

Le régime de Jiang force les pratiquants à renoncer à leur croyance en la Vérité, la Compassion, et la Patience. On appelle ceci de la « transformation ». Jiang Zemin a fait un lien entre les salaires des policiers et leurs quotas de transformation, disant que ceux qui rencontreraient le quota seraient promus et ceux qui ne le rempliraient pas seraient destitués. Motivée par le gain personnel, la police ne peut voir l’intention perverse qui se cache derrière le régime de Jiang, qui est de convaincre tout personnel du corps policier de persécuter le Falun Gong. Les pratiquants résolus dans leurs croyances veut dire moins d’argent dans leurs poches, ainsi la haine chez les policiers a grandi contre le Falun Gong. .

Les administrateurs et la police du camp de travaux forcés de Masanjia mènent leur programme d’« éducation » comme suit :

« N’avez-vous pas dit que je vous persécute? Aujourd'hui je vais vraiment vous persécuter »

 « Si vous refusez de vous transformer, je vous mettrai dans un tel état que vous ne pourrez ni mourir ni vivre. »

« Que signifie la tolérance ? Cela signifie que vous ne pouvez pas me poursuivre même si je vous viole. »

« Vous voulez tous faire de bonnes actions. Quel genre de bonnes actions ? La meilleure action possible serait de mourir. Savez-vous combien d'argent, de main d’œuvre, et de ressources vous pourriez faire sauver à la nation si vous mouriez ? Voilà c’est tout à fait la meilleure action qui soit! »;

Comment les gens qui disent de telles paroles traitent-ils les pratiquants? Ils les « torturent cruellement et systématiquement » Un pratiquant a dit : « Je ne savais ce que voulais dire « vivre en enfer » jusqu’à ce que je vienne ici. Je n’ai jamais vu des gens aussi effrénés et inhumains dans le monde entier jusqu’à ce que j’arrive à Masanjia et que j’aie rencontré les autorités là. »

Ce sont les quotas de transformation qui poussent les gardiens et les policiers à exécuter une telle cruelle torture.

À la fin de 2002, le Département de police de la province de Liaoning a émis « des ordres secrets » : un quota de transformation de 95%.Mais le chef du centre de détention de Jinzhou, M. Zhang Haiping a dit qu’ils devraient atteindre 100% pour plaire à ses superviseurs. Le centre de détention de Jinzhou a divisé sa force policière en groupes de deux ou trois. À tour de rôle, jour et nuit, sans arrêt, ces groupes torturaient les pratiquants qui refusaient d’abandonner leur croyance.

Depuis 2004, le camp de travaux forcés Longshan de la ville de Shenyang a renforcé son programme de lavage de cerveau et de persécution contre les pratiquants parce qu'il prévoit gagner le titre de « camp de travaux forcés le plus civilisé au niveau provincial » Depuis avril, cette politique a causé la mort du pratiquant Wang Xiuyuan et la défiguration du pratiquant Gao Rongrong. Su Jing, chef de l'institut No. 2 du camp de travaux forcés Masanjia, a comploté bien des tactiques pour persécuter les pratiquants. Ses mains sont couvertes de leur sang. Plusieurs ont été persécutés à mort ou jusqu’à l’infirmité. Elle a gagné l'éloge de ses surperviseurs et même de Luo Gan en raison de sa cruauté et de son « efficacité » En 2001, on lui a attribué le titre de « Héroïne de première classe » et a reçu un boni de 50.000 yuans (500 yuans est le revenu mensuel moyen pour un ouvrier urbain en Chine). Tous les autres policiers de Masanjia ont gagné le titre de « Héros de Groupe deuxième classe »

 Les policiers savent que leurs crimes devraient être examinés un jour, à l’avenir, ainsi ils incitent plutôt les prisonniers à commettre ces crimes à leur place, les convainquant qu’en torturant les pratiquants, leurs peines en prison seront réduites. La police déplace sa responsabilité sur les prisonniers. Les prisonniers détenus aux camps de travaux forcés, prisons, et centres de détention de la ville de Harbin sont devenus quasi-gardiens, en utilisant plus de 200 instruments de torture pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Tandis que le « Secteur modèle et avancé » du camp de travaux forcés de Xishanping est déclaré comme un groupe sélectionné « d’aides » choisis à travers le pays, la plupart d'entre eux cependant étaient des criminels qui avaient été condamnés pour abus de drogue, vente de drogues (fournisseurs), vol, escroquerie, viol et jeu illégal.

« Les quotos de morts » ont allumé le feu vert pour une torture systématique

Dans le cadre d'un tel programme de torture systématique, il est inévitable que des gens vont mourir. La politique de Jiang Zemin est de « Détruire leur réputation, les ruiner financièrement, et les éliminer physiquement » Les « quotas de morts » ont donné feu vert à ce plan de torture systématique. Dans la ville de Hegang, province de Heilongjiang, la police qui a persécuté le pratiquant Tan Yanjun a déclaré, « Le secrétaire de Parti du comité de la ville, Zhang Xingfu a dit qu'il y a un quota de morts pour les pratiquants de Falun Gong et que le surveillant assumera la responsabilité si quelque chose arrive. » Lorsqu’un pratiquant de 45 ans, Lu Xingguo a été battu à mort au camp de travaux forcés No. 3 du district de Qingpu, le 15 octobre 2003, le chef du secteur Xiang Jianzhong a dit : « Nous avons reçu des ordres de nos supérieurs disant que le taux de 5% de morts est normal. Si quelqu’un est battu à mort, il meurt en vain. Nous ne craignons rien si les gens meurent.»

Les policiers dans la prison de Shenyang Dabei ont dit : « Il n’y aura aucun problème quoique nous fassions aux pratiquants de Falun Gong. Ils ne peuvent pas sortir d’ici vivants, s'ils refusent de se transformer. Nous n'avons aucune alternative. Jiang Zemin nous privera de nourriture si nous ne faisons pas ce qu’il dit. » Pendant les six derniers mois de 2002, plus de dix pratiquants de Falun Gong ont été persécutés à mort dans la prison de Dabei. Le pratiquant de Falun Gong, Zhong Hongxi du village de Qianyu, Duanjiagou, ville de Tiefa, province de Liaoning, a été torturé à mort au camp de travaux forcés Wujiabao, le 13 avril 2003. Le camp de travaux forcés a clamé : « Nous ne supporterons aucune responsabilité, si nous battons les pratiquants de Falun Gong à mort à l’intérieur du quota assigné par les autorités. Chen Duo, pratiquant de Falun Gong de la ville de Shantou, province de Guangdong, a été détenu en prison à la ville de Shantou, le 26 mai 2003 et a été battu à plusieurs reprises par les policiers. Il est mort le 9 juin. Mais les policiers ont menacé les membres de sa famille, disant : « Nous avons battu votre mari à mort et ainsi nous avons rempli le quota qui est exigé depuis longtemps. » Comment osez-vous dire quelque chose? Voulez-vous également mourir? »

Peng Kaifa, le vice secrétaire du Parti du comté de Qiyang, province de Hunan, a indiqué ouvertement au personnel du corps policier : « Ce que vous faites aux pratiquants de Falun Gong est au-dessus de la loi. Vous n’aurez ni à rendre compte, ni à assumer la responsabilité si quelque chose arrive. » Pas longtemps après, pratiquant Jiang Laisheng du comté de Qiyang a été battu à mort. Les camps de travaux forcés peuvent faire application pour un quota spécial plus élevé si leur taux de mortalité excède le quota existant. Le 20 avril 2003, le département responsable des camps de travaux forcés, après plusieurs discussions, ont donné un permis de double quota au camp de travaux forcés pour femmes Shibalihe de Zhengzhou quand il a utilisé la violence pour forcer les pratiquantes de Falun Gong à renoncer à leur cultivation.

 Lorsqu’on dit à chaque officier du corps policier que ses avantages et promotions seront basés sur sa capacité de remplir les exigences de son superviseur, quand on dit à ces officiers de la loi que des actions excessives sont encouragées et qu'ils ne seront pas jugées responsables, et quand on leur dit qu'ils n’ont guère besoin de se retenir lorsque la torture systématique est mise en oeuvre puisqu'ils jouiront d’une immunité garantie sous les quotas de morts , la cruauté de la torture et de l’insouciance du massacre ne connaissent aucune limite ! Ne sont-ils pas devenus les fonctionnaires de gouvernement cruel de l'âge moderne, juste comme Zhou Xing et Lai Junchen l’étaient dans leur temps ? (i)

La loi ne protège jamais les pratiquants

Les gens se demandent : « Comment une telle tragédie humaine peut-elle arriver? Pourquoi est-ce que les gangsters qui ont commis ces nombreux crimes sont félicités et récompensés au lieu d’être punis ? Pourquoi les médias n’ont-ils pas exposé ces crimes? » Dans la persécution du Falun Gong, la loi n'a jamais été employée pour les protéger. Faire appel est un droit de citoyen. Mais si vous appeler pour le Falun Gong, vous serez condamné aux travaux forcés. La liberté de croyance est un droit de l'homme et aussi garanti et écrit dans la Constitution de la Chine. Mais si vous persistez dans votre croyance en la Vérité, la Bienveillance et la Patience, vous finirez par être torturé et même tué.

Le système de la réforme par travaux forcés en Chine viole l'article 37 de la Constitution de la République populaire de la Chine, l'article 8 de la loi législative de la République populaire de la Chine, l'article 10 de la loi administrative de punition de la République populaire de la Chine, et la convention internationale sur des droits civils et politiques signés par la Chine en 1998. Néanmoins, le système existe toujours.

Peintes en lettres énormes sur le bâtiment principal du camp de travaux forcés de Shuanghe à Qiqihar sont les mots suivants: « Camp de travail moderne et civilisé » et en dessous on y voit les mots : « Application civilisée et juste de la loi » . En février 2004, les fonctionnaires du camp ont torturé chacun des 30 pratiquants de Falun Gong immuables. Les méthodes de torture comprenaient : les menottes, les chaînes, la posture à mi-accroupie, l’avion qui vole, se faire suspendre, et les chocs par matraques électriques. Le chef de section Wang Mei a hurlé fortement, « Ceci est sanctionné par la province ! La province permet le tabassage et l'utilisation de la torture ! Si vous ne vous réformez pas, il n’y a pas de porte de sortie. Vous n’aurez jamais gain de cause n'importe où vous allez! » « Ceci est ‘l’application civilisée et juste de la loi’ du camp de travaux forcés »

Huo, l'ancien chef du commissariat de police Nanguangchang, secteur de Kuancheng, du Département de police de la ville de Changchun, a vu en personne comment la police a battu le pratiquant de Falun Gong Liu Haibo à mort et comment ils ont comploté pour dire que Liu Haibo était mort d'une « crise cardiaque ».

Le jour où Liu Haibo a été tué, Chang Xiaoping, le premier secrétaire-adjoint de Parti du Comité de la ville de Changchun est venu au secteur de Kuancheng du département de police et a dit à Zhou Chunming, chef premier de la branche principal de Chunming et à son équipe comment traiter cet incident. Il a dit : « Premièrement, savoir comment traiter le Falun Gong est une tâche politique difficile, mais nous ne devrions pas avoir peur quand les gens meurent. En second lieu, maintenez la confidentialité et empêchez toutes fuites d’information ainsi nous pouvons éviter une scène internationale. Troisièmement, les départements de l'inspection disciplinaire et la surveillance d'aucun niveau ne devraient s’impliquer dans l’étude d’un dossier de mortalité d’un pratiquant de Falun Gong mais devraient donner plutôt la plus grande priorité à la situation générale. »

Si les avocats veulent défendre les pratiquants, ils s’attirent des ennuis. En avril 2003, l’avocat Wei Jun a défendu le pratiquant de Falun Gong Liang Changying de la ville de Baise, province de Guangxi devant la cour de district de Youjiang. Face à la défense factuelle et raisonnable de Wei, le procureur public était sans parole et enragé. Après la session à la cour, le procureur a immédiatement demandé au personnel approprié, « N’y a-t-il pas des règlements qui stipulent que personne ne peut employer la présomption « d’innocence » comme défense pour les pratiquants de Falun Gong? Qui a donné la permission à cet avocat de défendre l’innocence d’un pratiquant de Falun Gong ? » Plus tard la police est allée au bureau juridique, pour exiger que le superviseur de Wei soit suspendu et que ses qualifications soient retirées. Par la suite, Wei a été envoyé en réforme par travaux forcés, pour y être réformé, pendant trois ans. Voilà ce que signifie le régime de Jiang : « gouverner le pays par la loi. »

II. Des tactiques camouflées- - Embaucher des bandits pour faire le sale boulot

Recruter des bandits pour tuer les gens n’est pas chose nouvelle dans une société moralement dégénérée d’aujourd’hui. Jiang Zemin les engage même ouvertement. Des gens qui engagent sournoisement des bandits vivent dans la crainte qu’ils seront dévoilés par une tierce partie. Jiang Zemin, cependant, a émis ouvertement et publiquement des documents pour établir des quotas d’embauche de bandits. Ceux qui recrutent d’autres pour faire ce travail pervers le font d’une façon limitée. Jiang Zemin, cependant les engage pour tuer des gens partout à travers la Chine, même à travers le monde. L’embauche de malfaiteurs pour tirer sur des pratiquants de Falun Gong en Afrique du Sud est un exemple récent.

Ceux qui embauchent des gangsters pour tuer ne le font qu’une seule fois. Jiang Zemin en embauche depuis cinq ans. Ceux qui sournoisement achètent les services d’assassins utilisent « l'argent au noir », pendant que Jiang Zemin se sert à l’occasion de l’argent des banques de la nation, l'argent durement gagné par le travail du peuple, pour embaucher son suppôt. Ceux qui engagent d'autres pour effectuer leur travail sale recherchent habituellement des hors-la-loi. Ceux qui embauche les autres pour faire leur sale travail habituellement chercher des hors la loi. Ceux qui engagent secrètement des vauriens pour faire leur sale besogne seront arrêtés et punis pour leur « meurtre d’embauche » alors que Jiang Zemin recherche des gens parmi le personnel d'application de la loi déjà en position de pouvoir et quiconque poursuit la renommée et le bénéfice, et alors il les récompense avec d’énormes bonis et même arrange pour eux d’honteux discours au sujet de leur « aimable comportement » à la TV.

Chacun s'oppose à embaucher des malfaiteurs pour assassiner les gens, mais Jiang Zemin a forcé le peuple de la Chine à l'accepter. Il a justifié ses crimes en réclamant que sa souveraineté est plus importante que les droits de l'homme. Ceux qui embauchent un hors-la-loi tuent habituellement une seule personne. Mais la politique d’embauche massive de Jiang Zemin est actuellement l’instrumentation d’un génocide. Yang Zemin, chef de la brigade des femmes au camp de travaux forcés de Gaoyang a dit : « Du côté positif, je suis la chef de la brigade. Tandis que du côté négatif, je suis un « Grand frère ». Une personne témoin de la frénésie du comment Gaoyang persécute les pratiquants de Falun Gong au camp de travaux forcés de, province de Hebei a dit : « Il n’y a nulle justice ni civilisation, ici. Il n’y a que sang, cruauté et persécution. »

III. Ceux qui participent à la persécution peuvent trouver une issue pour eux-mêmes, s’ils arrêtent maintenant

Beaucoup de gens pensent que la persécution du Falun Gong (instiguée par Jiang Zemin de sa propre jalousie) vise seulement le Falun Gong et les pratiquants de Falun Gong. Ils ne réalisent pas qu’il a entraîné tout le monde dans ses efforts de persécution. Ceci est aussi une persécution contre tous et chacun dans le monde entier, qu’on le réalise ou pas.

Le personnel d'application de la loi publiquement recruté a instrumenté la persécution du Falun Gong de Jiang Zemin. Certains d'entre eux pensent que c'est une bonne occasion d'être favorisés et faire fortune. Certains pensent même que c’est une bonne opportunité et de faire fortune. D’autres pensent que lorsqu’ils effectuent les ordres de leurs supérieurs et que cela n'a rien à faire avec eux, même si le Falun Gong est rétabli dans le futur. Leur pensée est très naïve.

Nous devons tous payer nos crimes. Tuer une personne manifestement ou secrètement ou sur les ordres de quelqu'un d'autres ne fait aucune différence. Après la deuxième guerre mondiale, Hitler de l'Allemagne, Hideki Tojyo du Japon, et Mussolini de l'Italie n'étaient pas les seuls à être traduits en justice. Le 5 avril, 1976, le maire de Beijing a émis des ordres de répression sous la direction de ses supérieurs. Après que l'incident ait été passé en revue, le maire a été démis de sa position et plus de 100 policiers locaux ont été fusillés à mort.

Personne ne peut prendre le blâme de vos crimes. Quelqu’un doit payer pour la vie qu’il a prise, juste comme quelqu’un doit payer pour ce qu’il doit. En ce qui concerne les tueurs embauchés par Jiang Zemin, l'argent n'est absolument pas un passeport au ciel, mais un poids mort qui peut entraîner en enfer. Derrière chaque bonus il y a un témoin taché de sang et des vies humaines persécutées à mort. C'est un pacte avec le diable, et le prix à payer c’est sa propre conscience. Maintenant Jiang Zemin se sent menacé puisqu'il est poursuivi devant les cours internationales pour ses crimes de génocide. N’est-ce pas que les laquais de Jiang Zemin qui l'ont aidé à persécuter le Falun Gong, deviendront les objets ornementaux qui iront avec lui dans son cercueil ?

On ne peut pas échapper au jugement de l'histoire, ni en tant que décideur ni en tant que partisan. Que vous l’ayez fait vous-même ou ayez séduit quelqu’un d’autre pour le faire pour vous, vous êtes encore coupable ! Su Jing du camp de travaux forcés de Masanjia s’inquiétait parce qu'elle savait qu'elle avait fait tant de choses perverses. Une fois, elle a dit à son bon ami : « Je n’aurai pas un bel avenir quoiqu’il arrive! »

Ceux qui ont participé à ces tortures devraient se réveiller pour leur propre amour. Arrêter le massacre équivaut à se laisser une issue pour soi-même et avoir la chance de se repentir et de payer pour ses propres crimes. Si non, quelqu’un souffrira le châtiment mérité, tôt ou tard.