(Minghui.org)

Je suis une pratiquante de 75 ans qui a commencé à apprendre le Falun Dafa en 1998 et j’ai pratiqué pendant plus de dix ans. Avant de commencer à pratiquer, j'ai eu trois graves opérations et je pouvais seulement marcher à l'aide d'une canne. Auparavant, je fumais trois paquets de cigarettes par jour et j'avalais plusieurs poignées de pilules chaque jour. Après avoir lu « Zhuan Falun » pour la première fois, je n’avais plus de plaisir à fumer. En fait, je me suis sentie très mal après avoir fumé. J'ai rapidement guéri de mes opérations et j’allais en vélo dans toute la ville.

Après que la persécution a commencé en 1999, quelqu'un m'a conseillé d'arrêter la pratique. Je lui ai simplement parlé des miracles du Falun Dafa. Quand quelqu'un d'autre a proposé que je pratique une autre religion, j'ai refusé et je lui ai dit que je ne pratiquerais rien d’autre que Falun Dafa. J'étais triste que le Parti communiste chinois (PCC) ne me permette pas d'être une bonne personne. Dafa m'a sauvé la vie et je ne changerai jamais ma croyance, quoi que fasse le PCC. Je remercie le Maître, qui m'a fait être ce que je suis aujourd'hui.

Tout en étudiant constamment la Loi, j'ai commencé à faire le travail de Dafa sans peur et avec constance. Sans valider la Loi, nous ne sommes pas des pratiquants. C'est ma mission et ma responsabilité de suivre les instructions du Maître et de sauver les êtres.

« Clarifier les faits » de la persécution de Falun Dafa et aider les personnes à démissionner du PCC, voilà ce que le Maître a arrangé que je fasse. Une fois, alors que j'étais sur le chemin du retour après avoir distribué des dépliants de Falun Dafa, j’ai rencontré par hasard un médecin militaire retraité qui gardait son petit-fils. Je lui ai donné quelques amulettes (1) et lui ai demandé s'il avait déjà démissionné du PCC. Il m'a dit qu'il n'arrivait pas à se décider. Je lui ai dit que nous étions les descendants de l'empereur jaune, plutôt que de Marx et de Lénine. J'ai dit que nous devons faire des choix sages afin de protéger notre futur et que Dieu nous observe. Il a rapidement pris un pseudonyme et a démissionné du PCC.

Mes surveillants au travail savaient que Falun Dafa est bon. Quand des fonctionnaires du PCC de niveau élevé les ont menacés par rapport à leurs emplois s’il y avait des pratiquants dans leur unité, ils ont tout de même décidé de ne pas m’abandonner. Quand la police a commencé à vérifier dans chaque ménage s'il y avait des documents de Falun Gong, mon fils et mon mari ont voulu que je fasse mes valises et que je parte. Je leur ai dit de n'avoir peur de personne et je me suis assise sur mon lit pour méditer. À la fin, personne n’est venu chez nous.

Une fois, quelqu'un m’a rapportée à la police et ma famille a paniqué, craignant que la police vienne fouiller la maison. Ma seule pensée était que j'aurais une bonne chance de clarifier les faits de la persécution à la police si vraiment ils venaient, mais la police n'est jamais venue.

Le Maître ne nous demande rien d'autre que d’être de vrais pratiquants. Je ferai bien les trois choses pour montrer ma gratitude pour le salut compatissant du Maître.

Note :
(1) Amulettes – en Chine, les pratiquants clarifient la vérité en donnant parfois aux gens une petite chose à porter ou chérir, avec quelques mots pour leur rappeler la bonté de Dafa.


Traduit de l’anglais au Canada le 25 février 2009

Glossaire: www.vraiesagesse.net/glossaire/glossaire.htm