(Minghui.org)


Entre le 15 et le 19 mars, les pratiquants de Vancouver ont tenu une exposition de photos et ont récolté des signatures à l’extérieur du musée d'art de Vancouver, dans Chinatown et au centre commercial Metrotown à Burnaby pour inviter le public à prêter une attention particulière sur les atrocités se produisant à l'intérieur du camp de concentration de Sujiatun. Ils ont récolté des signatures pour une lettre d'appel invitant le gouvernement canadien à condamner les crimes répugnants du Parti communiste chinois (PCC) et à former une délégation pour enquêter sur le camp de concentration. La lettre sera remise au Parlement.


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Les pratiquants ont installé des affiches de clarification de la vérité devant le Musée d’art de Vancouver


Il faisait très froid et pluvieux les après-midis du 15 au 17 mars. Les pratiquants ont néanmoins distribué des dépliants pour exposer les atrocités. L’exposition de photos a attiré beaucoup de gens qui se sont arrêtés pour regarder et un bon nombre d'entre eux ont signé la lettre d'appel et ont dit que le public doit stopper la réapparition de crimes de genre Nazi. Ying Lee, porte-parole du Falun Gong, a accepté une entrevue du journal 24 Hours.

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Le journal anglais 24 Hours interview Ying Lee, représentante des pratiquants (à gauche)


Cavelle est professeur, et elle récoltait des signatures devant le musée d'art. Elle a dit que même maintenant, au 21ème siècle, des crimes semblables à ceux commis à l'intérieur des camps de concentration Nazis se produisent en Chine. Le PCC prélève le cœur, le foie, les reins et la peau sur des pratiquants vivants. Nous ne tolérerons absolument pas de tels crimes. En tant que membres de la société civilisée, tous les gens devraient se lever et exiger publiquement la fin de la persécution du Falun Gong.

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Cavelle (à droite) récolte des signatures devant le musée d’art


Mark Widdows, un citoyen de Vancouver, a appris l'information sur Internet. Il est alors venu au site de protestation de 24 heures des pratiquants devant le consulat chinois pour en savoir plus au sujet de la persécution. Il a dit qu'il voulait commencer à apprendre le Falun Gong et a demandé où il pourrait acheter « Zhuan Falun ». Puis il est allé au musée d'art de Vancouver où sous la pluie il a parlé à beaucoup de passants de la vérité du Falun Gong.

Une jeune dame a dit aux pratiquants qu'elle retournerait bientôt en Chine continentale. Néanmoins, elle a signé pour exprimer son soutien au Falun Gong, car elle avait reconnu un visage familier dans l'exposition de photos. Le pratiquant qu'elle connaissait très bien a été persécuté à mort et a eu ses organes prélevés par le PCC.

Le week-end du 18 et 19 mars, plus de pratiquants sont sortis pour exposer les atrocités. Ils ont formé des groupes de 2 ou 3 personnes et ont distribué des dépliants et récolté des signatures à plusieurs intersections très fréquentées.


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Plusieurs passants se sont arrêté pour regarder les affiches des pratiquants, puis ils ont signé leur pétition

À une épicerie de Chinatown, un Chinois ne croyait pas que le camp de concentration de Sujiatun existe et il a refusé d'écouter l'explication des pratiquants. À ce moment-là, un Chinois d’âge moyen s’est avancé et lui a dit : « J'arrive tout juste de Chine et je sais combien le gouvernement est corrompu. Les fonctionnaires ne servent jamais le peuple, ils veulent seulement de l'argent. Vous voyez qu'ils essaient maintenant de faire du profit en vendant des organes prélevés sur des personnes vivantes. Nous sommes tous des êtres humains. Comment ne pouvez-vous avoir aucune sympathie ? » L'homme a rétorqué que les pratiquants étaient arrêtés parce qu’ils perturbaient, l'autre monsieur a donc répondu : « Le Falun Gong est pratiqué dans tellement de pays, pourquoi les gens ne peuvent-ils pas le pratiquer en Chine ? Le gouvernement chinois doit se tromper. »

Au centre commercial Metrotown à Burnaby, une dame russe âgée a regardé l’exposition de photos pendant un moment. Elle a dit : « J'habitais en Union Soviétique dans le passé. Je connais très bien les crimes du parti communiste. Les gens en Amérique du nord n'ont aucune expérience avec le communisme, vous devriez continuer votre dur travail pour leur faire connaître toutes ces atrocités. »

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Une dame russe (deuxième à gauche) : Continuez à bien travailler !

Miller a environ dix ans et elle était venue à Chinatown avec sa famille pour le plaisir. Après avoir appris les faits au sujet de la persécution, Miller a fait une demande spéciale pour des dépliants sur la persécution. Elle a dit qu'elle voulait les donner aux professeurs chinois de son école.

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Miller (première à droite) a dit qu’elle donnerait les Neuf Commentaires à ses professeurs chinois


Au cours des cinq jours d’activités, les pratiquants ont récolté plusieurs milliers de signatures. Mme Xiong a récolté des signatures dans Chinatown. Elle a dit : « Dans le passé, les gens qui  signaient nos pétitions étaient surtout des occidentaux. Cependant, cette fois j'ai remarqué que plusieurs Chinois sont venus pour montrer leur soutien. Certains ont même laissé leurs numéros de téléphone. »

Une dame d’âge moyen a dit : « Cette persécution est trop cruelle. Chaque Chinois devrait l'exposer pour résister à la persécution. » Des civils ont dit aux pratiquants : « Ce que vous faites est très bien, merci ! »


Traduit de l’anglais au Canada le 26 mars 2006 :