(Minghui.org)

Le soir précédant la fête nationale chinoise, le 1er octobre 2007, quand un des policiers locaux est venu chez moi, je l’ai poliment fait entrer. Après que nous nous soyons salués, je lui ai franchement demandé : « Je vous ai parlé de renoncer au parti communiste chinois plusieurs fois. Êtes-vous prêt à quitter le Parti maintenant ? Vous pouvez employer un pseudonyme si vous le souhaitez. C'est très sûr. » Il a immédiatement décidé de quitter le Parti. Je sais que tout était l'arrangement du Maître parce qu'il avait l'habitude de venir chez moi avec d'autres policiers et cette fois, il était venu seul afin de quitter le Parti.

Après, je lui ai parlé de plusieurs miracles qui se sont produits quand des gens ont récité : « Falun Dafa est bon. Vérité, Compassion et Tolérance sont bons. » Il m’a écouté tranquillement. Alors je lui ai demandé de se rappeler de réciter : « Falun Dafa est bon.Vérité, Compassion et Tolérance sont bons. » quand quelque chose de mauvais lui arrive. Je lui ai également demandé de faire passer cette information à ses parents et ses membres de famille. Il a exprimé sa satisfaction plusieurs fois. Quand il est parti de chez moi il m’a serré la main et m'a encore remercié. Il m’a fait un signe d’au revoir plusieurs fois en partant. Quel fort désir d'être sauvé avait son âme !

Ce policier était venu avec un groupe d'autres personnes pour me voir plus d’une dizaine de fois au cours des deux ou trois dernières années. A chaque fois je lui ai expliqué les faits à propos du Falun Gong et pourquoi il devait renoncer au parti communiste chinois. Il m'est arrivé de pleurer en leur expliquant les faits et essayant de les convaincre de quitter le Parti. Quelques pratiquants m'ont dit que la police était venue pour me voir parce que « Je l’avait demandé. » Ils m'ont dit de ne pas perdre mon temps. Que les officiers de police ne pouvaient pas être sauvés. Je n'ai pas été touché par ce que ces pratiquants ont dit. J'ai persisté en expliquant les faits à la police et en leur demandant de quitter le Parti toutes les fois qu'ils venaient me voir. J'ai même dit les faits à un policier que j'ai rencontré pour la première fois. J'ai maintenu la pensée qu'ils ne me feraient rien tandis que je leur expliquais les faits et je croyais qu'on pouvait encore les sauver. Je pense que seul le Maître sait si on peut les sauver ou pas. Je dois seulement avoir la pensée que je crois en Maître et la Loi.

A travers mon expérience avec ce policier, j'ai un cœur plus déterminé pour suivre les mots du Maître aux disciples de Dafa : «  j’ai dit qu’un pratiquant n’a pas d’ennemi, que vous ne pouvez que sauver les êtres humains ». (« Enseignement de la Loi à la ville de Chicago »).

Ce sont quelques compréhensions que je souhaite partager avec nos compagnons pratiquants. Merci Maître, pour que ce que vous avez fait pour nous.


Traduit de l’anglais le 2 novembre 2007