(Minghui.org)

Mon fils a commencé à lire "Zhuan Falun" quand il avait 5 ans, un ou deux paragraphes par jour ou trois à quatre paragraphes quand il avait un bon xinxing. Il a presque 6 ans maintenant et peut reconnaître la plupart des caractères dans le livre. Il a appris ses caractères en lisant Zhuan Falun. Même quand il avait 3 ans, ma femme lui montrait les caractères et les lui lisait. Aujourd’hui, nous lisons tous les trois, trois à quatre pages de Zhuan Falun chaque soir et mémorisons deux poèmes de Hong Yin. De plus, mon fils suit le VCD des exercices avec les instructions du Maître et fait tous les exercices debout du lundi au vendredi. Les week-ends il fait l’exercice assis pendant 20-30 minutes.

En comparaison de l’année passée, mon fils a une meilleure compréhension des principes de la Loi et est devenu ferme dans sa cultivation. Il fait aussi les trois choses. Cependant, en grandissant, son esprit devient plus compliqué. Il a pris de mauvaises habitudes en classe et est parfois très en colère. Quand sa nature démoniaque prend le dessus, il n’est pas très respectueux envers Dafa. Il se met en colère et donne un coup de poing sur le bureau quand on lui rappelle de s’asseoir correctement et de bien faire les exercices. Pendant longtemps, nous ne savions pas quoi faire. Soit nous lui crions dessus, lui donnions la fessé ou n’avions plus d’espoir en lui, mais nous savions que ce n’était pas juste.

Nous nous sommes posés la question: "Quand nous pensons que notre fils ne se comporte pas bien, est-ce que nous le considérons selon notre propre perspective ? Est-ce que nous sommes nous-mêmes en accord avec la Loi ? Comment est-ce que le Maître nous traite quand nous avons de forts attachements ? Est-ce une punition conséquente ou beaucoup de compassion qui nous a touché aux larmes et motivé à avancer plus diligemment ? " En fait, mon fils a été capable de finir les cinq séries d’exercices chez d’autres pratiquants. J’y ai beaucoup pensé et ai découvert que l’état de mon fils était un reflet de mes propres attachements. Quand j’ai l’esprit pur, mon fils est un très bon pratiquant.

1. Avoir foi en Maitre

La grand-mère de mon fils était contre le fait qu’il fasse les exercices. Elle avait peur qu’à cause de sa mentalité de se faire remarquer, il dise quelque chose qu’il n’est pas supposé dire à l’école et cause des problèmes. Aussitôt qu’elle le voyait faire les exercices ou étudier la Loi, elle lui demandait de faire autre chose. Parfois elle était très sévère avec lui. Donc, mon fils fermait la porte quant il faisait les exercices. Quand sa grand-mère rentrait dans sa chambre, il s’arrêtait. Plus tard, je lui ai demandé : "Quand tu avais peur, as-tu pensé au Maître ? " Il a dit qu’il avait oublié. Quelques jours plus tard, il a recommencé. Je lui ai rappelé d’appeler le Maître. Il a dit qu’il n’était pas sûr que ce soit utile. Je lui ai tenu la main et ai dit : "Comment sais-tu si ça ne marchera pas puisque tu n’as même pas essayé ? " Il était d’accord d’essayer la prochaine fois mais il voulait que je sois là.

Un jour alors qu’il faisait les exercices, la porte s’est brusquement ouverte. Mon fils m’a regardé d’un air craintif. Sa grand-mère se tenait à la porte. Je lui ai fait signe de continuer. Elle s'est dirigée vers lui et s'est tenue derrière lui. Ses jambes tremblaient et il était sur le point de baisser les bras. Il s’est retourné pour me regarder. Je lui ai rappelé d’appeler le Maître. Alors il se tenait de toute sa hauteur et détendu. Sa grand-mère n’était pas en colère et souriait: "Oh, tu es plutôt dévoué. Je ne t’embêterais plus. Continue de pratiquer." Mon fils était très excité. Il est arrivé à comprendre ce que cela veut dire d’avoir foi en Maître.

La grand-mère de mon fils est médecin. Quand il était malade, elle pensait qu’il devait prendre des médicaments. Chaque fois qu’il avait le karma de maladie, mon épouse et moi avons envoyé des pensées droites pour éliminer l’interférence. Quand cela ne faisait pas tout de suite de l’effet, sa grand-mère le forçait à prendre des médicaments, en utilisant des bonbons et des jouets comme appats ou en lui faisant peur en le menaçant de ne pas l’emmener dehors pour jouer. Nous lui avons parlé et demandé de penser à ce qu’est véritablement la cultivation et ce que la maladie veut dire pour des pratiquants et lui rappeler de se souvenir du Maître quand il était sous la pression de sa grand-mère.

Le deuxième jour, il a dit à sa grand-mère qu’il n’était pas malade et en même temps il a pensé au Maître. Grand-mère n’a plus insisté. Cet incident a encore plus augmenté sa foi en Maître. Il y a quelques jours de ça, mon fils était seul à la maison quand il y a eu une coupure de courant. Quand nous sommes arrivés chez nous, il était tout excité de nous dire que le Maître lui avait donné un test en le laissant seul dans une pièce noire. Il a dit qu’il n’avait pas eu peur parce qu’il avait le Maître à l’esprit. Le fait d’avoir foi en Maître s’était fermement enraciné dans son esprit.

Nous pensons que tout ce qui est arrivé à notre fils a quelque chose à voir avec notre cultivation. Nous avons eu plusieurs disputes avec ma mère sur de telles questions pendant longtemps. Quand nous pouvons rester calmes et que mon fils garde une croyance ferme, toute interférence disparaît. Cela est vraiment un exemple de "la cultivation dépend de soi-même, tandis que la transformation du gong dépend du Maître. " (Zhuan Falun)

1. Etudier la Loi

Notre fils a étudié la Loi avec nous pendant plus de deux mois. Au début, il faisait heshi devant le portrait du Maître avant que nous ayons commencé et était très attentif en lisant la Loi. Après un certain temps, il s’est relâché. Il prêtait seulement attention quand lui lisait mais était absent quand les autres lisaient. Il était en colère quand on lui rappelait de rester concentré. Nous avons gaspillé beaucoup de temps avec ça, ce qui était frustrant. Un jour, je me suis calmé et ai vraiment regardé à l’intérieur pour voir ce qui nous ennuyait. Je me suis demandé si nous considérions l’éducation d’un jeune pratiquant comme une tâche afin de satisfaire nos propres besoins ; une fois que nous avons accompli la tache de lui enseigner la Loi, nous l’envoyons au lit et nous pouvons faire autre chose. Notre égoïsme était reflété quand il prêtait seulement attention quand c’était à son tour de lire.

2. Produire des documents informatiques

Par le passé, nous fabriquions des documents clarifiant les faits quand mon fils était endormi parce que nous craignions qu’il ne dise aux autres ce que nous étions en train de faire. Par conséquent, nous étions très limités. Un compagnon de pratique a suggéré que notre fils participe. Notre fils était très content quand nous l’avons invité à se joindre à nous donc nous lui avons demandé de remercier le Maître pour ça. C’était la chose la plus excitante qu’il puisse faire, plus excitant que de regarder des dessins animés ou jouer aux jeux d’ordinateur. Il est devenu très expérimenté pour graver des CD. Il le faisait tout en chantant des chansons de Dafa. Il était adorable et pur quand il travaillait.

Récemment, il s’est relâché Quand il a le temps, il regarde des VCD pour enfants et joue aux jeux d’ordinateur et ne veut pas faire des documents. J’ai réalisé que je ne me cultivais pas bien. Beaucoup d’interférences m’ont empêché de faire attention à lui. Parfois je l’ai forcé à éteindre les programmes pour enfants qu’il regardait. Il s’est rebellé. Nous ne passions pas vraiment beaucoup de temps avec lui. Il était tellement content quand nous nous sommes assis pour lire avec lui, faire des puzzles en bois, raconter des histoires avec lui mais nous ne pouvions pas faire cela trop souvent. Nous continuions de lui dire : "Tu es un petit pratiquant et différent des autres enfants. Nous n’avons pas beaucoup de temps pour jouer avec toi mais tu devrais abandonner tes attachements au jeu. " Il était d’accord mais voulait toujours jouer un peu plus.

Quand il se conduit mal, nous avons tendance à le gronder, à lui donner la fessée ou à envoyer des pensées droites. Cela marche parfois. Cependant, parfois cela a même l’effet contraire. À ces moments là, nous oublions de nous cultiver nous-mêmes. Nous oublions qu’"en tant que pratiquant, la première chose que vous devez être capable de faire est de ne pas rendre la pareille quand on vous frappe ou vous insulte—vous devez être tolérant. Autrement, quel genre de pratiquant êtes-vous ? " (Zhuan Falun)

Quand nous voulons seulement changer les autres au lieu de nous mêmes, c’est la manifestation des êtres de l’ancien univers, chose que nous devons corriger. Il y a aussi les sentiments impliqués : "Tu es mon fils. Je t’ai élevé et je te pousse à étudier et à faire les exercices pour ton bien. Tu dois m’écouter. " Pense à ce que le Maître a fait pour nous et Sa compassion. Pense à ce que le Maître a dit :

"Je dis souvent que si quelqu’un peut ne prendre que le profit d’autrui comme objectif, et ne garder aucun but personnel ni aucune compréhension personnelle, ses paroles pourront faire pleurer ses interlocuteurs. Je ne vous ai pas seulement enseigné Dafa, mon comportement est aussi destiné à vous être laissé, au cours du travail la manière de parler, le cœur de bonté ajouté à la raison peuvent changer le cœur des gens, mais un ordre n’y arrivera jamais ! " ("Lucidité" dans Point essentiels pour un avancement diligent)

Nous devons nous éveiller et nous cultiver nous-mêmes sur la façon d’élever notre enfant. Quand les enfants se conduisent mal et nous rendent nerveux, nous devrions chercher ce qui touche nos cœurs et nous devrions nous calmer. Nous devrions communiquer avec nos enfants plus souvent et les encourager à pointer ce que nous n’avons pas bien fait. Quand nous pouvons nous élever dans la Loi la conduite de nos enfants est normalement bonne.

Ce qui précède sont mes expériences de cultivation personnelle. Je vous prierai d’indiquer tout ce qui est inapproprié.

Traduit de l’anglais le 11 janvier 2009