(Minghui.org)

Je suis un simple membre de l'équipe de l'hôpital et j'ai tous les jours l'occasion d'interagir avec des patients et leurs familles. Quand je suis avec eux, je détecte clairement les effets de ma forte pensée droite si j'ai été diligent dans l'étude de la Loi. Je peux alors parler facilement avec les patients et leurs familles dans la salle pour les patients, et aborder par divers moyens la clarification concernant le Falun Gong.

Je peux leur parler de la tendance actuelle à renoncer à la carte de membre du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organismes affiliés. Si je n'ai pas étudié sérieusement la Loi et que je n'ai pas été diligent, des interférences vont apparaître. Cela me sera alors difficile de parler aux gens de la vérité concernant Dafa. Les craintes et les inquiétudes vont me submerger et je ne vais pas atteindre le critère de base d'un pratiquant. Parfois je suis calculateur par rapport aux autres, mes attachements à la jalousie, à faire étalage de moi, au zèle et à la compétition, ainsi que le désir de notoriété et de reconnaissance vont devenir très apparents. Je suis alors loin d'offrir le salut aux êtres. J'ai fait l'expérience en direct de l'importance de bien étudier la Loi. Étudier la Loi est pour moi la garantie d'avoir de fortes pensées droites. C'est seulement ainsi que je vais arriver à bien faire les trois choses, comme le Maître le demande. Je pense que les compagnons de cultivation seront d'accord avec moi là-dessus :

Le Maître a dit dans la conférence « Enseignement de la Loi à la capitale des États-Unis » (2007) :

« À part ce que vous, en tant qu’individus, devez traverser, ce que vous devez établir sur votre chemin final vers la plénitude parfaite, la mission la plus importante et aussi la plus grande pour vous, c’est de sauver les gens. »

Lire ce paragraphe m'a fait comprendre plus profondément l'urgence d'offrir le salut aux gens. Nous, pratiquants, devons bien écouter les paroles du Maître ! Nous devons prendre cette tâche comme la chose la plus importante à faire. Bien que ce soit mon travail de faire des injections aux patients et de leur donner des médicaments, ce sont également des êtres qui ont une relation prédestinée avec moi. Je ne dois pas manquer cette occasion qui se présente pour leur offrir le salut. Même s'il n'y a aucune occasion de leur expliquer la vérité, j'émets de fortes pensées droites envers chacun dans la salle : « S'il vous plaît, souvenez-vous que Falun Dafa est bon ! »

Je suis toujours très prévenant envers mes patients et leurs familles. Peut-être leur côté conscient peut-il sentir la compassion que nous, pratiquants, avons cultivé dans Dafa ; car ces gens sont vraiment gentils avec moi. Même si je n'ai rien fait pour eux, ils me remercient et font mon éloge spontanément et sans raison. S'ils font mon éloge, je saisis cette opportunité pour valider Dafa. Lorsque nous échangeons nos points de vue, j'utilise la sagesse que Dafa m'a donnée pour qu'ils aient connaissance du fait de renoncer à leur carte de membre du Parti.

Un patient âgé a souffert d'une hémorragie cérébrale. Sa femme est restée à côté de son lit. Je lui faisais une injection quotidienne, je montrais aussi mon souci en parlant de lui. Un jour, nous avons parlé de la nourriture. J'ai dit qu'aujourd'hui, nous devrions manger moins de porc. J'ai illustré mes propos en parlant de la nourriture actuelle contenant des additifs ; du PCC qui fait que les gens pensent que l'existence des divinités est une superstition ; que le PCC interdit aux gens de croire que les bonnes actions entraînent le bien et que les mauvaises actions entraînent le mal ; que le PCC ne tient aucun compte de la moralité et presse les gens à mettre les gains financiers comme prioritaires. Un des aspects de cette folie pour des gains financiers, ce sont les fermiers qui nourrissent les porcs avec de la nourriture enrichie en hormones de croissance. Ces substances chimiques contiennent des éléments toxiques et des substances qui endorment. La consommation de viande de porcs nourris avec un tel régime fait du tort aux êtres humains. La femme du vieil homme a fait le commentaire que le PCC était devenu vraiment pervers maintenant. Je lui ai parlé de la tendance à renoncer à sa carte de membre du PCC, pour s'assurer son propre salut puisque le PCC est destiné à être détruit. C'est avec joie qu'elle a été d'accord de renoncer à sa carte de membre du PCC.

J'ai offert de lui donner une copie du livre Neuf commentaires sur le Parti communiste, mais elle avait déjà une copie. J'ai pensé que mes compagnons de cultivation avaient bien travaillé puisque cette femme avait déjà une copie. Cette vieille femme avait très probablement entendu parler ou lu la vérité sur le Falun Gong. Maintenant que l'occasion était mûre, avec l'arrangement du Maître, j'étais là pour aider ces deux personnes âgées à renoncer à leur carte de membre du PCC. Nous, pratiquants, ne devons pas être attachés au résultat lorsque nous clarifions la vérité ou encourageons les gens à abandonner leur carte de membre du PCC. Nous ne devons pas chercher des résultats immédiats, nous devons mettre notre coeur dans ce que nous faisons et que nous devons faire. Ceux qui sont dignes d'être sauvés seront alors sauvés finalement.

La vieille femme m'a aussi dit au cours de notre conversation qu'elle avait lu le livre « Zhuan Falun » il y a longtemps. Elle a dit que le livre était très bien écrit et elle m'a aussi dit qu'elle était chrétienne. Je lui ai suggéré de relire attentivement encore une fois le « Zhuan Falun » et je lui ai dit de ne pas manquer cette relation prédestinée qui ne vient qu'une fois dans une vie. J'ai promis de lui donner une copie du « Zhuan Falun ». Elle a acquiescé avec joie. J'ai fait un voyage spécial à l'hôpital pour lui donner le livre afin qu'elle puisse étudier la Loi un jour plus vite, quelques jours avant qu'elle accompagne son mari sortant de l'hôpital. En chemin, j'ai pensé que ce serait bien si elle se trouvait près de la fenêtre ; car je n'aurais pas à entrer dans la salle. J'ai levé la tête et je l'ai vue à la fenêtre en train de suspendre quelques habits. La joie que j'ai ressentie était immense et difficile à décrire. Je sais que c'est notre Maître bienveillant qui m'encourage et m'aide tout du long.

Lorsque nous prenons le bon chemin pendant la rectification par la Loi, le Maître peut nous aider pour tout. Une fois encore, j'ai eu une compréhension plus profonde de « La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première leçon – Zhuan Falun)

J'ai encore plusieurs défauts à m'occuper pendant ma cultivation, mais je comprends que valider Dafa et sauver les êtres sont mes missions sacrées. Je vais continuer à prendre la Loi pour guide lorsque j'offre le salut aux êtres et à accomplir mon serment préhistorique. Maître, soyez-en assuré !

Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !


Traduit de l’anglais en Suisse le 16 février 2008