(Minghui.org)

Par un pratiquant de Chine

Apprendre_Falun_Dafa
Avant que je ne commence à pratiquer le Falun Gong, j’avais de forts attachements à la renommée, au profit et aux émotions. J’étais une personne très compétitive, jalouse et égoïste. Si quelqu’un voulait me prendre quelque chose, j’étais prête à me battre avec elle. Cette attitude ne m’apportait que douleur et je ne pouvais plus ni manger, ni dormir. Quand mon mal de tête survenait, je devais m’allonger et je ne supportais plus la lumière et le bruit. Les sons de la Télévision ou entendre quelqu’un marcher sur le sol m’insupportait au plus haut point. Et chaque fois, ce mal de tête durait deux à trois jours. En plus de tout cela, j’avais une aménorrhée qui récidivait tous les deux ou trois mois. Je pensais que ma vie n’avait aucun sens car rien ne tournait comme je l’espérais.

Un jour, je suis allée rendre visite à ma mère et lui ai expliqué mon désarroi. Elle m’a conseillé de pratiquer le Falun Gong. Je ne l’ai pas prise au sérieuse sur le moment. En décembre 1998, ma mère m'a donné une copie de Zhuan Falun. Le jour du Nouvel An Chinois, j’ai voulu savoir ce que contenait ce livre alors j’ai lu cinq chapitres. Je ne pouvais pas croire tout ce que ce livre disait mais il a contribué à répondre à quelques unes de mes questions sur la vie. Je me suis sentie mieux et j’ai commencé à lire le livre tous les jours.

Le neuvième jour du Nouvel An Chinois, ma mère est venue chez moi pour m’apprendre les cinq exercices. Après le diner, nous étions en train de faire le deuxième exercice et tout d’un coup J’ai eu la nausée et la diarrhée. Ma mère m’a dit que c’était une bonne chose. J'ai continué un peu mais j’ai du finalement m’allonger sur le lit. Et à ce moment précis, tous les symptômes ont disparu. J’ai senti plein de choses bouger dans mon corps qui étaient agréable et je me suis endormie.

Le jour suivant, ma mère et moi sommes allés faire les magasins. Sur le chemin, je sentais comme si le vent me poussait. Ma mère m’a dit qu’il n’y avait pas de vent. Je sentais que mon corps était très léger : " Ce qui est écrit est donc vrai !" Après cela, j’ai lu la Loi et j’ai fait les exercices tous les jours. Mon xinxing s’est amélioré et toutes mes maladies ont disparues. Le Maître m’a donné une deuxième vie.

Valider Falun Dafa avec un cœur pur
Après le 20 juillet 1999, on entendait partout les rumeurs propagées par le Parti communiste chinois (PCC). Comme je n’étais encore jamais allé à un groupe d’étude du 'Fa' [Ndt : Loi ou principes] , je ne connaissais pas d’autres pratiquants. Puis j’en ai rencontré une que j’appellerais plus tard " grande sœur ", qui m’a présenté beaucoup d’autres pratiquants. La première fois que j’ai distribué des documents sur le Falun Gong et la persécution de maison en maison, je n’avais aucune peur. Je ne pensais à rien, " n’avais-je pas obtenu la Loi dans le seul but de valider la Loi ? "

Depuis, j’ai voyagé partout. J’ai remarqué que les pensées que j’émettais en distribuant le matériel de Dafa étaient très importantes. Nous sommes les disciples de Dafa, les meilleures personnes au monde. Ce que nous faisons, nous le faisons pour sauver les êtres humains. Si nous le faisons de manière droite et juste, tout le monde l’acceptera.

Je suis prête à faire tout ce que le Fa demande de moi et à bien coopérer avec les autres pratiquants. Si c’est pour le Fa, je ferais ce qu’il faut faire et je n'ai qu'une seule pensée : " le faire bien ! " J’écris rarement mais un jour, j’ai crée une banderole de 10m de long et mon écriture était claire et jolie. Nous avons accroché la banderole au sommet d’un arbre et j’ai grimpé tout en haut de l’arbre. Une fois au sommet je me suis aperçue que c’était très haut, je me suis mise à trembler et je n’ai pas osé regarder en bas.

Quand je clarifie la vérité, je vais toujours droit au but et je ne tourne pas autour du pot. Une fois, j’ai dépensé six billets où étaient inscrites des phrases de clarification de la vérité. Le propriétaire du magasin m’a demandé : " Es-tu une pratiquante du Falun Gong ? ". Avec un sourire, j’ai répondu : " Je peux vous garantir un avenir en sécurité si vous quittez le PCC. Avez-vous déjà renoncé à le servir ? Cela prend effet dès que vous inscrirez votre nom ou pseudonyme sur le dos de ce billet". " Avez-vous d’autres billets comme çà ?", m’a t-il demandé, " je vous les échange".

Les amis pratiquants disent que je suis simple. Je crois que c’est cette simplicité qui me permet de faire les choses avec tout mon cœur.

Je m’assois de façon droite lorsque j’envoie la pensée droite. Je crois que nous devons être des images de Buddhas, de Taos et de Divinités.

Ce qui précède est seulement ma compréhension superficielle. Dans le processus de lâcher mes attachements, j'ai trébuché tout du long. C’est grâce au vénérable Maître qui ne m’a pas laissée tomber que j’ai pu cultiver jusqu’à aujourd’hui. Les mots ne peuvent décrire la gratitude que je ressens envers Maître. Je peux seulement l’exprimer en lâchant encore plus mes attachements et en cultivant encore plus diligemment.

Traduit de l’anglais le 27 janvier 2009