(Minghui.org)

Après avoir enduré 18 mois de torture--y compris avoir les mains et les pieds liés derrière le dos tellement fort que son épine dorsale s’est presque cassée—Gang Chen savait qu’il avait eu une chance immense d’avoir pu s’échapper en vie de son pays natale la Chine. C’est alors qu’il a commencé à entendre les histoires effrayantes sur les allégations que les camps de travail font subir aux pratiquants de la méthode interdite d’exercice, de méditation et de cultivation appelé le Falun Gong. À savoir, les assassiner pour prélever leurs reins, leur foie et leurs cornées pour les transplanter, souvent à des étrangers, pour le profit.

“Je ne me suis pas senti plus chanceux en apprenant cela” a dit Chen âgé de 35 ans, musicien à Sicklerville, NJ qui est sorti d’un camp de travail de Beijing en 2001. « Je suis inquiet pour les pratiquants qui se trouvent toujours là bas. »

Ce qui est peut être le plus dur dans ces huit années de persécution des pratiquants du Falun Gong, est que personne ne semble entendre leur appel au secours. Vous pouvez aider à changer les choses en écoutant les discussions de l’ancien Secrétaire d’Etat canadien David Kilgour et de l’avocat international des droits de l’homme David Matas sur le rapport révisé, Collecte sanglante, qui confirme ces horribles rumeurs.

“Le rapport conclut que ces choses existent vraiment » a dit Sharif Roach candidat au doctorat Temple et pratiquant de Falun Gong qui a aidé à organiser le forum. « Il faut qu’il y ait un tollé international. Il n’y a pas de temps à perdre. »