J’ai été sauvé par le Maître compatissant

(Minghui.org)

Je suis devenue pratiquante en août 1997. Mes symptômes des tumeurs à l’utérus ont vite disparu.  Cependant, à ce moment-là, je comprenais la Loi seulement à la surface et je ne cultivais pas diligemment. J'avais aussi beaucoup d'attachements humains. En juillet 2001, dans les conditions de l’atroce persécution du PCC, mon mari et moi, nous avons dévié de la cultivation. Nous avons bientôt perdu contact avec nos compagnons de pratique. Graduellement, mes tumeurs sont revenues. J'avais oublié les principes de Dafa et je n’ai pas considérée la réapparition de ma maladie du point de vue de la Loi.  Au lieu de cela, je suis allée voir un médecin pour un médicament. Un jour en 2004, j'ai soudainement eu très mal au ventre. Les membres de ma famille m'ont amenée à l'hôpital. On m’a diagnostiqué une tumeur maligne rare, qui avais plus de 10 cm en diamètre, mais même les médecins n'étaient pas sûrs de leur diagnostic. J'ai été effrayée et j’ai suivi le conseil du médecin pour faire une thérapie. En conséquence, mon corps a été gravement endommagé.

À ce moment, mon mari et moi, avons senti que quelque chose n’allait pas, mais nous ne pouvions pas dire exactement ce que c’était. Avec l’aide du Maître, mon mari a trouvé des compagnons pratiquants. Après plusieurs discussions, je me suis rendue compte que notre réaction à ma « maladie » ne correspondait pas à la Loi.  Mon mari a emprunté chez des  compagnons pratiquants le livre « Points essentiels pour un avancement diligent» et s'est précipité  à l'hôpital pour me le donner.

Dès que j'ai décidé de reprendre ma cultivation, la situation a tout de suite changé. Le lendemain matin, environ à 7 heures, le médecin en chef est venu pour me dire : « Nous avons parlé de votre cas pendant deux jours, mais nous ne pouvons toujours pas trouver un traitement pour votre maladie. Ainsi, pour la prochaine étape, c’est à vous à décider si vous voulez faire une thérapie ou non. »  Après cela il est parti. À ce moment, je suis tout d’un coup devenue très claire dans ma tête.  J'ai pensé : « Puisqu'il n'y a pas de traitement spécial pour ma maladie, j'arrêterai la thérapie. » En plus, à ce moment-là,  j'étais physiquement très faible et je ne pouvais pas accepter une autre thérapie. Je suis rentrée à la maison le matin même.

Le Maître compatissant m'a offert cette occasion de reprendre la cultivation. Je me sentais comme si je m'étais juste réveillé d'un rêve, et je me suis rendue compte que nous avions agi selon la persécution des forces anciennes. J'ai décidé de me lever et recommencer la vraie cultivation - le Maître ne nous a jamais abandonnés. Si mon mari et moi continuions de nous égarer, comme cela devrait attrister le Maître ? ! Je me rappelais que quelques années avant, quand je pratiquais activement le Dafa, tout allait bien dans ma famille, mon travail et ma vie. Cependant, une fois que nous avons arrêté la pratique, toutes sortes d'ennui sont apparu et tout est devenu imprévisible.

Au cours de la période quand j’ai arrêté la cultivation, en particulier pendant les jours à l'hôpital, le Maître m'a fait maintes fois des allusions.  Cependant, puisque je n'avais pas étudié la Loi pendant une période depuis longtemps, je ne pouvais pas comprendre les choses selon la Loi. Sous la persécution par les forces anciennes, petit à petit je m’approchais du danger de chuter complètement. Au moment où ma situation est devenue la plus critique, le Maître compatissant m'a sauvé. Ma gratitude envers le Maître ne peut pas être décrite ! Je ne pourrai jamais rembourser le Maître pour son énorme compassion.

Après mon retour à la maison, j'ai rapidement obtenu de mes compagnons pratiquants tous les écrits du Maître.  J'ai commencé à étudier diligemment la Loi, et ma santé s’est rapidement améliorée. À travers l’étude de la Loi je me suis rendue compte que tous mes symptômes de maladie n’étaient que des manifestations de la persécution par les forces anciennes. Les forces anciennes n’avaient aucune pitié en me persécutant, et j'ai souffert de la douleur inutilement et j’ai subi des pertes inutiles. Je regrettais énormément de ne pas pouvoir rattraper ces trois années de pertes.  Je regrettais aussi d’avoir enduré la persécution qui m’est arrivée après que j'aie arrêté la cultivation. Je savais que je n’avais plus une minute à perdre ! Par conséquent, à partir de ce moment, j’ai consacré beaucoup de temps à l’étude de la Loi et j’ai mis l’accent sur faire bien les trois choses. J’estime que je m’améliore vite dans la Loi.

Actuellement je fais de mon mieux pour faire bien les trois choses. Je suis guidé par le Maître, je fais de mieux en mieux et  j’abandonne mon égoïsme. Chaque jour je pense tout d’abord comment mieux sauver les êtres et valider la Loi. Bien que je fasse toujours face aux difficultés sur mon chemin de cultivation, notre environnement est devenu de plus en plus favorable pour valider la Loi. À chaque instant je ressens que le Maître prend soin de moi et me guide, ainsi  je peux parcourir mon chemin d’une façon ferme et plus droite.

J’aurais dû écrire avant de cette expérience et utiliser ma propre expérience pour valider la Loi,   puisque le Maître compatissant m'a tout donné. Pourtant, j'ai eu beaucoup d'interférences, et cela m’a pris deux ans avant que je puisse écrire de mon expérience. Au fond de mon cœur je me suis rendu compte que nous n'avons rien sans la Loi.  « La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste.» (« Eliminer les interférences » dans « Points essentiels pour un avancement diligent (II) »


Traduit de l’anglais en Suisse le 17 octobre 2008