(Minghui.org)

Mon mari est un agent de police

Mon mari est agent de police. Il me soutient beaucoup dans ma pratique du Falun Gong. Quand la persécution a commencé en 1999, il m'a encouragée à être ferme. Quand j'ai commencé à distribuer des dépliants et des affiches qui clarifient les faits sur le Falun Gong, j'avais un peu peur. Il a mis son uniforme de policier et a dit: « Viens, on y va. Je vais t'accompagner. » Bien que ses parents soient malades, notre enfant doit aller à l'école et nous ne sommes pas très à l'aise financièrement; à chaque fois que j'ai eu besoin d'argent pour les prospectus, il a été très généreux. Après mes sorties pour clarifier les faits et persuader les gens à renoncer à leur adhésion au PCC, il s'inquiète et me demande toujours : « Combien de personnes ont renoncé à leur adhésion aujourd'hui? » Après le travail, il vient dans la cuisine pour aider. Il lui arrive de dire: « Laisse-moi prendre la relève. Tu dois allez envoyer les pensées droites. C'est le moment. »

Les mots d'un responsable d'un commissariat de police prononcés en toute confiance

Mon entreprise est située tout près du commissariat de police du district de Xia. Au cours de mon travail, j'ai eu parfois à faire avec les policiers de ce commissariat. Je connais bien le responsable du commissariat.

Mon frère, ma belle-sœur et ma sœur et de nombreux membres de la famille sont tous des pratiquants de Falun Gong. J'ai lu Zhuan Falun, mais je n'avais pas encore commencé à cultiver. Après avoir pris ma retraite, sous l'influence de mon frère et de ma soeur, j'ai commencé à pratiquer le Falun Gong. J'ai perdu ma mauvaise habitude de fumer et de boire la nuit. J'ai lu les livres du Falun Gong et je n'avais pas envie de les poser. Ma santé physique s'est améliorée de façon spectaculaire.

Un jour, je suis passé au commissariat de police. À l'entrée, j'ai rencontré le responsable de la police. Il m'a demandé à haute voix, « Qu'est-ce que vous faites en ce moment? Comment se fait-il que je ne vous vois plus depuis quelque temps? »

J'ai répondu à haute voix, « Je pratique le Falun Gong. Rassemblez rapidement vos agents et permettez-moi de leur donner une conférence sur le Falun Gong. » Il m'a fait signe de la main et a nerveusement jeté un coup oeil autour de lui. « Entrez. Parlez plus bas. Entrez, venez et asseyez-vous dans mon bureau. »

Doucement il m'a demandé: « Avez-vous vraiment commencé à pratiquer le Falun Gong? » J'ai répondu « oui! ». « Comment ça s'est passé? » a-t-il demandé. Je lui ai dit sérieusement, « J'ai arrêté de passer mes nuits à fumer, à boire et à jouer. Ma tension artérielle et ma maladie cardiaque ont guéri rapidement. Si vous lisez les livres du Falun Gong, vous comprendrez pourquoi les pratiquants de Falun Gong sont très fermes. Quelle loi le Falun Gong a-t-il enfreint? Aucune! Récemment, dans tout le pays, des avocats intègres ont commencé à défendre les pratiquants de Falun Gong. Il n'y a pas une seule loi dans la constitution chinoise qui interdise le Falun Gong. Ce que le Falun Gong fait est totalement conforme à la loi et toute la persécution est contre la loi et est même considérée comme un crime. »

À ce moment-là, le chef est allé doucement vers la porte de son bureau. Déjà fermée, il l'a tirée fermement pour s'assurer qu'elle soit bien fermée. Puis, confidentiellement, il m'a dit doucement, « Bientôt je vais prendre ma retraite. Après mon départ, vous viendrez chez moi. Vous me direz tout ce que vous savez à propos du Falun Gong et de sa situation. » J'ai répondu à haute voix, « Oui monsieur! »

Je me suis senti très réconforté. Un être de plus a été sauvé.

Traduit de l'anglais au Canada le 29 décembre 2008