(Minghui.org)

Ma petite-fille, une jeune pratiquante, vit avec moi. Elle aura 10 ans cette année. Depuis qu’elle est venue dans ce monde, je lui ai lu la Loi et lui ai fait écouter les lectures de Maître sur cassette. Lorsqu’elle n’avait que deux mois, elle aimait regarder les photos du Maître et l’image du Falun. À chaque fois que je la tenais dans mes bras, elle enfonçait ses petites mains dans mon visage. Je ne savais pas pourquoi : « Qu’est-ce qui ne va pas avec cet enfant ? Pourquoi enfonce-t-elle toujours ses mains dans mon visage ? » Lorsqu’elle a appris à parler, elle a dit « Grand-maman, pourquoi as-tu autant d'yeux dans ton visage ? » J’ai dit : « Où ? » Elle a pointé mon visage et a dit : « Ici. Partout ici. » Je me souviens que Maître a mentionné que le troisième œil d’un enfant est ouvert.

Comme elle grandissait, vers l’âge de cinq ou six ans, elle savait l’urgence de sauver les gens. Elle écoutait souvent les conférences du Maître sur cassettes. Tant qu’elle était à la maison, le magnétophone fonctionnait toujours. Même si elle jouait, elle écoutait tous les mots. À chaque fois qu’elle allait jouer, elle emmenait des documents clarifiant la vérité et du papier collant pour les afficher. Parfois, elle en donnait à ses compagnons de jeu qui l’aidaient. À d’autres moments, elle et moi le faisions ensemble. Nous sommes allés au supermarché pour faire des achats et nous avons placé une copie de documents clarifiant la vérité à cet endroit. Nous avons émis la pensée que les gens prédestinés la voient. Lorsque nous avons affiché les posters clarifiant la vérité, je l’ai soulevée bien haut, pour qu’elle puisse les coller plus haut.

Une fois elle est sortie faire du vélo. Elle est revenue me voir et a dit : « Grand-maman, pourrais-tu me trouver un sac en plastique pour les documents de clarification ? Je vais les donner lorsque je verrai des gens. » Alors, quand elle a vu un passant, elle a couru vers lui et lui a dit : « Bonjour, veuillez jeter un coup d’œil aux documents clarifiant la vérité de Dafa. Cela vous apportera des bienfaits. » Cette personne l’a regardée et a dit : « À qui est cet enfant ? À un si jeune âge, elle fait une telle chose. » Il n’a pas pris le document. Elle était un peu fâchée et m’a raconté l’histoire. Je lui ai dit : « Ne soit pas ébranlée par cela. Tu lui as tendu le document pour le sauver. S’il le prend ou non, c’est son choix. Puisqu’il est trop profondément dans l’illusion et qu’il a de mauvaises choses derrière lui, il n’a pu apprendre la vérité. Émettons la pensée droite pour lui, pour le nettoyer. Peut-être qu’il aura une autre chance. »

Les jeunes pratiquants n’ont pas de mauvaises conceptions humaines formées après la naissance, alors ils s’assimilent très rapidement dans Dafa. Leurs cœurs sont aussi dans la Loi. Une fois je tentais d'agraffer un paquet de documents clarifiant la vérité. Comme c’était une pile épaisse et que les agraffes étaient petites, peu importe comment j’essayais, je ne pouvais pas y arriver. Une autre pratiquante était aussi là. Elle a essayé plusieurs fois sans succès. Ma petite-fille a vu cela et m’a dit de le lui passer pour qu’elle essaie. J’ai dit : « Même les adultes ne peuvent pas y arriver, comment une enfant comme toi le pourrait ? » En fait, ces mots n’étaient pas sur la Loi. Elle a dit : « Je vais le faire. Même si je suis une enfant, le Maître nous donne les mêmes capacités supranormales que les adultes. ». Elle a pris l'agraffeuse, est montée sur le lit et s’est agenouillée. « Pan », elle l’a agraffé. Et l'agraffe était exactement à la bonne place. L’autre pratiquant et moi-même nous sommes regardées. Une pensée humaine et une pensée divine ont donné des résultats différents.

Plus tard, j’ai établi un site de production de documents clarifiant la vérité à la maison. Ma petite-fille était une bonne aide. Elle aidait à empaqueter, chercher et coller des choses ensemble. Elle avait des mains très agiles et achevait ses tâches vite et bien. Elle pouvait aussi aller sur le site Internet pour télécharger des documents et les imprimer. Elle connaissait tous les rudiments. La nuit, nous étudiions la Loi ensemble. Parfois elle travaillait sur ses devoirs très tard et sa mère lui disait de ne pas étudier la Loi, mais d’aller se coucher tôt. Elle s’inquiétait que sa fille ne puisse se lever le matin. Ma petite-fille a dit : « Non, même si je peux étudier seulement un paragraphe, je vais le finir avant d’aller au lit. » Comme elle continuait à étudier la Loi chaque jour, ses mots et ses actes étaient toujours sur la Loi. Mais puisqu’elle est une enfant, elle veut jouer beaucoup et ne pas faire les exercices. Je suis déterminée à l’aider à progresser dans ce domaine.

Une fois je lisais les articles de partage d’expérience et ma petite-fille a dit : « Grand-maman, tu lis tellement d’articles. Pourquoi n’ai-je pas vu un seul article que tu as écrit ? » Mon visage a rougi. J’ai toujours senti que je n’étais pas assez diligente et que je n’avais rien à écrire. L’enfant avait ce souhait depuis longtemps, alors maintenant j’écris ce texte pour partager avec les jeunes pratiquants.

Traduit de l’anglais au Canada le 24 février 2009.