(Minghui.org)

Madame Shangwan Liu, une étudiante chinoise en biologie à l’université McGill, a trouvé les danses superbes

Samedi, la cité des arts du Canada, Montréal, a accueilli la deuxième représentation à guichets fermés de la Divine Performing Arts (DPA), une compagnie de danse basée à New York qui se consacre à relancer les arts traditionnels du spectacle chinois.

« Les danses étaient superbes. Les couleurs des costumes sont magnifiques. Le fait de porter de si beaux costumes vous donne l’impression d’être au ciel » a dit madame Shangwan Li, une étudiante chinoise en biologie de l’université McGill, qui s'exprimait en mandarin.

Elle a ajouté : « J’ai ressenti que c’était magnifique. Les scènes étaient fantastiques et divines. »

« Je n’ai jamais vu de telles représentations en Chine continentale. Là-bas, je peux seulement voir de la danse, mais je n’ai jamais ressenti quelque chose de spécial. Mais aujourd’hui les danses étaient très spéciales. Elles racontent les histoires, la culture et les arts de la Chine. C’est très spectaculaire, et on ne peut pas voir ces mouvements dans les danses occidentales. »


Les danses de la DPA sont basées sur la danse classique chinoise et comprennent de nombreuses danses ethniques et folkloriques. En plus de passer par une formation professionnelle intensive pour maîtriser les techniques de la danse, les danseurs doivent aussi comprendre et imprégner leurs danses des résonances profondes de la culture traditionnelle chinoise. En conséquence, ils sont en mesure d’apporter la bonté et la beauté de la culture chinoise et de la faire vivre sur la scène, et permettre au public de différentes origines ethniques de voir l’authentique esprit de la culture chinoise.

Madame Liu a dit qu’elle avait aimé la présentation de la toile de fond en trois dimensions et la présence de l’orchestre.

« En raison de la limitation de la scène, il est impossible de présenter les divinités s'envoler au ciel sans la toile de fond. J’ai aussi aimé la présence de l’orchestre. Il y a des instruments de musique orientaux et occidentaux qui se marient ensemble. La scène la plus émouvante a été « Persécuté sur un chemin sacré » dans laquelle une famille de trois personnes est battue par trois policiers pervers. C’était tellement réel que j’ai eu envie de pleurer. »

La danse « Persécuté sur le chemin sacré » montre que l’oppression est une réalité pénible pour des millions de personnes en Chine aujourd’hui, comme en témoigne une famille innocente dont le père est persécuté pour avoir pratiqué le Falun Dafa, une discipline spirituelle traditionnelle. C’est le côté humain des tragédies de ces innombrables vies brisées en Chine dont nous entendons rarement parler. Les scènes fantastiques qui se déroulent en fin de compte dans ce morceau présentent un message d’espoir et reflètent la croyance millénaire des chinois selon laquelle les bonnes personnes seront finalement récompensées, même si ce n’est pas dans cette vie.

Madame Liu a dit avec émotion : « Grâce au spectacle de la Divine Performing Arts, j’ai vu la culture et la tradition chinoise. Je pense que ces traditions et ces cultures doivent être transmises. »

« Ce serait formidable si mes parents pouvaient voir cela. Je me demande si ma famille en Chine continentale peut voir le spectacle. J’espère que les membres de ma famille en Chine et tous les chinois pourront voir ce spectacle. »

Elle a ajouté : « Le calendrier du spectacle me dit qu’ils étaient à Ottawa, à Toronto et dans d’autres villes au cours des dernières semaines, ils travaillent très fort, ne prennent pas de pause même pendant les vacances du Nouvel An. »

À la fin, elle a transmis ses remerciements aux artistes.

La Divine Performing Arts donnera sa dernière représentation à Montréal dimanche, avant de se rendre au célèbre Radio City Music Hall de New York.

Traduit de l'anglais au Canada le 20 janvier 2009