(Minghui.org)

Le 8 mars, la compagnie Divine Performing Arts (DPA) a donné la septième et dernière représentation à Taichung, Taiwan. Durant la tournée de cinq jours, plus de 25,000 personnes ont pu voir le spectacle.

Beaucoup étaient émus aux larmes et ont dit que les danses, la musique et les costumes étaient très beaux. Ils ont aussi été très inspirés par DPA. Parmi le public se trouvaient des Chinois de Hong Kong, de Thaïlande et de la Malaisie, ainsi que des Chinoises qui se sont mariées à des Taiwanais.

Ces épouses venues de Chine sont qualifiées de « nouvelles immigrantes » à Taiwan. Après avoir vu le spectacle, elles étaient très touchées par l’authenticité de la culture traditionnelle chinoise mise en scène par DPA et espéraient le revoir l’année suivante.

Plusieurs épouses originaires de différentes régions de Chine étaient très heureuses d’être assises ensemble. Elles se sont saluées et ont demandé des nouvelles de celles qui n’avaient pas pu venir au spectacle. Elles étaient très enthousiastes en voyant le spectacle et ont réagi de manière très chaleureuse : « Oh ! Quel magnifique spectacle ! » Durant le spectacle elles ont chuchoté leurs impressions et ont applaudi à la fin de chaque numéro. Durant l’entracte, elles discutaient de manière très animée. La plupart d’entre elles ont beaucoup aimé la danse « Fleur d’Udumbara ».

DPA leur rappelle leur pays natal. « J’ai l’impression de rentrer à la maison en voyant ce spectacle. Je ressens l’affection des artistes qui semblent former une grande famille, » a dit Mme Liu de la province de Hunan. « Les interventions des présentateurs m’ont beaucoup touchée. Leur accent ressemble au nôtre – Chinois de Chine continentale. Leur allure m’est familière aussi. » Ce n’était pas seulement l’accent, mais aussi la manifestation de la culture traditionnelle chinoise ainsi que les légendes qui ont donné à Mme Yan un tel sentiment : « C’est un peu classique, un goût de chez soi. C’est pour cela que j’ai dit que mon pays me manque. »

En plus de leur évoquer des souvenirs, la finesse des programmes les a touchées. « J’ai été très émue par les danses. Je pense qu’ils dansent tous merveilleusement bien » a dit Mme Liu. Elle a beaucoup aimé « la vision du poète » qui met en scène le poète Li Bai en train de boire du vin seul et d’écrire un poème très émouvant après avoir vu des fées danser avec grâce. Mme Liu a ajouté qu’elle a particulièrement apprécié ce poème. Le numéro qu’elle a préféré est : « le Ciel nous attend malgré les persécutions ». Elle a expliqué qu’en voyant la petite fille et sa maman pleurer la mort du danseur principal sous les persécutions, l’a rendue profondément triste. Une autre dame a partagé le même sentiment. Elle a dit qu’elle-même n’avait pas souffert de persécutions mais elle compatissait avec les acteurs, surtout la tristesse de la petite fille. Elle a dit que ça la touchait particulièrement parce qu’elle a des enfants.

Mme Zeng de la province de Hainan a préféré la danse « Mulan rejoint la bataille ». Elle a dit : « l’histoire de Mulan est très connue dans le folklore chinois. » Elle a ajouté que les numéros lui ont donné le mal du pays. Elle n’avait que des louanges à formuler sur le talent des danseurs. Elle a trouvé les danseuses très douces et élégantes et les danseurs très puissants. Mme Zeng a dit que tout le spectacle de DPA était très riche au niveau du contenu et d’un haut niveau artistique. Elle a été profondément impressionnée par la chanteuse alto Yang Jiansheng : « Sa voix est excellente et unique. »

Une femme d’âge moyen était très enthousiaste. Mariée à un Taiwanais, elle s’est établie à Taiwan il y a cinq ou six ans. Elle accompagnait son mari au spectacle. Au moment de répondre aux questions, elle était un peu stressée. « Est-ce la Loi de Bouddha ? En Chine, on n’a pas le droit d’en parler. » Se tournant vers son mari, elle avait l’air inquiète. Son mari lui a fait comprendre qu’il n’y avait aucun problème, elle pouvait en parler à Taiwan. Elle était soulagée et a continué en disant : « En regardant les numéros de la compagnie DPA, j’ai été très touchée et j’ai ressenti la miséricorde de la Loi de Bouddha ! » Cette dame réalisait qu’elle avait été trompée par les mensonges du Parti communiste chinois. Elle a appris pourquoi DPA ne pouvait pas aller se produire en Chine. Après avoir appris la vérité, elle est partie avec son mari l’air soulagée.

Bien qu’ils n’aient dit que quelques mots, on sentait la joie sur leur visage et leur sincérité. Melle Yan a dit : « J’espère que je pourrai revoir le spectacle l’an prochain ! »

Traduit de l'anglais en France le 25 mars 2009