(Minghui.org)

Il y a plus de deux mille ans, Shang Yang (390?-338 avant J.C.) défendait la doctrine “laissons les plus perfides diriger la bonne âme.” Il déclara dans le “Shangjunshu” (Ecrit de Shang) qu’une nation gouvernée par de bonnes personnes finirait dans le chaos et la destruction, alors qu’une nation dirigée par des traîtres deviendrait forte et serait bien gouvernée. Shang Yang proposait que des gangsters et des criminels gouvernent le petit peuple, que les méchants écartent les bons, et que c’était l’unique moyen pour maintenir une dictature pour des criminels.

Dans notre société civilisée actuelle, cette notion erronée doit être rejetée. Mais le Parti communiste chinois (PCC) l’utilise comme son arme secrète, c’est d’ailleurs évident dans la manière dont il persécute les pratiquants du Falun Gong. Ils ont pour coutume d’emprisonner les pratiquant avec des criminels condamnés à mort ou des prisonniers à perpétuité, et ils poussent ces criminels à “aider et éduquer”—ce qui en fait signifie surveiller et torturer—les pratiquants. Depuis le début de la persécution le 20 juillet 1999, le sang s’est répandu sur la terre de Chine, des gémissements ont emplis les prisons, les gens se déchirent entre eux comme des bêtes sauvages—ceci est le vrai visage d’une administration dirigée par des gangsters. La dictature du PCC est un exemple réel des “traîtres dirigeant le pays.”

Cette pratique prévaut dans tous les aspects de la société Chinoise. Pour collecter les impôts dans les zones rurales, le gouvernement fait appel à des voyous locaux pour faire respecter la collecte. Ils sont très doués pour utiliser la force et la persuasion afin de faire taire les voix du petit peuple. Ils torturent quiconque ne se plie pas à leurs exigences, et toutes sortes d’inimaginables tactiques sont employées pour empêcher que les locaux dans les villages, les villes et les agglomérations puissent faire appel à de plus hautes instances. Dans les grandes agglomérations et villes, les voyous locaux sont utilisés pour saisir les propriétés des gens. Cette manière de gouverner semble, en surface, être un succès et souple parce que les gens obéissent sous cette brutale pression. Mais en réalité, la société est devenue une marmite sous pression, bouillonnante de problèmes, qui, si elle explose, résulterait peut-être en l’effondrement de la société.

Actuellement, il y a presque 20 millions de citoyens chinois qui ont démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Ceci est une tendance inéluctable du développement social et du progrès historique.