(Minghui.org)

Le parti communiste chinois (PCC) n'a épargné aucune ressource pour faire des Jeux Olympiques de Pékin une restauration de son image. En même temps, l'attention des médias internationaux et des gouvernements inquiète le PCC, comme il craint que les crimes qu'il a commis ne soient dévoilés, particulièrement sa persécution brutale des pratiquants de Falun Gong et ses violations des droits de l'homme.

Le PCC a omis de remplir plusieurs des engagements pris lorsqu'il a présenté sa candidature pour accueillir les Jeux Olympiques. En outre, il a employé les Jeux Olympiques pour amplifier ses violations des Droits de l'Homme. Avec les Jeux Olympiques comme excuse, le PCC a arrêté un grand nombre de pratiquants de Falun Gong, de croyants religieux, de pétitionnaires, et de minorités ethniques (Tibétains et Uyghurs). Bien que le PCC ait été forcé de débloquer quelques sites Web basés à l'étranger sous la pression internationale, de nombreux sites Web édités par des Chinois d'outre-mer demeurent bloqués, en particulier les sites Web en lien avec le Falun Gong. C'est une autre manifestation de la peur du PCC de voir la vérité au sujet de la persécution dévoilée et de son hostilité envers les citoyens chinois.

Le plus grand groupe d'«utilisateurs du Web de seconde classe»

Le libre flux de l'information protège le droit de savoir des gens. En période de désastre, tel que le tremblement de terre du Sichuan en mai 2008, l'information pouvait affecter leur survie. Il y a plus d'utilisateurs du Web en Chine qu'en n'importe quel autre pays dans le monde, mais la Chine abrite également la censure du Web la plus étroite du monde. Selon des rapports, le gouvernement chinois a dépensé des centaines de milliards de yuans pour la censure d'Internet en 2007. En 2008, les dépenses seront encore plus élevées. Le but du gouvernement chinois, naturellement, est de contrôler les pensées et l'opinion publique du peuple chinois. À la différence de la plupart des utilisateurs du Web dans le monde, les utilisateurs du Web chinois ne peuvent pas exprimer librement leurs pensées ou visiter librement des sites Web de partout dans le monde. De même que les paysans sont des «citoyens de seconde classe» en Chine, les utilisateurs du Web chinois sont également «les utilisateurs du Web de seconde classe» du monde.

Les médias internationaux ont largement rendu compte des aspects frauduleux des jeux de Pékin, y compris le play-back pendant la cérémonie d'ouverture, l'incrustation d’images numériques des feux d'artifice, et les gymnastes mineures. Les utilisateurs du Web chinois ont également exprimé leur désaccord ou leur colère au sujet du play-back pendant la cérémonie d'ouverture. Cela s'est conclu par l'inquiétude du PCC. En conséquence, il a ordonné que la police d'Internet intensifie son contrôle du Web en Chine, interdise strictement toute critique au sujet des jeux, supprime toute voix dissidente, et continue à répandre sa propagande pour tromper le peuple chinois.

Le PCC a non seulement peur du droit de savoir du peuple chinois, mais également que le monde ne prenne connaissance de la véritable situation en Chine. Il a strictement interdit aux Chinois d'accepter des interviews avec les médias étrangers.

La «restauration olympique» de l'image du PCC a été troublée par la tricherie, les violations des droits de l'homme, et la suppression de la liberté. Sa couverture est déchirée morceau par morceau. Sa nature monstrueuse se dévoile de plus en plus à la communauté internationale.

L'augmentation de commentateurs Web pour «guider» l'opinion publique

La dictature et le contrôle du PCC sur le peuple se basent sur deux choses : les armes et les stylos. Dans la censure d'Internet, les deux s'appliquent aussi. Le PCC a récemment augmenté le nombre de commentateurs basés sur le Web pour «guider» le public. Ces commentateurs sont surnommés «cinquante cents» parce qu'ils sont payés cinquante cents pour chaque commentaire en ligne qu'ils postent en soutien au gouvernement. Ces commentateurs dressent le portrait d'une illusion pacifique pour le PCC et utilisent les théories déformées du PCC pour confondre l'esprit des gens. Ils utilisent «l'intérêt national» pour justifier le comportement du PCC. Ce soi-disant «intérêt national» n'est en fait rien d'autre que «l'intérêt du PCC». Le PCC a eu une longue histoire de confusion des concepts de PCC et de Chine en tant que nation. Il a toujours dit : «L'intérêt du PCC est primordial».

Tricher en soi est mal. S'en faire une gloire est encore plus ignoble.

Continue à cacher ses crimes

Le PCC n'a pas changé sa nature et a continué à cacher la vérité pour tromper la communauté internationale.

Pendant les Jeux Olympiques, plus de 20.000 journalistes étrangers se trouvaient à Pékin. Le 3 août, le Centre d'Information de Falun Dafa a publié un article : «Derrière le spectacle olympique : Circuit guidé de la persécution à Pékin à l'usage des journalistes ». La publication de l'article a rendu le PCC extrêmement nerveux, craignant que la vérité de la persécution contre le Falun Gong ne soit dévoilée par les journalistes internationaux. Pour cacher les faits, le PCC a déplacé les pratiquants déterminés de Falun Gong actuellement illégalement détenus dans Pékin vers d'autres villes, y compris les camps de travail de la province de Shanxi, en Mongolie Intérieure, et dans la province de Liaoning. Ceux qui restent dans les camps de travail et les prisons de Pékin sont ceux qui ont été soumis au lavage de cerveau, forcés à abandonner leur foi, ou ceux qui chantent le même air que le PCC. Si les journalistes étrangers visitent les camps de travail et les prisons de Pékin maintenant, ils seront sans aucun doute trompés.


Traduit de l’anglais le 26 aout 2008