(Minghui.org)

23 janvier 2009

WESTCHESTER, NY – Monsieur Dworkin, un chef d’orchestre de renom, clarinettiste et pédagogue, a été « très très impressionné » quand il a vu le Chinese New Year Splendor le 23 janvier au Performing Arts Center, Purchase College, SUNY.

Monsieur Dworkin : « Elle est une merveilleuse chef d’orchestre. » (Dai Bring/La Grande Époque)

Il a dit : « Très impressionnant, ma femme est aussi très impressionnée, ajoutant qu’il avait trouvé que la représentation était de « niveau mondial. »

Monsieur Dworkin a été particulièrement impressionné par la chef d’orchestre, Ying Chen, remarquant les habilités dont elle avait besoin pour coordonner l’orchestre avec les danseurs.

« Je n’ai pas fait beaucoup de danse mais je respecte beaucoup cette chef d’orchestre. Il a dit lorsque l’on conduit un orchestre qui accompagne de la danse, vous devez avoir encore plus de compétences. « Parce que vous devez être cohérent avec le tempo (temps et vitesse) et si vous ne l’êtes pas, les danseurs vous le diront. Croyez-moi, ils vont vous le dire ! »

« Donc, si conduire un orchestre qui travaille avec la danse est difficile, travailler un opéra est aussi difficile parce que vous travaillez avec des chanteurs et c’est très flexible, mais ceci doit être là et très cohérent. Elle est une merveilleuse chef d’orchestre. »

Monsieur Dworkin sait. Il a expliqué : « Je suis un musicien, j’ai fait de la musique toute ma vie, Je suis un chef d’orchestre et un clarinettiste. J’ai enseigné à l’école de musique de Manhattan depuis de nombreuses années, dirigeant la musique de chambre de clarinettes et j’ai joué avec le ‘Metropolitan opera pendant environ 36 ans. » Il a travaillé avec des sommités classiques tels que Herbert Von Karajan, Karl Boehm, Zubin Mehta, James Levine, Sir Colin Davis, et Erich Leinsdorf.

« Je pense que c’est une représentation de niveau mondial. Je le pense vraiment. »

Monsieur Dworkin, diplômé de Juillard School et de l’université de Columbia, a dirigé l’orchestre symphonique du New Jersey, du Vermont et de Manhattan et est le chef d’orchestre attitré du Phiharmonie de L’Hudson depuis 15 ans.

Monsieur Dworkin a fait l’éloge de tous les aspects du spectacle, notant en particulier l’habilité des danseurs. « Il y a beaucoup de discipline » il a dit : « Les danseurs hommes ont un mélange de grâce et de force. C’est tout simplement magnifique et les danseuses se déplacent d’une manière différente… mais là encore, c’est magnifique. »

« (La) chorégraphie est bonne, l’imagerie est merveilleuse, les costumes, je pense que c’est un spectacle de niveau mondial. Je le pense vraiment. »

Monsieur Dworkin a un intérêt particulier dans la musique et les mouvements. Il a remporté un prix pour son populaire programme de remise en forme. « Conductorcise » qu’il décrit comme « une représentation symphonique, une leçon d’histoire de la musique et une séance d’entraînement aérobique, tout en un. »

Il a dit : « Les recherches ont démontré que la musique classique est bénéfique pour le bien-être, que les spectateurs qui ont vu The Splendor vont en récolter les fruits. Ils ne le savent pas, les spectateurs, mais c’est une ouverture de leurs artères, c’est un fait ce qui les rend mieux physiquement juste à écouter et à voir ce spectacle. »


Monsieur Dworkins a également reconnu que les contes de la culture traditionnelle chinoise dans le spectacle, en notant l’intérêt positif pour tous les âges.

« Oh ! Les histoires sont magnifiques ! Parce que, bien, elles vous donnent un aperçu de la philosophie, je pense, du Falun Gong, dans le respect des uns et des autres et de la bonté des gens, et de la vie après. Tout cela… est un bon exemple pour les jeunes et les vieux. »

Source: http://en.epochtimes.com/n2/content/view/10797/

Traduit de l'anglais au Canada le 26 janvier 2009