(Minghui.org)


La pratiquante de Falun Dafa, Wang Bo, de la ville de Shijiazhuang dans la province du Hebei a été faussement accusée d'"utiliser une organisation de culte pour perturber l'administration de la loi", et a été condamnée à cinq années d'emprisonnement par le régime communiste chinois début février 2007. Son père, Wang Xinzhong et sa mère, Liu Shuqin ont été également inculpés pour la même raison, et ont été chacun condamnés à quatre ans de prison. La tension artérielle de m. Wang Xinzhong est à 180/140 et les médecins considèrent que sa vie est en danger. Pour le moment, il tente d'obtenir sa libération sous caution pour raison médicale. Wang Bo et sa famille ont vivement protesté contre le procès illégal, et ont fait appel à la Cour Intermédiaire de Shijiazhuang. Le Parti communiste chinois (PCC) continue de menacer et de harceler les avocats qui osent défendre les pratiquants de Falun Gong, et certains d'entre eux sont en prison pour avoir voulu le faire. En conséquence, les parents de Wang ont eu de la difficulté à trouver des avocats de la défense pour les représenter. Après d'intenses efforts, ils ont trouvé six avocats à Pékin prêts à défendre la famille Wang.

Les six avocats pensent que le "crime" pour lequel Mme Wang et sa famille sont accusés, à savoir "utiliser une organisation de culte pour perturber l'administration de la loi", n'est pas clairement défini et qu'il n'y a pas suffisamment de preuves pour maintenir cette accusation. Le cas ne correspond pas au terme juridique de "crime" que ce soit du point de vue des faits ou de la loi. Les six avocats ont fait appel devant la Cour Intermédiaire de Shijiazhuang et demandé un nouveau procès devant la Cour de District de Changan.

M. Zhang Lihui, l'avocat de m. Wang Xinzhong, pense que la croyance personnelle n'est pas illégale et n'est pas un crime. Il pense également que la loi qui recouvre des questions telles que les "cultes malins" ne s'applique pas à ceux qui pratiquent le Falun Gong. Le raisonnement que la cour a utilisé est discutable et n'est pas clair dans son application.

L'"Annonce sur la Reconnaissance et l'Interdiction des Organisations de Cultes Malins" du Ministère de la Sécurité Publique (Document n°39 [2005]) listait quatorze organisations de culte malin. Le Falun Gong n'est pas sur cette liste. Le texte dans ce document identifie cinq caractéristiques principales des organisations de culte malin. Le Falun Gong est basé sur Vérité, Compassion, Tolérance, et ces traits de personnalité ne ressemblent pas, même de loin, à aucun des cinq motifs listés.

1. La liberté de croyance est un droit humain fondamental reconnu dans le monde entier

L'Article 36 de la Constitution Chinoise stipule que la liberté de croyance est un droit pour tous les chinois. Aussi, la croyance n'est-elle pas un crime même au regard de la loi chinoise. Une personne a le droit de décider ce qu'il ou elle veut croire – que ce soit Dieu ou la théorie de l'évolution – l'un ou l'autre étant protégé par cette directive constitutionnelle. Comme nous le savons tous, la loi ne peut que restreindre le comportement des gens mais ne peut pas punir quelqu'un pour ses opinions. Compte tenu de cette interprétation de l'Article 36 de la Constitution Chinoise, l'affaire de la famille Wang Bo ne peut être jugée sous un règlement se situant précisément en dehors de cette "loi", un règlement qui n'est pas rattaché à la directive constitutionnelle susmentionnée. Ceci démontre clairement que la persécution des pratiquants du Falun Gong, qui croient en Vérité, Compassion, Tolérance, est illégale depuis son commencement. Aussi, tous les "crimes" qui sont imputés aux pratiquants durant cette persécution sont illégaux. Beaucoup d'avocats qui ont défendu le Falun Gong par le passé ont développé ce sujet.

(1) Les avocats Guo Guoting de Shanghai (résident au Canada) et Gao Zhisheng de Beijing ont défendu des pratiquants de Falun Gong. Ils continuent de répéter que la persécution du Falun Gong par le PCC est illégale et contraire à la loi chinoise actuelle.

(2) L'avocat Zhang Xingshui, directeur du Bureau des Avocats Jingding de Beijing, qui a défendu des pratiquants de Falun Gong, a dit que les pratiquants sont innocents, et a cité l' "article 300 du Code Criminel". L'accusation d'"Utiliser une organisation de culte malin pour perturber l'application des lois" a été injustement appliquée aux pratiquants de Falun Gong. Le raisonnement est ambigu et contredit l'esprit de la Constitution. Aussi, c'est illogique.

(3) L'avocat Li Heping, du Bureau des Avocats Gaobo Longhua de Beijing, dit que la liberté de croyance inclue la liberté de croyance aussi bien que celle de religion. L'évolution religieuse est au-delà de tout pouvoir gouvernemental. Un gouvernement n'a pas le droit de décider ce qui est une "bonne religion" ou une "mauvaise religion". Autrement, un gouvernement athée pourrait décider qu'une religion est un culte malin. M. Li dit aussi que même l'existence de documents émanant des plus hauts fonctionnaires, dirigeant la persécution du Falun Gong avec l'accusation de "culte malin", est illégale. Cela n'établit aucun précédent juridique légal et n'annule pas les directives constitutionnelles existantes.

(4) L'avocat Tang Jingling, auparavant employé au Bureau des Avocats Huazhijie dans le Guangdong, dit qu'il croit que l'interférence d'un gouvernement dans les religions apportera le désastre à la nation.

(5) L'avocat Yang Zaixin, auparavant employé au Bureau des Avocats Zhongchi dans le Guangxi, stipule que jamais aucun pays démocratique n'a défini une religion comme un culte malin. Si les gouvernements utilisent des documents sans passer par le système juridique, c'est en lui-même illégal. M. Yang avait défendu M. Nong Youyue, un pratiquant de Falun Gong de la région de Baise, demandant un verdict d'innocence.

Selon l'Article Trois, Chapitre I du Code Criminel de la République Populaire de Chine, les actes qui ne sont pas explicitement définis comme des actes criminels sous la loi actuelle, "ne peuvent recevoir de condamnation ou de châtiment." Il n'y a aucune base juridique pour accuser les pratiquants de Falun Gong d'"utiliser une organisation de culte malin pour perturber l'administration de la loi."

2. Il n’y a pas de problème avec le Falun Gong – Les violations de la loi par le PCC pour persécuter le Falun Gong

La procédure pénale chinoise stipule un principe : “Comptez sur les masses, basez vous sur les faits et prenez la loi pour critère. » La loi citée et utilisée pour persécuter le Falun Gong est illégale dès le départ du point de vue du droit. C’est un mouvement politique. En quoi consiste-t-il au juste ? Examinons le cas de mme Wang Bo et de sa famille.

La vérité concernant Wang Bo et sa famille

Avant que mme Wang ne commence la pratique du Falun Gong en 1996, la santé et les relations de ses parents se détérioraient. Ils ont envisagé le divorce dès que Bo est entrée au lyçée en 1996. Il y avait une crise familiale. En 1995, Bo a cessé de prendre des leçons de piano et la famille avait atteint un point de rupture. Dès le début de juillet 1996, tous les trois se sont mis à la pratique du Falun Gong. En cultivant leurs pensées, leur caractère et par la pratique physique, leur santé s’est améliorée. Ils ont suivi le principe Authenticité, Compassion, Tolérance, considéraient les autres d’abord cherchant en eux-mêmes leurs propres insuffisances. Les parents de Bo ont renoué la communication entre eux et commencé à se comprendre mutuellement. Leurs vies ont changé.

Toutes leurs maladies ont disparues. Bo avait retrouvé une famille heureuse et elle s’est même remise à jouer du piano. Falun Dafa lui donnait la sagesse et elle progressait. En 1999, Bo qui avait dix-huit ans a été acceptée au Conservatoire central de musique de Tianjin et à l’Université normale de Hebei grâce à ses bons résultats. La pratique du Falun Gong a apporté bonheur et bénédictions à la famille et l’harmonie a été restaurée dans une famille presque brisée.

Dès le 20 juillet 1999, la persécution du Falun Gong a amené le désastre à d’innombrables familles chinoises, et la famille de Bo a été frappée très durement. Wang Bo et sa famille ont été arrêtés à répétition et ont souffert les passages à tabac, l’emprisonnement et le lavage de cerveau. Tous les trois ont écopé de peines de trois ans de travaux forcés. Six ans plus tard, la famille a été réunie de nouveau. En novembre 2005, Bo a publié un article qui dénonçait la torture qu’elle avait endurée et la persécution du Falun Gong par le Parti en général. Pour prévenir davantage de persécution la famille a déménagé à Dalian, dans la province du Liaoning.

Le soir du 27 juillet 2006, la police a escaladé un mur et fait irruption dans la résidence temporaire de Wang Bo et de ses parents dans la ville de Dalian, province du Liaoning. Ils ont arrêté Wang Bo et sa mère, qui n’était pas complètement habillée à ce moment. Le père de Wang Bo, Wang Xinzhong était au travail. Ils l’ont arrêté le matin suivant. Des officiers de la Division Politique et Sécurité aux Services de police de Shijiazhuang avaient attendu à l’extérieur de leur maison pendant plusieurs jours avant l’arrestation. La police a confisqué environ 41.000 yuans et trois valises pleines de vêtements, un ordinateur de poche, une caméra vidéo, quelques documents de clarification des faits et des livres de Falun Gong.

Wang Bo et ses parents ont été ramenés à Shijiazhuang, où ils ont été détenus illégalement et au secret. Leurs proches n’ont pas pu découvrir où ils étaient détenus, en dépit de leurs demandes répétées à la police. Le 25 août, la police a dit aux membres de famille que tous les trois allaient bien, mais ils ont refusé de dire où ils étaient détenus. Ils ne les ont pas autorisés à prendre avec eux aucun vêtement. Le 5 septembre, des proches ont reçu des appels téléphoniques leur demandant qu’ils apportent des vêtements. Mais la personne n’a pas donné son nom ni dit où apporter les vêtements. Les proches ont finalement découvert le nom et le lieu du centre de détention où ils avaient été détenus depuis début septembre. Début octobre, les proches ont demandé que soient rendus les 41.000 yuans et les trois polices mais la police a refusé. Le 3 novembre ils sont allés à la Procuratorate de Changan et tenté d’obtenir des informations, mais personne n’a voulu leur parler. Ils y sont retournés de nouveau le 6 novembre et une personne bienveillante leur a dit que l’affaire avait été transférée à la Cour de district de Changan. Ils se sont précipités à la cour et on vu que l’annonce avait été affichée, et que la date du procès était le 11 novembre. Ils n’ont reçu aucun avertissement formel et personne ne leur a dit quoique ce soit. Le délai était trop court pour trouver un avocat assez courageux pour les défendre.

Le jour du jugement, tous les trois paraissaient très faibles, M. Wang Xinzhong pouvait à peine se tenir debout sans aide. Il était depuis un moment en grève de la faim et avait été emmené à l’hôpital en urgence . Ils ont parait-il été torturés et emmenés au centre de lavage de cerveau de la province du Hebei après qu’ils aient été ramenés à Shijiazhuang

Actuellement, Wang Bo et sa mère sont détenues au Centre de détention N°2 de Shijiazhuang, et son père Wang Xinzhong est détenu au Centre de détention de Zhaoxian à Shijiazhuang. Les membres de leur famille n’ont reçu jusque là aucun document légal.

À présent des avocats de Pékin (Beijing) se sont impliqués dans l’affaire. Mais la Cour intermédiaire de Shijiazhuang a ignoré les faits du cas, n’a pas enquêté et a refusé de corriger leurs erreurs. Ils ont simplement suivi les instructions des « autorités » et essayé de clore l’affaire aussi vite que possible. Ils voulaient emprisonner Wang Bo et ses parents, afin qu’ils ne puissent pas révéler la vérité de leur souffrance.

Que les pratiquants de Falun Gong révèlent la vérité de la persécution est dans le cadre de la loi chinoise existante. C’est certainement légal, pacifique, rationnel et non violent. En considérant les faits et les lois associées, ceux qui violent vraiment la loi sont les fonctionnaires du PCC. Croire au Falun Gong n’est pas un crime. Les actions des pratiquants de Falun Gong bénéficient à la moralité sociale et restituent aux gens une vraie conscience.

L’histoire déchirante de la famille de Wang Bo n’est qu’un exemple parmi de nombreux autres. C’est notre espoir que les juges, les procureurs publics, la police et les fonctionnaires du Bureau 610 écoutent leur conscience et soient responsables envers eux-mêmes sans considérer les bénéfices politiques. Nous espérons qu’ils puissent réfléchir calmement et objectivement et ne pas suivre le PCC en persécutant de bonnes personnes et créer davantage de karma. Ils ne devraient pas avoir peur du PCC, mais protéger la justice et être responsables envers eux-mêmes.

Plus de 20 millions de chinois ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées depuis la publication des Neuf commentaires sur le Parti communiste. La fin du PCC approche. A ce moment spécial de l’histoire, choisissez un bon futur pour votre famille et vous-mêmes ! Libérez inconditionnellement Wang Bo et ses parents et restituez leur leurs biens !

Davantage concernant les expériences de Wang Bo et de ses parents

Mme Wang Bo : Mme Wang Bo, 22 ans, est étudiante au conservatoire central de musique. Son père est m. Wang Xinzhong. Ils vivent au 52-2-403 Tanguxijie, ville de Shijiazhuang, province de Hebei.

Depuis le début de la persécution du Falun Gong le 20 juillet 1999, Mme Wang Bo a fait fréquemment savoir qu'elle refusait de renoncer au Falun Gong, et qu’elle n'écrirait pas de déclaration de garantie . En septembre 2000, Wang Bo a arrêté l'école parce que le conservatoire central de musique continuait à la harceler pour qu'elle écrive une déclaration de garantie. Elle a été arrêtée deux fois pour être allée à Pékin faire appel, bien que le droit de faire appel soit accordé à tous les citoyens chinois sous la constitution. Elle a été surveillée chez elle et mise sous surveillance lorsqu’elle sortait. Elle a eu une amende pour avoir refusé d'écrire des déclarations de garantie. La famille entière a enduré le harcèlement et le saccage de leur maison. Leur propriété a été confisquée trois fois. Ils ont également du payer une amende de plus de 2.460 yuans.

Le 4 décembre 2000, Wang Bo est encore allé à Pékin pour parler en faveur du Falun Gong et elle a été détenue par la police du commissariat de police de Yudong pendant 30 jours sur de prétendus "charges criminelles." Toute sa famille a été l'objet de perquisitions et elle a été condamnée à trois ans de travail obligatoire sur des charges fabriquées. La police a volé 500 yuans que la famille de Wang Bo lui avait envoyés. Tandis qu'elle était détenue au camp de travail forcé de la ville de Shijiazhuang, équipe numéro 5, Wang Bo a été mis dans la division " de surveillance stricte ", car elle refusait de se reconnaître coupable.

En avril 2001, Wang Bo a été considérée " dure à cuire" dans le camp de travail de Shijiazhuang et emmenée au camp de travail forcé de Pékin pour subir le lavage de cerveau obligatoire. Dans le camp de travail de Pékin, elle a été isolée et privée de sommeil pendant six jours consécutifs. La police a essayé de la soumettre au lavage de cerveau employant différents sortes de méthodes de torture, pour la forcer à renoncer à sa croyance. Mme. Wang avait alors seulement 19 ans et elle a été blessé physiquement et mentalement. Après un certain temps, elle a été ramenée au camp de travail forcé Shijiazhuang, équipe 304. Début 2002, ayant été trompée et forcée, elle a coopéré avec le personnel du bureau 610 local pour l'arrestation de son propre père.

En septembre 2002, le personnel du Bureau 610 de Hebei a appelé Wang Bo un "rôle modèle," et elle est revenue à l'école. Pendant les trois années où on a permis à Wang Bo d’assister à l'université, le bureau 610 a affecté un officier de police féminin pour "accompagner" Wang et la garder sous surveillance constante. En octobre 2002, l'école de Mme. Wang, le conservatoire central de musique, a eu sept jours de vacances pendant les vacances nationales. Elle a été emmenée et forcée à subir le lavage de cerveau au centre provincial pour l'éducation penale de Hebei. Ses membres de famille n’ont pas pu découvrir où elle était. On a permis à Wang Bo de rendre visite à tous ses parents aux environs de la nouvelle année, mais à certains d'entre eux seulement pendant 10 minutes. Elle n'était jamais seule, mais sous la surveillance rapprochée du bureau 610 de Shijiazhuang.

En décembre 2005, Wang Bo a publié ses expériences sur le site Web Minghui. Elle a dit que les fonctionnaires de gouvernement du PCC l'ont incitée à faire des choses qu'elle regrettait vivement, et qu' ils l’ont soumise au lavage de cerveau et utilisée. Elle a écrit, "je me rend maintenant compte à quel point ils étaient sinistres de m'avoir dupé avec des sourires sur leurs visages. S'ils m'avaient traitée durement, j’aurai pu rester perspicace. Mais toutes les fois qu'ils m'ont approchée, ils souriaient continuellement sourire, pourtant les tours qu'ils ont employés étaient les plus mauvais. Invariablement, ils font tout ce qu’ils peuvent pour découvrir vos soucis. Quand ils voient que vous êtes préoccupé par votre père, ils essayent de réaliser leur but mauvais en tirant profit du point sensible... " Dans l'article elle a décrit ses expériences douloureuses au camp de travail forcé et au centre de lavage de cerveau, et comment ils ont fait le programme fabriqué à son sujet et celui de sa famille dans l’émission "Gros plan" de CCTV, et d'autres médias, ainsi que certains éléments de la fausse affaire d'auto immolation. Puis, pour éviter d'être encore arrêtée, Mme. Wang et sa famille se sont retrouvés sans foyer.

M. Wang Xinzhong : M. Wang Xinzhong, 53 ans, est officier à la division mécanique de bureau de Shijiazhuang de chemin de fer.

Le 24 Janvier 2000, m. Wang Xinzhong a été condamné à 1.500 yuans parce qu'il a lancé un appel à Pékin pour le Falun Gong. Le 21 février, la police du commissariat de police de Yudong a confisqué sa maison et l'a arrêté parce qu'il étudiait la Loi et faisait les exercices à la maison. Après qu'il ait été amené au commissariat de police, la police lui a giflé le visage, a battu son dos et son cou avec des bâtons en bois, et l'a taxé de 200 yuans. En été 2001, des agents de police du 610 de Shijiazhuang sont soudainement apparus au travail de m. Wang, et l'ont battu sans aucune raison. Il a ensuite été détenu à son travail. M. Wang s'est échappé et il est devenu sans abri.

Vers la fin 2001, m. Wang Xinzhong est retourné à la maison pour voir sa fille, Wang Bo. Le personnel du bureau 610 l’a capturé et l'a détenu au centre provincial de Hebei pour l'éducation pénale pendant environ quatre mois. Il a été privé de sommeil et forcé de subir le lavage de cerveau. Le 13 mai 2002, m. Wang s'est encore échappé mais ne pouvait pas retourner à la maison.

Depuis m. Wang Xinzhong a déclaré en août 2002 sur le site Web de Minghui que le lavage de cerveau qu’il avait souffert était non valide, et a révélé dans un entretien vidéo la tactique de lavage de cerveau cruelle et les mensonges du PCC dans le programme "Gros plan" de CCTV, le personnel du bureau 610 de Hebei a émis un mandat pour son arrestation. En octobre 2002, la police a arrêté m. Wang à sa résidence provisoire dans la ville de Fenxi, province de Shanxi. Il a été amené au camp de travail forcé de la ville de Shijiazhuang, équipe numéro 2. Il a été libéré le 25 décembre 2004, à la fin de sa peine. Pour éviter d'être encore arrêté, toute la famille a quitté leur ville natale en novembre 2005.

Mme. Liu Shuqin: (a.k.a Liu Hua), 51 ans, mère de Wang Bo, est une employée de la Banque du commerce et de l'Industrie de Changan, branche de Shijiazhuang .

Le 26 octobre 1999, mme Liu est allée faire appel à Beijing. Parce qu'elle refusait de renoncer à sa croyance, elle a été renvoyée de son emploi et détenu pendant 15 jours. Elle a été emmenée à l'Hôpital Baoshi pour 13 jours pour y être transformée."

Le 4 février 2000, mme Liu est retournée faire appel à Pékin. Elle a été arrêtée et détenue pendant cinq jours. Lorsqu'elle est retournée à la maison, avant de pouvoir prendre un repas, la police de Yudong l'a arrêtée. Elle a été relâchée après avoir été tabassée au Poste de police. En juillet 2000, la police de Yudong l'a arrêtée dans la rue. Elle a été de nouveau battue et détenue. Ils avaient peur qu'elle ne ne rende à Pékin pour faire appel en faveur du Falun Gong.

En décembre 2000, Mme Liu a été arrêtée à Pékin et emmenée au Commissariat de police de Yudong. Du Yaming, le directeur a ordonné à l'officier de police Zhang Jianhong de la tabasser. Il ne cessait de lui cracher au visage. Après quoi ils l'ont détenue pendant 39 jours. Elle a fait une grève de la faim pour protester de son emprisonnement, qui avait excédé les termes normaux. Après six jours de grève de la faim elle a été relâchée.

Le 4 mars 2001, alors que Mme liu rentrait chez elle après ses courses, elle a été interpellée par la police locale qui lui a demandé de venir répondre à des questions. mme Liu a refusé. Plusieurs policiers l'ont alors fait monter de force dans une voiture de police et l'ont emmenée au Commissariat de police de Yudong. La police a essayé de lui voler ses affaires dont un téléphone portable, ses clés et 2000 yuans qu'elle venait de tirer à la banque. Lorsque les membres de famille de mme Liu ont demandé que ces choses lui soient rendues, Du Yaming, le directeur a prétendu qu'ils n'avaient rien pris. La famille a insisté et Du n'a pas eu d'autre choix que de rendre l'argent et certaines des affaires de mme Liu. Mme Liu a été détenue au Premier centre de détention de Shijianzhuang puis ultérieurement relâchée. Mais elle était dans un état critique après plusieurs grèves de la faim, et afin d'éviter d'être arrêtée de nouveau elle est devenue sans domicile.

En novembre 2001, Mme Liu a été arrêtée alors qu'elle clarifiait la vérité sur la persécution. Elle a été condamnée à trois ans de travail forcé et détenue au Camp de travaux forcés de Shijiazhuang, 5ème équipe. Elle a été torturée physiquement et mentalement.

Au printemps 2002, Mme Liu Shuqin a été forcée à apparaître dans le programme de CCTV 'Gros plan". Après quoi les autorités ont continué à la détenir et à la torturer. Elle a été relâchée en janvier 2005, trois ans plus tard. Afin d'éviter d'être arrêtée de nouveau, elle a quitté sa ville natale avec son mari et sa fille en novembre 2005.



Unités et personnes concernées

Noms et notes

Numéros de tél, de fax & Adresses

Code de la région de Shijiazhuang: 0311

Centre de détention de Zhaoxian, Shijiazhuang City

Détention illégale de Mme. Wang Xinzhong

86-311-84947842

Cour Intermédiaire du people Shijiazhuang City

191 North Youyi Street, Zip code: 050000 86-311-85187214

2ème cour, Cour criminelle No. 2

Pei Wenhua (femme, juge)

86-311-85187159
86-311-87764145
86-311-87794242
Fax: 86-311-87793240

Cour criminelle No. 2

Liu Bin (juge)

86-311-85187159

Cour criminelle No. 2

Jude Lv

86-311-85187159

Bureau du Comité du Parti de la Cour

86-311-87793244

Division d’inspection disciplinaire

86-311-87783411

Cour criminelle No. 21

86-311-87797341

Hotlines de dénonciation

86-311-85187165
|86-311-85187170
87757514

Hotlines d’exécution

86-311-85187173
86-311-85187121

Procuratorate du peuple de Shijiazhuang City

88 Minzulu, Shijiazhuang City
86-311-87899456
86-311-87017615

Bureau de service

86-311-87899456

Cour de district de Changan Shijiazhuang

15 Weilinglu, Shijiazhuang City, Zip 050021
Bureau: 86-311-85814012
86-311-85815253
86-311-85814311

Responsible pour le cas de la famille de Wang Bo'

Xing Yiting

86-311-85870554

Président du tribunal

Li Yuhai

Adjudicateur

Yue Yunzhi

Clerc

Zhou Jie

Président du tribunal (très pervers)

Wang Xu

Juge

Wang

Personne responsable

Shi Heping

Procuratorate de la Cour de district de Changan, Shijiazhuang City

29 Tannanlu, Shijiazhuang City, Zip 050021 86-311-85871546
86-311-85871547
86-311-85871548

Cour d’appel

Liu Xia
Wang Yang

Procureur en chef adjoint

Pei Weiqi

Email: pwq@cajcy.com

Département de la Sécurité publique de la province du Hebei

Zhongshan West Road, Shijiazhuang City
86-311-83033941

Bureau 610 de la province du Hebei

46 Weimingnandajie, Shijiazhuang City, Zip 050052

Chef adjoint
Personne qui a planifié la persécution de la famille de Wang Bo'
Personne qui a développé le programme de CCTV "Gros plan"

Wang Yongzhi

86-311-87908681 (O)
86-311-87906766 (H)
86-13931110731

Cour Supérieure du Peuple de la province du Hebei

Directeur -- Liu Ruichuan

236 Heping West Road, zip 050000
86-311-87831824

Directeur adjoint
Chargé de la persécution du Falun

Liu Zijun

86-311-86676214 (O)

Instructeur politique

Li Yanbing

86-311-86677321

Directeur de la protection politique
La cinquantaine
Impliqué dans l’enlèvement de la famille de Wang Bo

Wang Lianxi

Directeur adjoint

Chai Yanguo

86-311-86677321 (O)
86-311-86212954