(Minghui.org)

Une mère âgée a montré une parcarte, demandant justice pour sa fille, qui avait été persécutée à mort et pour son fils qui était illégalement détenu, parce qu'ils essayaient d’être de bonnes gens en pratiquant le Falun Gong. La police locale était effrayée et essayait de l'éviter et elle a relâché son fils treize jours plus tard.

Une jeune pratiquante de Dafa, d'une ville en nord-est de la Chine, a été illégalement condamnée à 8 ans de prison parce qu'elle pratiquait fermement le Falun Dafa. En janvier 2004, elle a été détenue dans la prison de Heizuizi, de la ville de Changchun et elle a été torturée à mort un mois plus tard. Au moment de sa mort, le corps de la pratiquante de Dafa était couvert de contusions. Les pratiquants locaux ont dit à sa famille qu'ils devraient utiliser les moyens légaux pour poursuivre ses persécuteurs et qu’ils devraient garder le corps de la pratiquante comme preuve. Plus tard, sous la coercition de la police de la prison, les membres de sa famille ont été forcés à renoncer à ce plan et la police a, de force, fait incinérer les restes de la fille. Sa mère a été profondément affligée.

Le frère de la pratiquante morte, Yuanhang (alias), a été persécuté plusieurs fois par la police pour son insistance à pratiquer le Falun Gong. Un jour en mai 2004, pendant qu'il se rendait chez lui, plusieurs policiers ont soudainement kidnappé Yuanhang et l'ont conduit au centre de détention. Là, il a fermement résisté à la persécution, commencé une grève de faim et refusé de boire. Quand les pratiquants locaux de Dafa ont entendu ces nouvelles, ils ont exposé l'incident sur le Site de Clartés et Sagesse.net et dans leur secteur local. Ils ont aussi retrouvé sa mère de 60 ans et ils lui ont dit : « Votre fils est innocent. Il est illégal que la police ait kidnappé votre fils et vous pouvez aller au département approprié pour demander la libération de votre fils ».

Après beaucoup de considération, pour ramener son fils, la mère a trouvé un grand panneau et elle a écrit là-dessus: « Ma fille a été torturée à mort en prison pour être une bonne personne et maintenant, mon fils a été kidnappé par la police encore. J'ai perdu une fille... Dois je perdre mon fils aussi ? »

Cette dame a accroché la pancarte autour son cou et elle est allée au département de police de la ville pour demander que son fils soit relâché. Les officiers du département de police l'ont vue et ils ont essayé de l'éviter. Cette dame est allée chaque jour à la porte du bureau des taxes qui est situé sur une rue achalandée et elle racontait aux passants la tragédie au sujet de ce qui était arrivé à sa famille.

Plusieurs jours plus tard, les fonctionnaires au département de police de la ville ont eu peur que plus de gens sachent la vérité, ainsi ils sont allées trouver le parent de la vieille dame qui travaille au bureau du procureur, pour le supplier : « Pourriez vous demander s.v.p à la dame de ne plus sortir avec le panneau? Nous essayerons de résoudre la question de son fils. » A ces nouvelles, la vieille dame ne s’est pas laissée détournée de son objectif et elle a continué de sortir chaque jour avec le panneau pour demander que son fils soit relâché.

Treize jours plus tard, le fils de la vieille dame a été libéré avec un verdict « non culpabilité ».

Écrit le 28 août 2004