(Minghui.org)

La persécution de Falun Gong dure depuis dix ans, les pratiquants de Falun Gong de Chine ont en conséquence terriblement souffert sous la politique de Jiang de ''Détruisez leur réputation, ruinez-les financièrement, et annihilez-les physiquement''. Les organes policiers et judiciaires de Chine ont condamné nombre de personnes innocentes aux camps de travaux forcés sans aucune procédure légale, ce qui a conduit à des blessures, voire des morts.

Jiaozhou, une ville de la province du Shandong, est un exemple qui révèle les crimes que le parti communiste chinois a commis envers les pratiquants de Falun Gong.

Une persécution psychologique inhumaine

Au cours des deux premières années de la persécution, Liu Xuedong, à l'époque, chef du comité politique et judiciaire de la ville de Jiaozhou et Xu Fatian, chef adjoint, ont organisé l'arrestation, la détention et les abus des pratiquants locaux. Avec Yang Wenfu, chef du bureau des appels de la ville de Jiaozhou, ils ont établi un centre de lavage de cerveau dans le village de Nantan et ont placé Gao Liangyi à son commandement. Les deux années suivantes, 70 à 80 pratiquants ont été détenus au centre de lavage de cerveau, pour s'être rendus à Beijing y faire appel. Parmi ces pratiquants : Han Xiuting, Wei Huayu, Lu Lian, Wan Ailing, Li Hua, Liu Meiqin, Xian Yezhi, Guan Fengbao, Di Xinming, Wang Weihe, Liu Fuxi, Zhang Xiulan, Gao Zhen, Sun Xihong, Zhang Lei, Zhao Congyi et d'autres. Les persécuteurs ont promis de libérer tous ceux qui rédigeraient des déclarations promettant d'abandonner la pratique de Falun Gong, et ont aussi menacé de maintenir la détention des personnes fermes dans leur foi. En détention, les pratiquants ne recevaient qu'un petit pain cuit à la vapeur à chaque repas, mais ils devaient quand même payer un droit de 50 yuans par repas.

Après avoir échoué à faire succomber quiconque sous la pression du centre de lavage de cerveau, les autorités locales ont commencé à envoyer de plus en plus de pratiquants dans des hôpitaux psychiatriques. Ils ont placé Mme Tan Guihua dans un hôpital psychiatrique dès septembre 1999. Xu Yanzhong et Kuang Bencui faisaient également partie de la dizaine de pratiquants forcés à recevoir des drogues et des injections nocives dans des hôpitaux psychiatriques lors des premières années de la persécution. Ces pratiquants y ont été détenus pendant des périodes allant de trois mois à une année entière. Alors qu'ils souffraient dans ces hôpitaux, leurs familles devaient payer 1.500 à 1.800 yuans pour les dépenses médicales et courantes pour chacun d'entre eux.

A cette époque, le site Web Minghui/Clearwisdom a publié de nombreux rapports détaillés des mauvais traitements et des abus sur les pratiquants de Falun Gong dans les hôpitaux psychiatriques. Deux anciens Rapporteurs Spéciaux des Nations-Unies sur la torture, Sir Nigel Rodley et M. Theodoor Cornelis van Boven, ont une fois sévèrement critiqué la pratique du régime communiste de torturer les pratiquants de Falun Gong. L'un des rapports de Sir Nigel Rodley mentionnait spécifiquement les trois pratiquants suivants de Jiaozhou.

"255. Xu Yanzhong, de Jiaozhou, province du Shandong a été, selon le rapport, envoyé à l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou le 25 avril 2000, pour avoir pratiqué Falun Gong. On rapporte qu'il a été attaché et forcé à prendre des médicaments et des injections dans les dix jours qui ont suivi. On rapporte que M. Xu a souffert de mauvais traitements physiques et psychologiques. Les injections l'ont conduit à souffrir de faiblesse générale, de nervosité, de dépression et de difficultés à ouvrir les yeux.

256. Kuang Bencui, de Jiaozhou, province du Shandong, selon le rapport, s'est rendue à Beijing. Des fonctionnaires l'ont arrêtée alors qu'elle se rendait à la Place Tiananmen. Elle a été envoyée au bureau de liaison de Jiaozhou à Beijing et ensuite à l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou. Durant sa détention, selon le rapport, elle a été forcée à recevoir des médicaments et des injections. Comme elle refusait, on rapporte que deux hommes lui ont saisi les bras, lui ont pincé le nez et ils ont introduit une baguette entre ses dents, pour la gaver de substances inconnues. On rapporte qu'elle a été gavée trois fois par jour, le dosage augmentant d'une tablette à six tablettes en même temps.

257. Tan Guihua, selon le rapport, a été arrêtée par des officiers de son lieu de travail et de la commission politique et judiciaire à son domicile le 12 septembre 1999, et emmenée dans un hôpital psychiatrique où elle a reçu une injection. En conséquence, on rapporte qu'elle s'est sentie faible et malade et que les battements de son cœur se sont rapidement accélérés. On rapporte qu'elle a perdu conscience. Mme Tan a reçu des chocs électriques à sept reprises. Après une injection, on rapporte que ses règles se sont arrêtées. Elle ne pouvait plus bouger les yeux et ses réactions se sont ralenties. Quelques jours plus tard, on rapporte que des médicaments ont été ajoutés à l'injection. Le corps de Tan Guihua a tremblé violemment. On dit que cela a duré vingt jours. Au moment de sa libération, on rapporte qu'elle souffrait de perte de mémoire, avait des problèmes à parler, et ses yeux étaient inexpressifs et ses réactions ralenties."

(Source : Rapport du Rapporteur Spécial des Nations Unies, page 61, sur le site de la Commission des Nations unies sur les Droits Humains : http://www.unhchr.ch/Huridocda/Huridoca.nsf/0/90826bb67fa905b1c1256a2300464476/$FILE/G0110682.pdf

Selon des statistiques incomplètes, 57 autres pratiquants ont été envoyés dans des hôpitaux psychiatriques, dont les pratiquants Wei Huayu, Liu Fuxi, Li Xue, An Xianqin, Zhou Caixia, Gao Fen, Liu Zhaohong, Song Xinjian, Lv Yi, Wang Yongping, Xiao Zhiduan (ancien chef adjoint de la justice), Wang Yumei, Liu Zhongzhi, Song Yuling, Jin Lanxiang, Qiu Yan'e, Ji Xiuling, Sun Qijie, Li Jun, Sun Linfang, Liu Yan, Wang Weihe et trois membres de sa famille.

Zhangjiatun, dans la commune de Xinan, situé à environ 51 kilomètres de Jiaozhou, est le village subordonné le plus éloigné du centre-ville. Les agents du Bureau 6-10 de la ville de Jiaozhou ont établi le célèbre centre de lavage de cerveau de Zhangjiatun dans ce village reculé. Après l'établissement du centre, environ 230 pratiquants y ont été détenus dont : Duan Guiyou, Yu Xiuxiang, Yan Mingxia, Liu Zaixian, Chen Rui'e, Han Fengyan, Xu Xiangzhi, Li Cuihua, Liu Ranggu, Gao Zhen, Feng Fang, Gao Xufang et Song Guihua.

Comme le centre de lavage de cerveau de Zhangjiatun était plus discret aux yeux des habitants locaux par sa situation éloignée, les agents du bureau 6-10 de la ville de Jiaozhou ont engagé des malfrats locaux pour battre brutalement les pratiquants détenus. Ces partisans, ont non seulement abusé physiquement des pratiquants mais leur ont également extorqué de l'argent pour leur propre usage.

Liu Ranggu, âgé d'une cinquantaine d'années, vient du district de Puji, ville de Jiaozhou. Comme il refusait d'abandonner sa foi, les bandits lui ont enlevé ses vêtements et l'ont pendu avant de se relayer pour le frapper partout sur le corps avec des bâtons en caoutchouc. Il était couvert de sang et a perdu connaissance plusieurs fois pendant la bastonnade. Le gang l'a ensuite tiré dans la cour pour l'exposer au froid mordant. Ils lui ont arraché la barbe et la moustache, un poil après l'autre. Dans leur langage, ils voulaient lui faire sentir que vivre était pire que mourir.

Gao Zhen était éducatrice de maternelle dans le village de Ducun. Les persécuteurs l'ont cruellement battue parce qu'elle avait refusé d'assister à des sessions de lavage de cerveau. Ils l'ont torturée une nuit entière suite à sa grève de la faim. Après deux mois de grève de la faim, Mme Gao se trouvait dans un état grave. C'est alors seulement que les ravisseurs ont accepté de la libérer. Lorsque sa famille est venue la chercher, ils ont vu qu'elle n'avait plus qu'à peine la peau sur les os et était très proche de la mort.

Presque chaque pratiquant détenu a subi de semblables mauvais traitements et des blessures physiques graves.

Des abus physiques choquants envers les pratiquants

Rien qu'à Jiaozhou, plus de dix pratiquants sont directement ou indirectement décédés en conséquence de la persécution ces dix dernières années.

Mme Zhu Meijuan du quartier résidentiel de Shizhong est décédée dans la fleur de l'âge, à 43 ans. Pendant cette période, le chef du bureau 6-10 Song Shoujian a mené un groupe de policiers et a essayé de pénétrer son domicile par effraction. Mme Zhu a glissé le long de la gouttière près de la fenêtre de son appartement du sixième étage, pour essayer de s'échapper, mais sa main a glissé. Elle est tombée sur le béton au-dessous et est morte sur le coup. Lorsque cela s'est passé, son mari, pratiquant, était incarcéré à la prison de Weibei, province de Shandong. La mère de Mme Zhu a finalement pris en charge Zhou Yingjie, la fille du couple âgée de dix ans.

Liu Liang était un pratiquant de 24 ans du village de Daheliu, canton de Zhangying. Une nuit, sur le chemin de son domicile, il s'est trouvé intercepté et cerné par un groupe d'agents du bureau 6-10. Dans son empressement d'échapper au gang, il est tombé dans un grand puits et a perdu la vie. Ces agents du bureau 6-10 ont ensuite emmené un camion rempli de policiers armés à son domicile et ont forcé sa famille à abandonner sur-le-champ leur droit de les poursuivre. Ils n'ont jamais donné à la famille un seul centime de compensation.

Encore plus de pratiquants sont morts indirectement en conséquence de la persécution. Mme Tan Huihua, l'une des trois pratiquantes mentionnées dans le rapport des Nations-Unies, est restée désorientée après sa libération d'un hôpital psychiatrique. Elle est décédée à l'âge de 52 ans.

Alors qu'il était détenu au centre de lavage de cerveau de Zhangjiatun, Wang Chongbai, un ingénieur de la division de Jiaozhou du groupe Sinopetro, a immensément souffert entre les mains de Wang Qiang, alors chef du bureau 6-10. Il est mort peu après sa libération.

Li Yuangsheng du village de Baiguoshu, canton de Jiulong, et Zhao Yueshen, village de Zhaojiadian, canton de Jiaoxi, sont morts après avoir souffert de longues périodes de maltraitances en garde à vue policière.

Liu Xuedong, alors chef du comité politique et légal, a autorisé ses subordonnés à abuser des pratiquants de Falun Gong au centre de lavage de cerveau, pour les forcer à arrêter de pratiquer. Yu Xiliang, chef de personnel du comité politique et légal, Wang Qiang, chef de personnel délégué du bureau 6-10, les membres du personnel Xue Yubin, Jiang Pinyang et Lu Tao se sont impliqués dans l’abus des pratiquants. Quelques pratiquants ont été privés de sommeil pendant plus de vingt jours, certains ont été attachés à un arbre dans le froid mordant, dans le but de les geler et de les exposer aux morsures de moustiques l'été. Certains ont été enchaînés à un arbre sous la pluie. Les persécuteurs ont aussi frappé les pratiquants avec des cannes en bois et des barres de métal. Certains pratiquants ont été forcés à boire de l'alcool, ce qui va à l'encontre de leur foi. Les malfrats ont même répandu des excréments sur les lèvres des pratiquants. Lorsque les pratiquants de Falun Gong résistaient, ils ouvraient leur bouche de force et y inséraient un morceau de brique. Deux pratiquants sont morts peu après leur libération du centre en conséquence de tels abus.

Wang Qiang, chef de personnel délégué du bureau 6-10, un homme pervers, a servi dans l'armée. Il a battu presque chaque pratiquant détenu là-bas. Xue Yibin, chef de section, couvrait la bouche des pratiquants, insérait deux cigarettes dans leurs narines et les forçait à inhaler. Il a aussi fait boire de l'alcool aux pratiquants, a peint leur visage avec de l'encre, et les a frappés au visage avec des chaussures sales. Xue Yubin, Jiang Pinyang et Lu Tao ont instauré des habitudes de tortures sur chaque pratiquant nouvellement arrivé. Ils menottaient le pratiquant et le battaient, forçaient ensuite le pratiquant à s'asseoir sur le sol, jambes et bras étendus, et le fouettaient de manière répétitive et forçaient le pratiquant à lacérer le portrait de Maître Li. Ils ont frappé la jambe de Mme Ji Xiuling, nouvellement arrivée, si fort avec une canne que sa jambe a été handicapée. En plus de cela, ces malfrats ont privé les pratiquants de sommeil et les ont piqués avec des aiguilles pour les maintenir éveillés.

Le pratiquant Liu Zhaohong, chauffeur du bureau des ressources en eau de la ville de Jiaozhou, a été arrêté dans le canton de Jiaoxi le 12 mai 2003. Le policier Wang Wenlong et d'autres l'ont torturé pendant cinq jours. Ils l'ont suspendu et torturé avec diverses techniques. M. Liu a perdu connaissance plusieurs fois. Les agents du bureau 6-10 l'ont ensuite emmené au camp de travaux forcés de Zibo. A cause de son faible état physique, le camp de travail a refusé de le recevoir. Les agents du bureau 6-10 ont dû le ramener au centre de détention de Jiaozhou. M. Liu a commencé une grève de la faim en protestation de la persécution. Les gardes l'ont menotté et enchaîné, et l'ont gavé, en plus de divers autres abus grossiers. Les tortures l'ont presque tué. Les demandes de visite de la famille de M. Liu ont été sans cesse refusées. Son état était si mauvais que le personnel du centre de détention pensait qu'il pouvait mourir à tout moment, mais les agents du bureau 6-10 ont continué de refuser de le libérer. Au lieu de cela, ils l'ont transféré au centre de lavage de cerveau de Zhangjiatun. Plus tard, il a reçu une peine de cinq ans de prison et a été transféré à la prison de Weibei.

Le personnel du bureau 6-10 a arrêté plus de dix pratiquants de la ville de Jiaozhou en octobre 2007. Les policiers Wang Wenlong, Wang Xiaoning et Zhang ont frappé Mme Li Shiying, 50 ans, à la tête avec des semelles de chaussures, lui causant des bosses à l'arrière de la tête. Ils l'ont aussi menottée et l'ont tirée partout. Les menottes lui ont coupé les poignets et ensanglantés les mains. Ils l'ont aussi tirée par les cheveux et fracassé la tête contre un mur. Ses cheveux et une partie de son cuir chevelu ont été arrachés. Ils ont aussi fermement maintenu ses pieds sur le sol et lui ont frappé les jambes avec une canne en bois.

La torture a provoqué des blessures à Mme Li Shiying. Elle ne pouvait même plus enlever sa chemise, la chair, le sang et la chemise étant collés ensemble. Lorsque sa sœur aînée est venue lui rendre visite au centre de détention, Mme Li Shiying était inconsciente. Les gardes de la prison de Dashan à Qingdao, où Mme Li a finalement été transférée, ont été surpris par la gravité de ses blessures et ont refusé de la recevoir, en disant : « Même les criminels condamnés ne méritent pas d'être torturés de cette façon ». les quatre officiers de police qui escortaient Mme Li n'ont pas osé prendre une quelconque responsabilité et l'ont ramenée au centre de détention. Quelques jours plus tard, le policier Wang Wenlong escortait de nouveau Li Shiying à la prison de Dashan. Les fonctionnaires ont de nouveau refusé de la recevoir et ont demandé : « Qui est responsable si elle meurt ? ». Wang Wenlong a dit : « C'est moi », et a signé son nom sur le document.

Condamnation aux travaux forcés et à la prison

En plus des condamnations à la prison, le parti communiste chinois a aussi inventé un système unique de travaux forcés. Ce système n'existe dans aucun pays démocratique. Les policiers peuvent envoyer les gens en camps de travaux forcés sans aucune procédure juridique ni forme de procès. Tout ce qu'ils font est remplir un document et y apposer le sceau du chef du département de police. Seul le chef de police a l'autorité d'envoyer quiconque en camp de travaux forcés. Dans le cas de Falun Gong, tant que le bureau 6-10 désire soumettre quelqu'un aux travaux forcés, ils n'ont qu'à en avertir le chef du département de police.

Le régime utilise les condamnations à la prison et les travaux forcés pour abuser des pratiquants de Falun Gong. La jeune pratiquante Mme Li Xue a reçu une peine de sept ans de prison parce que la police avait trouvé 700 CD contenant des informations sur Falun Gong à son domicile. Xu Hangzhong, résident du village de Zhaojiayuan a été envoyé en camp de travaux forcés pour 18 mois parce qu'il avait accroché une affiche sur sa porte disant : « Falun Dafa Hao (Falun Dafa est bon) ».

En octobre 2000, un certain nombre de pratiquants avaient été envoyés en camp de travaux forcés. Le premier groupe comprenait : Liu Zhonzhi, Guan Fengbao, Wang Yihan, Zhuang Zejie, Kuang Bencui, Liu Wei, Mao Mingzhao, Zhang Fuyuan, Du Xide, Sun Qijie, Liu Xuewei, Liang Xisheng, Zhang Qijia, Pan Shiquan, Di Ximing, Zhao Yangfa, He Shuqin, Jin Lanxiang, Wang Qun, Zhang Lei et d'autres, environ cinquante en tout.

Plus de 90 pratiquants de Jiaozhou ont été envoyés en camp de travaux forcés au cours de ces dix dernières années.

Avant qu'une personne ne soit condamnée, ou envoyée en camp de travaux forcés ou en centre de lavage de cerveau, elle doit d'abord subir une détention administrative d'une période de quinze jours. 280 pratiquants de Jiaozhou ont subi une détention administrative ces dix dernières années, et trente pratiquants se sont vu infliger des peines de prison. La plupart des jugements au tribunal étaient tenus secrets. Les fonctionnaires du tribunal ne donnaient pas le document du verdict aux familles des pratiquants. La famille et les proches étaient bannis des audiences. Le tribunal informait les familles seulement après qu'ils aient été mis en prison.

Trente pratiquants de Falun Gong qui ont reçu des peines de prison :

2002: Qiu Yanjin, Zhao Xiuhua, Wang Guixiang, Zhou Zhaohua, Leng Songjia

2003: Yu Airong, Li Xia, Ji Xiuling, Liu Zhaohong, Sun Qijie
2004: Wang Mingjiang, Sun Jianwu, Wang Dezhi, Zhang Hongliang
2005: Gao Fen, Wang Yubao, Song Yuling (qui s'est échappé un mois plus tard)
2007: Li Xue, Li Shiying, Zhou Shenghua, Hei Jianfeng, Liu Jinmei, Wei Xiuju, Song Guier, Zhai Yongqiang, He Kunlin
2008: Wei Junfeng
2009: Jiang Junqi and Pang Manli (époux)

17 pratiquants de Jiaozhou sont toujours incarcérés dans des camps de travail et des prisons de la province du Shandong.

Neuf pratiquantes sont toujours à la prison pour femmes du Shandong : Li Xue, Li Shiying, Zhou Shenghua, Hei Jianfeng, Liu Jinmei, Wei Xiuju, Song Guier, Wei Junfeng, et Pang Manli.

Trois pratiquants sont incarcérés à la prison pour hommes du Shandong : Zhai Yongqiang, He Kunlin, et Jiang Junqi.

Cinq pratiquants sont persécutés au camp de travaux forcés de Wangcun dans le Shandong :

Femmes : Wei Shuzhen, Liu Hong, et Cao Xiucheng
Hommes : Liu Baobin et Zhang Duncheng

Traduit de l'anglais en France