Le personnel de ‘The Epoch Times’, le 17 janvier 2009

«La diversité et la variété de ce spectacle est énorme», a déclaré M. Evans. (The Epoch Times)


MONTREAL--« La diversité et la variété de ce spectacle est énorme » explique avec enthousiasme M. Evans, le PDG d'une grande entreprise, après avoir vu le spectacle de la tournée mondiale de Divine Performing Arts 2009 qui a joué à la Place des Arts de Montréal à guichet fermé.

M. Evans, qui dirige l’une des plus grandes entreprises au Canada et un géant mondial dans le secteur des ressources, a déclaré qu'il avait été de nombreuses fois en Chine. « Je pense qu'il est extrêmement facile pour nous en Amérique du Nord, si nous n'avons jamais été là, de penser que toute la Chine est [identique]... Tout le monde s'habille de la même façon, tout le monde se ressemble, a les mêmes croyances. Mais c'est vraiment très différent. »

« Cela renforce ce que je pense, parce que vous venez de voir la variété. Et ce n'est qu’une très petite sélection! »

M. Evans a déclaré que son tableau favori parmi les danses a été la «Danse ethnique des Yi».

«Elles sont très colorées et merveilleuses», dit-il.


Les Yi, un des plus grands groupes ethniques les plus nombreux du sud de la Chine, est reconnu pour sa passion pour la musique et la danse. Ils saisissent chaque occasion pour danser leurs émotions de la vie quotidienne. Les danseuses dans cette scène pirouettent tandis que les jupes de soie de couleur arc-en-ciel reflètent l’esprit joyeux de la danse.

« Je pense que probablement, «Le Triomphe du Roi des singes» [est ce que] j’aime le plus. Et peut-être parce que c’est une harmonie entre les hommes et les femmes ... dansant. Et il a aussi la danse, la musique, un peu de comédie et une histoire en effet.
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« Le Triomphe du Roi des singes » est un tableau basé sur un passage du roman Pèlerinage vers l'Ouest, une des œuvres littéraires les plus prisées en Chine. Le protagoniste, un moine bouddhiste, voyage vers l'Inde à la recherche des canons sacrés et est accompagné par un ogre, un cochon et le prodigieux Roi des singes. En chemin, un démon transformé en tentatrice veut lui tendre un piège. Le scénario reflète le mélange entre le surnaturel, la morale et le mondain, si communs au roman traditionnel chinois »

M. Evans a dit qu’il a aussi apprécié la danse tibétaine.

Indomptés par la neige et les éléments, les hommes dans la « Danse sur les montagnes enneigées » célèbrent vigoureusement les joies des steppes tibétaines alors qu’ils vrillent, sautent et marchent dans un signe de bienvenue. Dans « Les percussionnistes de Dragon Springs » les danseurs exécutent des acrobaties aériennes étonnantes exprimant l’esprit enjoué de la culture folklorique chinoise qui prend vie avec un rythme irrésistible de danse au son des tambours octogonaux.



Les performances de Divine Performing Arts mettent en vedette les 5.000 ans riches d’histoire de Chine par le biais de la danse classique chinoise et les performances vocales.


« Manifestement, il y a aussi, je crois, un idéal, un message. D’une certaine façon cela représente la liberté et certainement dans l'une des scènes au sujet de la persécution, il y a un message très clair sur les préoccupations qui subsistent en Chine sur les droits et libertés et les croyances religieuses. »

L’une des danses du spectacle « Persécuté sur un chemin sacré » raconte le récit d’un père qui est persécuté parce qu’il pratique le Falun Gong. Les scènes fantastiques qui se déploient finalement dans ce numéro envoient un message d’espoir et font écho à la croyance chinoise que les bonnes personnes sont toujours récompensées, même si ce n’est pas dans cette vie actuelle.

Source http://en.epochtimes.com/n2/content/view/10485/

Traduit de l'anglais au Canada le 19 janvier  2009