(Minghui.org)

Je pratique le Falun Gong depuis deux ans. Mon xiulian s’est grandement amélioré en clarifiant la vérité. Les notions des gens ordinaires ne m’affectent pas et je sens véritablement le soutien de Maître et la magnificence de Dafa. Je suis reconnaissante à Maître de me protéger en permanence.

L’an dernier, j’ai été dénoncée aux autorités simplement parce que je disais aux gens les faits sur le Falun Gong. Quand j’ai été emmenée au bureau de la sécurité, je n’ai ressenti ni peur, ni haine. En voyant les policiers, je ne voulais que les sauver. J’ai saisi toutes les opportunités pour leur clarifier la vérité durant les 12 heures de détention. Je leur ai dit : « Le fait d’être policier ou espion, c’est juste votre métier. Ça ne veut pas dire que votre véritable nature n’est pas bonne. » Ils n’ont rien dit en entendant cela. Ensuite j’ai été emmenée dans un centre de détention. Sur le chemin, j’ai continué à clarifier la vérité aux policiers. Ils m’ont menacée de m’envoyer au centre de détention de Masanjia. Sans me laisser influencer par leurs menaces, j’ai dit : « C’est mon Maître qui détermine ce qui arrive ensuite. » J’ai été transférée au Centre de détention de Masanjia 13 jours plus tard. Sur le chemin, un jeune policier a appris la vérité sur la mise en scène de l’immolation sur la Place Tiananmen, je lui ai tout expliqué. Le centre de détention a refusé que j’y rentre en raison de mes examens médicaux, donc ils ont dû me renvoyer à la maison. Sur le chemin de retour, le jeune policier m’a dit tout haut : « Falun Dafa est bon ! »

De retour à la maison, j’ai continué à clarifier la vérité. Un jour j’ai réussi à convaincre plusieurs dizaines de personnes de démissionner du parti (PCC). A ce moment là, je ne pensais qu’à sauver les gens et n’ai pas prêté attention à ma sécurité. Résultat, j’ai été dénoncée aux autorités de nouveau et envoyée au bureau de la sécurité. Un policier en charge du Falun Gong m’a interrogée. Je lui ai dit: « Notre Maître a dit qu’être un policier ou un espion, c’est juste votre métier. Ça ne veut pas dire que la nature de votre être n’est pas bonne. » En entendant cela, il s’est demandé : « C’est juste mon métier ? » Il ne comprenait pas comment Dafa pouvait être aussi magnifique et pourquoi il est persécuté. Je lui ai raconté l’histoire de Jésus qui a été cloué à la croix. Ensuite je lui ai demandé, « N’était ce pas un test pour voir si les disciples sont déterminés ? N’est ce pas un test pour voir si les êtres ont de la compassion ? Dieu regarde le cœur des gens, surtout durant les épreuves. Si vous vous retirez du PCC aujourd’hui, Dieu le verra. Et donc vous serez sauvé quand le ciel éliminera le PCC. » Il a tout de suite répondu : « Je veux démissionner. » Peu de temps après, le directeur de la division de la sécurité nationale est entré dans la pièce. Je l’ai reconnu de la dernière fois. Il a dit : « Vous encore ? Je vous laisse rentrer à la maison. » Et ils m’ont raccompagnée chez moi.

Un jour je clarifiais la vérité près de chez moi. Quand j’ai tendu un DVD de clarification de la vérité à un homme, il a appelé la police pour me dénoncer. J’aurais pu m’éloigner, mais j’ai choisi de rester. J’ai été emmenée au bureau de la sécurité pour la troisième fois. C’était le même policier qui avait appris la vérité. Il ne m’a rien demandé. Au lieu de cela, il a regardé le DVD de clarification de la vérité dans une autre pièce avec d’autres policiers pendant plus d’une heure. Quand il est revenu, il a dit : « Je dois vous envoyer au centre de détention. » Au centre de détention il m’a dit que j’allais être transférée au centre de détention de Masanjia. J’ai répondu : « C’est notre Maître qui détermine ce qui arrive. C’est aussi l’arrangement de Maître que je vous rencontre à nouveau aujourd’hui. J’étais trop occupée et n’ai pas eu l’occasion de vous parler. Maintenant c’est une grande chance. » Il a souri en répétant une parole d’une chanson du spectacle de Shen Yun. Le 15ème jour, il est venu en me souriant : « Je vous laisse rentrer chez vous. » J’ai aussi vu l’homme qui m’avait dénoncée. Il est venu signer de son nom. Son nom de famille est Wang. Je lui ai dit qu’il ne devait pas refaire ce genre de mauvaise chose, car il serait tenu responsable de ses mauvaises actions.

La quatrième fois que j’ai été dénoncée, c’était alors que je clarifiais la vérité près de chez moi. Une femme m’a dénoncée à la police, mais je ne l’ai pas remarquée. Après qu’elle ait passé un appel, elle est venue en faisant semblant de vouloir apprendre la vérité sur le Falun Gong. Une voiture de police est arrivée. C’était à nouveau le directeur de la sécurité nationale. Je lui ai dit : « Je sais que vous êtes tous de bonnes personnes. » Il m’a dit de rentrer chez moi et je suis rentrée saine et sauve.

Le PCC rend son dernier souffle. Les policiers en civil et les espions sont partout. Je les rencontre inévitablement au quotidien en clarifiant la vérité. Un espion a prétendu qu’il voulait apprendre les exercices. Il m’a demandé où était situé notre point de pratique et mon numéro de téléphone. Sentant que c’était un espion, je lui ai dit : « Vous êtes venu du ciel. Et maintenant vous êtes perdu dans ce monde humain. Vous devriez retourner à votre véritable être, en étant une bonne personne et en chérissant votre vie. » Il n’a rien dit en m’entendant. Et maintenant il ne me harcèle plus. J’ai dit la même chose aux policiers en civil. Je les traite avec compassion et considère que leurs vies sont précieuses. Les gens aiment entendre des choses agréables sur eux-mêmes, donc je les complimente d’abord avant de leur clarifier la vérité pour leur rappeler de chérir leur propre vie et de faire le bien.

Traduit en France de l'anglais le 10 juillet 2009