(Minghui.org)


Hao Fengjun, un ancien officier du Bureau 610 de la Chine a révélé que les Parti Communiste Chinois (PCC) a infiltré le Canada avec environ 1 000 espions. Le gouvernement canadien a exprimé sa préoccupation pour faire face au réseau d’espions du PCC au Canada et va prendre de sérieuses mesures si nécessaire.

Le Canada prendra des fortes mesures de contre-espionnage pour faire face au réseau d’espionnage du PCC

D’après le rapport de the Globe and Mail du 17 juin, le Canada prend les allégations de Hao au sérieux et va prendre de fortes mesures de contre-espionnage pour faire face au réseau d’espionnage du PCC pour protéger la souveraineté du Canada.

Le premier Ministre Martin a dit : « Le Canada maintient un programme de contre-espionnage vigoureux pour sauvegarder la sécurité du Canada. Nous maintenons un système très fort d’application des lois et de sécurité qui permettra aux canadiens d’être assurés de leur propre protection et de leur propre sécurité. »

Le Ministre des affaires étrangères Pierre Pettigrew a dit pendant qu’il répondait aux questions que le département des affaires étrangères a été en contact avec les fonctionnaires chinois au Canada pour tenir des discussions avec eux pour garantir que le droit des citoyens canadiens de s’exprimer soit respecté. M Pettigrew a dit : « Nous prenons toujours toutes ces allégations sérieusement. Nous nous attendons à ce qu’ils respectent notre souveraineté. Lorsqu’ils sont ici, ils sont censés respecter nos lois canadiennes. »

Barbara Campion, un porte-parole pour le Service de Renseignement de Sécurité Canadienne (CSIS en anglais), a dit dans son discours qu’ils vont enquêter sur les activités d’espionnage qui menacent la sécurité du Canada.

Mille espions participent à la persécution du Falun Gong au Canada

Un ex-officier de la Sécurité Publique Nationale à Tianjin, Hao Fengjun, qui cherche a obtenir l’asile politique en Australie allègue qu’il y a « un réseau de 1 000 espions au Canada. » Les autorités canadiennes ont pris cela sérieusement.

D’après le rapport de the Globe and Mail, Hao Fengjun a dit que dès 1999, lorsque le PCC a commencé la persécution du Falun Gong, le PCC a envoyé des espions au Canada, en Australie, aux Etats-Unis, en Nouvelle Zélande et dans d’autres pays pour espionner les pratiquants de Falun Gong. Hao Fengjun a dit que dans la base des fichiers de la police qu’il a vu, il a estimé que la Chine a plus de gens espionnant le Falun Gong au Canada qu’aux Etats-Unis, qu’en Australie, ou qu’en Nouvelle Zélande. Il a aussi dit : « D’après les informations que j’ai vu, dans les documents, la plupart des espions sont à Toronto et Vancouver. »

M. Hao a dit que les espions sont chargés des écoutes des lignes téléphoniques, d’harceler et d’intimider les personnes locales pour arrêter ce qu’elles font. De nombreuses fois, ils surveillent et rapporte aux agences de sécurité en Chine. Si un pratiquant de Falun Gong prévoie de retourner en Chine, alors lorsqu’il atteint la Chine, il peut être arrêté à l'aéroport.

Les organisations de sécurité canadienne vérifient les accusations de Hao Fengjun

The Globe and Mail ont rapporté le 15 juin que les officiers de contre-espionnage du CSIS et du RCMP ont fait un rapport, du nom de code Sidewinder, sur les opérations des espions chinois au Canada dans les années 90. Les officiers ont dit plus tard qu’ils étaient frustrés par l’hésitation des politiciens canadiens à sévir contre l’espionnage chinois à cause des considérations diplomatique et commerciales.

D’après le rapport du CBC de mercredi, que l’ex-agent du CSIS, Michel Juneau-Katsuya, a trouvé ce que le Consul Chen Yonglin et M Hao Fengjun ont prétendu est crédible. Juneau-Katsuya a dit qu’au le milieu des années 90, si les agences de renseignements canadiens n’étaient pas préoccupés par les terroristes islamistes ces jours-ci, ils auraient réalisé que la plus grande menace pour la sécurité des canadiens venait de la Chine. Juneau-Katsuya s’est finalement explicitement exprimé qu’il y a plein de preuves qui prouvent que les agents de renseignements chinois utilisent des méthodes illégales pour espionner et pour déranger le Falun Gong.

Hao Fengjun expose la persécution du PCC du Falun Gong au Canada

Hao Fengjun, un ex-officier de police du Bureau de Sécurité Public Chinois à Tianjin, et un officier du « Bureau 610 » de Tianjin, n’était pas volontaire à la coopération avec le PCC pour utiliser des méthodes brutales pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Après beaucoup d’efforts, il est finalement arrivé en Australie au début de cette année. Il a cherché l’asile politique et a fourni des documents de première classe pour exposer les histoires intérieurs de la brutale persécution du Falun Gong par le PCC. Hao Fengjun a dit aux reporters qu’il a décidé de sortir courageusement pour exposer les méthodes brutales et insidieuses que le PCC a utilisées pour persécuter les pratiquants de Falun Gong.

Le 15 Juin, le journal national du Canada, le Globe and Mail, a rapporté en détail les affirmations de Hao.

Le rapport disait que Hao Fengjun âgé de 32 ans, un ex-officier de police du Bureau de Sécurité Public Chinois, et qui recherche l’asile politique en Australie, a dit que les opératoires de Pékin au Canada a conduit à une campagne d’harcèlements et d’intimidation et d’écoutes téléphonique des membres du Falun Gong à Toronto, Vancouver et plusieurs autres villes majeures canadiennes.

Hao Fengjun a dit qu’il travaillait dans une section spéciale du Bureau de Sécurité Public, connue du nom de « Bureau 610 », qui est en charge des opérations contre le Falun Gong. M. Hao a dit qu’il était dans le Bureau de Sécurité Publique, depuis 10 ans. En février, il a voyagé en Australie comme un touriste et a fait une demande pour un statut de réfugié.

M. Hao a dit dans l’interview téléphonique de Melbourne : « Toutes informations du Canada sont envoyées par des agents secrets qui sont au Canada et sont envoyées au Bureau 610, qui est dans la ville Tianjin, en Chine. » Il a aussi dit : « A partir des informations que j’ai vues, à travers les documents, la plupart de espions sont à Toronto et à Vancouver. »

Le rapport a cité M. Hao en disant que beaucoup des espions au Canada sont des citoyens canadiens de l’héritage chinois. Ils incluent des experts, des étudiants, et des hommes d’affaires.

Les Membres du Parlement demandent que les espions arrêtent d’harceler les pratiquants de Falun Gong au Canada

Le député conservateur Jason Kenney du Calgary a dit : « Au début de cette année, le Service de Renseignement de la Sécurité Canadienne (CSIS) a révélé que le PCC détient un grand réseau d’espions au Canada, surveillant la sécurité, l’économie et les intérêts politiques canadiens. »

Le Chef Député conservateur Peter Mackay a remarqué que d’après les informations fournies par l’ex-officier de police du PCC, Hao Fengjun, le PCC a plus de 1 000 espions au Canada. Il a dit que cela montre que le PCC fait des campagnes au Canada pour intimider et pour harceler les pratiquants de Falun Gong. Leurs actions sont conformes avec le rapport du CSIS. Le réseau d’espions étrangers contrôle, intimide et utilise les chinois au Canada. Mackay a fait remarqué que Hao Fengjun a soumis un rapport au gouvernement Australien concernant les pratiquants de Falun Gong au Canada qui ont été espionnés et harcelés. Mackay a suggéré au le gouvernement canadien de demander une copie du rapport et de demander officiellement aux autorités du PCC d’arrêter l’harcèlement des citoyens canadiens.

Traduit en Europe le 22 juin 2005 de l’anglais :