(Minghui.org)

Un commissaire de l'armée fait un choix judicieux

Un chef du département de la logistique de l'armée de la province du Shandong a été transféré comme commissaire à la province du Heilongjiang. Avant cela, il avait lu un document sur la clarification de la vérité donc il savait que la persécution du Falun Gong était une erreur.

En 2004, il a été retransféré dans le Shandong et ont lui a offert le choix entre deux postes: L'un était le poste le plus haut de secrétaire des lois et des politiques de la ville, l'autre était un poste d'adjoint au bureau agricole de la ville. Il a dit simplement à ses supérieurs qu'il ne prendrait pas le poste de secrétaire des lois et des politiques de la ville, même si c'est le meilleur job, car il savait que ce bureau était en charge de la persécution du Falun Gong.

En 1998, alors qu'il était chef de la logistique, il a reçu l'ordre de réprimer le fameux soulèvement du 4 juin des étudants Place Tiananmen. En conséquence, de nombreux étudiants sans défense sont morts tragiquement par ses troupes. Après avoir lu le document d'information du Falun Gong, il a commencé à comprendre la vraie situation et a regretter ce qu'il avait fait. Quand on lui a offert le nouvel emploi, il a choisi de ne plus faire à nouveau une chose aussi stupide. Une fois installé, il est devenu adjoint du bureau de l'agriculture de la ville. À peine un peu plus d'un an, il a été promu à la tête du bureau.

Une responsable éveillée de notre comité de quartier à demandé au chef de la sécurité de libérer une pratiquante du Falun Dafa.

Avec les efforts incessants des pratiquants pour expliquer les faits sur le Falun Gong, la responsable de notre comité de quartier a eu une meilleure compréhension de la persécution. Un jour elle m'a dit: « Si tout le monde se comportait comme les pratiquants de Falun Gong, notre communauté irait mieux. Continuez à faire les exercices et ne vous inquiétez pas. Mais il ne faut pas laisser la police vous faire quoi que ce soit. »

En 2004, j'ai été arrêtée et mise dans un centre de détention. Dans les jours suivants, les pratiquants ont continué de clarifier la vérité au comité de quartier et aux organismes associés.

Quelques jours plus tard, la responsable de notre comité de quartier a participé à une réunion locale du congrès populaire. Quand elle a vu le chef de la sécurité publique, elle lui a demandé de me libérer. Elle lui a demandé, « Quel type de crime a commis cette résidente? Si elle n'a pas commis de crime, s'il vous plaît, libérez-la le plus tôt possible. Notre gouverneur a personnellement déclaré que notre communauté était une communauté avancée. Si elle est arrêtée et condamnée, alors comment peut-on être appelé une communauté avancée! Si cela vous crée des difficultés, alors, avec notre comité de quartier, nous signerons une pétition! C'est cela vous vous voulez? »

J'ai été libérée deux semaines plus tard.

Traduit de l'anglais au Canada le 12 mai 2009