(Minghui.org)

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Charles Li rentre chez lui à San Francisco après trois ans de détention  et de persécution.

Il y a a peu près deux mois, Charles Li, citoyen américain, pratiquant de Falun Gong a enfin retrouvé la liberté et il est rentré chez lui après trois ans de persécutions qui lui ont été infligées par le Régime communiste chinois. Il a déclaré récemment lors d’une entrevue que lui et sa famille sont encore assujettis à un harcèlement de type voyou par le Parti communiste chinois.

Les vitres défoncées de la voiture de Charles Li

Charles Li a déclaré que le 4 mars 2006 son téléphone portable a été volé sur son lieu de travail. Le soir même, on a défoncé les vitres de sa voiture, garée près de son lieu de travail. En même temps les agents de la Sécurité Nationale ont harcelé sa famille en Chine et ils l’ont averti qu’il « ne fallait rien faire contre le PCC »

Charles Li est retourné en Chine en janvier 2003 pour dire la vérité sur le Falun Gong mais il a été tout de suite arrêté à sa descente d’avion par des agents du PCC à Guangzhou. Il a par la suite été condamné illégalement  à trois ans d’emprisonnement à la prison de Nanjing. Il a enduré toutes sortes de tortures, physiques et mentales. Ces expériences l’ont aidé à voir la vraie nature perverse du PCC et cela a renforcé sa confiance dans la cultivation.

Charles Li a déclaré que lors de sa détention illégale à la prison de Nanjing il a été persécuté brutalement par le PCC pour le forcer à cesser sa croyance en la Vérité, la Compassion et la Tolérance/Patience. Ses parents ont  également subi d’énormes pressions.  La pression et le souci ont rendu sa mère malade à tel point qu’elle est devenue grabataire.

Charles Li a dit que le PCC s’est conduit de la façon la plus honteuse au moment ou sa mère était dans un état critique. Ils ont profité de son état pour le menacer et pour essayer de le forcer à arrêter de pratiquer le Falun Gong. Comme il n’a pas obéi,  le PCC n’a pas voulu le laisser voir sa mère.Quand cette situation a été rendue publique au monde extérieur, sous la pression internationale, le PCC a été obligé de lui permettre d’aller la voir pour la dernière fois. Mais le temps qu’il arrive, sa mère s’était déjà éteinte sans avoir pu voir son fils une dernière fois.

Charles Li condamne le PCC comme étant une organisation de voyous. Il a dit avoir découvert récemment que le PCC a répandu une propagande mensongère pour le diffamer, lui et sa famille en disant que c’était son manque de piété filiale qui avait causé la mort de sa mère. Sa famille a pensé entreprendre des procédures légales contre le  PCC pour qu’il reconnaisse ses torts pour avoir sali la  réputation de sa famille.  C’est dans ces conditions que le PCC a proféré des menaces contre sa famille et qu’il a utilisé des méthodes de voyou contre lui aux Etats-Unis.

Charles Li a insisté sur le fait que chacun connaît la nature perverse du PCC mais que ses actions malveillantes ne pouvaient pas le toucher. Il dit qu’une fois de plus le PCC a démontré la constance de sa nature malveillante. Il croit que comme de plus en plus de personnes connaissent la perversité du PCC, sa  désintégration est imminente.


Traduit de l’anglais en France le 27 mars 2006